Phelps a montré que les Etats-Unis étaient une incroyable machine à fabriquer du champion en décrochant huit médailles d'or dans le Water Cube de Pékin, avec sept records du monde, pour améliorer la performance de 1972 de Mark Spitz.
A l'âge de 23 ans, l'Américain s'est imposé sur 200 et 400m quatre nages, 200m nage libre, 100 et 200m papillon, ainsi qu'avec les relais 4x100m nage libre, 4x100m quatre nages et 4x200m nage libre.
Les bouillons de Phelps ont fait passer au second plan les performances de l'équipe de France, pourtant devenue une valeur sûre du sport dans la vague d'Alain Bernard, vainqueur de l'épreuve la plus attendue, le 100 mètres nage libre.
Effondré après avoir été avalé par Jason Lezak dans la dernière longueur du relais 4x100m nage libre, Bernard a survolé l'épreuve individuelle, affichant une force de caractère hors du commun.
Il a également pris le bronze sur 50m nage libre derrière Amaury Leveaux, tandis que Hugues Duboscq décrochait deux médailles de bronze, sur 100 et 200m nage libre.
Dans une compétition où les records du monde ont perdu de leur valeur à force d'être démolis - la Britannique Rebecca Adlington a même effacé la marque de 1989 de Janet Evans sur 800m - les Bleus se sont construit une nouvelle identité.
Dans un sport où, avec l'arrivée de nouvelles combinaisons, le dernier qui a nagé est souvent le plus fort, la France détient six records du monde en petit bassin après d'étincelantes performances aux championnats d'Europe de Rijeka (Croatie).
Une rivalité au sommet de la hiérarchie mondiale est même née entre Bernard et Leveaux, désormais détenteur des records du monde du 50 et 100m en petit bassin.
La densité du sprint français est telle que Bernard, devancé par Leveaux et Fabien Gilot, n'a pu se qualifier pour les finales à Rijeka en vertu de la règle qui veut que deux nageurs par nation accèdent à la dernière course des championnats d'Europe, où Coralie Balmy a repris le flambeau de Laure Manaudou.
La championne olympique d'Athènes, humiliée à Pékin sur 400m nage libre, 100 et 200m dos, est libérée de toute pression depuis que les sprinteurs brillent.
Adolescente broyée par la machine médiatique, Manaudou a tout perdu en Chine et repart de zéro à Marseille, où elle tente d'oublier les images d'une annus horribilis, qui a vu les moments les plus de sa vie intime faire le tour du monde sur internet.
C'est désormais elle qui nage derrière Coralie Balmy, nouvelle championne d'Europe en petit bassin sur 400m nage libre après avoir échoué à huit centièmes du podium à Pékin sur la distance.
Si Manaudou a décidé de continuer, l'Australien Grant Hackett a quitté les bassins à l'âge de 28 ans.
Toujours propriétaire des records du monde du 800 et du 1.500m, il a décroché 18 médailles mondiales (10 d'or) et sept médailles olympiques (trois en or), la dernière en argent en finale du 800m derrière le Tunisien Oussama Mellouli.
Source: Yahoo News
A l'âge de 23 ans, l'Américain s'est imposé sur 200 et 400m quatre nages, 200m nage libre, 100 et 200m papillon, ainsi qu'avec les relais 4x100m nage libre, 4x100m quatre nages et 4x200m nage libre.
Les bouillons de Phelps ont fait passer au second plan les performances de l'équipe de France, pourtant devenue une valeur sûre du sport dans la vague d'Alain Bernard, vainqueur de l'épreuve la plus attendue, le 100 mètres nage libre.
Effondré après avoir été avalé par Jason Lezak dans la dernière longueur du relais 4x100m nage libre, Bernard a survolé l'épreuve individuelle, affichant une force de caractère hors du commun.
Il a également pris le bronze sur 50m nage libre derrière Amaury Leveaux, tandis que Hugues Duboscq décrochait deux médailles de bronze, sur 100 et 200m nage libre.
Dans une compétition où les records du monde ont perdu de leur valeur à force d'être démolis - la Britannique Rebecca Adlington a même effacé la marque de 1989 de Janet Evans sur 800m - les Bleus se sont construit une nouvelle identité.
Dans un sport où, avec l'arrivée de nouvelles combinaisons, le dernier qui a nagé est souvent le plus fort, la France détient six records du monde en petit bassin après d'étincelantes performances aux championnats d'Europe de Rijeka (Croatie).
Une rivalité au sommet de la hiérarchie mondiale est même née entre Bernard et Leveaux, désormais détenteur des records du monde du 50 et 100m en petit bassin.
La densité du sprint français est telle que Bernard, devancé par Leveaux et Fabien Gilot, n'a pu se qualifier pour les finales à Rijeka en vertu de la règle qui veut que deux nageurs par nation accèdent à la dernière course des championnats d'Europe, où Coralie Balmy a repris le flambeau de Laure Manaudou.
La championne olympique d'Athènes, humiliée à Pékin sur 400m nage libre, 100 et 200m dos, est libérée de toute pression depuis que les sprinteurs brillent.
Adolescente broyée par la machine médiatique, Manaudou a tout perdu en Chine et repart de zéro à Marseille, où elle tente d'oublier les images d'une annus horribilis, qui a vu les moments les plus de sa vie intime faire le tour du monde sur internet.
C'est désormais elle qui nage derrière Coralie Balmy, nouvelle championne d'Europe en petit bassin sur 400m nage libre après avoir échoué à huit centièmes du podium à Pékin sur la distance.
Si Manaudou a décidé de continuer, l'Australien Grant Hackett a quitté les bassins à l'âge de 28 ans.
Toujours propriétaire des records du monde du 800 et du 1.500m, il a décroché 18 médailles mondiales (10 d'or) et sept médailles olympiques (trois en or), la dernière en argent en finale du 800m derrière le Tunisien Oussama Mellouli.
Source: Yahoo News
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