"Les nouvelles sont plutôt bonnes. Notre sac de billes, qui s'est un peu vidé au moment de l'élection présidentielle, se remplit à nouveau", s'est félicité Jean-Marie Le Pen lors de son passage dans la cité phocéenne.
Les derniers sondages, qui accordent au FN autour de 10% des intentions de vote sur Marseille, ont ravi le président de la formation d'extrême droite. Dans les quartiers paupérisés du nord de la ville, le FN avoisinerait les 14% des suffrages.
"Une dynamique est en train de naitre, la barre des 20% n'est pas utopique", explique Stéphane Ravier, tête de liste du FN sur Marseille. "On peut espérer avoir cinq élus au futur conseil municipal", estime-t-il.
C'est moins qu'en 1995 quand le FN disposait de neuf sièges, mais davantage qu'en 2001 quand le parti d'extrême droite s'est fait bouter hors de l'hémicycle municipal par le MNR de Bruno Mégret qui avait récolté trois sièges.
La quasi-disparition sur Marseille de l'ancien rival MNR et la chute de Nicolas Sarkozy dans les sondages ont redonné aux dirigeants du FN l'espoir d'un retour à un temps où le Front national ratissait près du quart des suffrages de la ville.
A l'élection présidentielle de 2007, 13,43% des Marseillais ont accordé leur confiance à Jean-Marie Le Pen, soit trois points de plus que la moyenne nationale.
La volonté du FN de peser sur le scrutin municipal dépendra de sa faculté à se maintenir ou pas dans certains des huit secteurs de la ville.
"Nos électeurs reviennent doucement mais sûrement à la maison. Je ne désespère d'avoir des triangulaires dans tous les secteurs", dit Stéphane Ravier.
yahoo.com
Les derniers sondages, qui accordent au FN autour de 10% des intentions de vote sur Marseille, ont ravi le président de la formation d'extrême droite. Dans les quartiers paupérisés du nord de la ville, le FN avoisinerait les 14% des suffrages.
"Une dynamique est en train de naitre, la barre des 20% n'est pas utopique", explique Stéphane Ravier, tête de liste du FN sur Marseille. "On peut espérer avoir cinq élus au futur conseil municipal", estime-t-il.
C'est moins qu'en 1995 quand le FN disposait de neuf sièges, mais davantage qu'en 2001 quand le parti d'extrême droite s'est fait bouter hors de l'hémicycle municipal par le MNR de Bruno Mégret qui avait récolté trois sièges.
La quasi-disparition sur Marseille de l'ancien rival MNR et la chute de Nicolas Sarkozy dans les sondages ont redonné aux dirigeants du FN l'espoir d'un retour à un temps où le Front national ratissait près du quart des suffrages de la ville.
A l'élection présidentielle de 2007, 13,43% des Marseillais ont accordé leur confiance à Jean-Marie Le Pen, soit trois points de plus que la moyenne nationale.
La volonté du FN de peser sur le scrutin municipal dépendra de sa faculté à se maintenir ou pas dans certains des huit secteurs de la ville.
"Nos électeurs reviennent doucement mais sûrement à la maison. Je ne désespère d'avoir des triangulaires dans tous les secteurs", dit Stéphane Ravier.
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