Quatorze gérants de bars marseillais ont été respectivement condamnés mardi par le tribunal correctionnel de Marseille pour "détention d'appareils de jeux clandestins" à des peines d'amende de 500 euros.
Ces jeux clandestins, très prisés par le "milieu" marseillais, rapportent parfois plus de 1.500 euros par mois et par machine à leurs propriétaires.
Dans son réquisitoire, le procureur Isabelle Delande a rappelé mardi que ces machines "sont à l'origine des règlements de comptes mortels liés à la répartition des bénéfices" et déploré "la loi du silence". Aucun des mis en cause n'a en effet accepté de dire quels étaient les véritables propriétaires des "bingos".
Un placier de ces machines à sous, âgé de 65 ans, a été condamné pour sa part à 6.000 euros d'amende. Le procureur avait requis contre tous des peines d'amende de 800 à 8.000 euros.
yahoo.com
Ces jeux clandestins, très prisés par le "milieu" marseillais, rapportent parfois plus de 1.500 euros par mois et par machine à leurs propriétaires.
Dans son réquisitoire, le procureur Isabelle Delande a rappelé mardi que ces machines "sont à l'origine des règlements de comptes mortels liés à la répartition des bénéfices" et déploré "la loi du silence". Aucun des mis en cause n'a en effet accepté de dire quels étaient les véritables propriétaires des "bingos".
Un placier de ces machines à sous, âgé de 65 ans, a été condamné pour sa part à 6.000 euros d'amende. Le procureur avait requis contre tous des peines d'amende de 800 à 8.000 euros.
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