"Inquiétant", a renchéri François Hollande sur Europe 1, maintenant qu'un plan de rigueur interviendrait au lendemain du 16 mars, second tour des élections municipales.
"Aujourd'hui, nous pouvons dire 'il y aura un plan de rigueur', il n'y a que Nicolas Sarkozy qui en nie l'existence", a dit le premier secrétaire du Parti socialiste en réaction à l'interview du chef de l'Etat au Figaro, dans laquelle il affirme "ne pas croire aux plans de rigueur".
Pour Jean-Marc Ayrault, ce qui "paraît surréaliste dans cette interview, c'est qu'au fond le président a raison contre tout le monde avec son gouvernement, qu'il ne changera rien quel que soit le vote des Français dimanche".
"C'est doublement inquiétant", a poursuivi François Hollande.
"Inquiétant, parce qu'on sait parfaitement qu'un scrutin doit forcément être interprété et qu'il y a nécessité à corriger", et "inquiétant parce que tout ce qui a été engagé depuis hélas neuf mois (...) conduit nécessairement à ce que le Premier ministre n'appelle pas un plan de rigueur mais un 'ajustement' et le président de la République 'réforme'", a-t-il estimé.
"Le président est sourd et c'est pour ça qu'il faut voter fort", a lancé Jean-Marc Ayrault.
Si le président reste "sourd", a répliqué Frédéric Lefebvre, "c'est aux attaques souvent indignes dont il est l'objet par une opposition qui est prête à tout pour gagner les municipales".
"Le bateau France a pris le bon cap depuis 10 mois" et "les résultats en matière de chômage ou de résistance à la crise économique internationale en sont la preuve", déclare le secrétaire national de l'UMP dans un communiqué.
yahoo.com
"Aujourd'hui, nous pouvons dire 'il y aura un plan de rigueur', il n'y a que Nicolas Sarkozy qui en nie l'existence", a dit le premier secrétaire du Parti socialiste en réaction à l'interview du chef de l'Etat au Figaro, dans laquelle il affirme "ne pas croire aux plans de rigueur".
Pour Jean-Marc Ayrault, ce qui "paraît surréaliste dans cette interview, c'est qu'au fond le président a raison contre tout le monde avec son gouvernement, qu'il ne changera rien quel que soit le vote des Français dimanche".
"C'est doublement inquiétant", a poursuivi François Hollande.
"Inquiétant, parce qu'on sait parfaitement qu'un scrutin doit forcément être interprété et qu'il y a nécessité à corriger", et "inquiétant parce que tout ce qui a été engagé depuis hélas neuf mois (...) conduit nécessairement à ce que le Premier ministre n'appelle pas un plan de rigueur mais un 'ajustement' et le président de la République 'réforme'", a-t-il estimé.
"Le président est sourd et c'est pour ça qu'il faut voter fort", a lancé Jean-Marc Ayrault.
Si le président reste "sourd", a répliqué Frédéric Lefebvre, "c'est aux attaques souvent indignes dont il est l'objet par une opposition qui est prête à tout pour gagner les municipales".
"Le bateau France a pris le bon cap depuis 10 mois" et "les résultats en matière de chômage ou de résistance à la crise économique internationale en sont la preuve", déclare le secrétaire national de l'UMP dans un communiqué.
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