Les violations de la liberté de la presse augmentent, a déclaré le Centre palestinien pour le développement et la liberté des médias dimanche. Les Territoires Palestiniens se trouvent à la 163ème place dans le classement mondial de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières.
11 journalistes ont été arrêtés en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza dans le cadre des luttes entre le Fatah et le Hamas. Du moment que le dialogue pour la réconciliation, qui aurait du se tenir au Caire, a été reporté indéfiniment, on s’attend à que la situation s’empire.
Les attaques de ce mois contre la presse n’ont pas été menés seulement en raison des problèmes internes. Les soldats israéliens ont arrêté trois journalistes et étendu la peine d’un quatrième. Des colons ont attaqué cinq journalistes en Cisjordanie.
Le Centre pour le développement et la liberté des médias a publié un rapport mensuel, dans lequel il a exprimé ses «préoccupations face à la politique de détention de journalistes, qui constitue une grave menace à la liberté d'expression et qui conduit à un déclin ultérieur du professionnalisme des médias palestiniens.»
Les Services de renseignements de l’Autorité Palestinienne à Bethléem ont forcé le caméraman Azid Amarn, à signer un engagement de ne plus travailler avec sa TV. La sécurité liée au Fateh a également essayé de faire pression sur d'autres employés de la Télévision Al-Aqsa, y compris Tariq Shahab de la radio Al-Aqsa et Mohammad Ashtiowi.
Dans la ville de Gaza, les services de sécurité du gouvernement du Hamas ont interdit la couverture médiatique de certains événements qui se sont déroulés au cours des manifestations à l'Université Al-Azhar au début du mois. D'autres rapports indiquent que les journalistes ont été payés pour ne pas couvrir des événements.
Les attaques perpétrées par les forces Israéliennes sur les journalistes ont continué comme d'habitude au cours du mois: plusieurs attaques ont été menées par des colons à Hébron, où un caméraman et un journaliste de l’Agence France ont du être hospitalisés, et à Qalqilya, où des colons ont attaqué une équipe de la Télévision Al-Watan.
Le Centre pour le développement et la liberté des médias est une ONG opérant hors de Ramallah, a été créé en mai 2006, pour répondre aux besoins en Palestine de développer les médias et de rehausser le niveau professionnel des journalistes locaux.
Source: Dabio
11 journalistes ont été arrêtés en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza dans le cadre des luttes entre le Fatah et le Hamas. Du moment que le dialogue pour la réconciliation, qui aurait du se tenir au Caire, a été reporté indéfiniment, on s’attend à que la situation s’empire.
Les attaques de ce mois contre la presse n’ont pas été menés seulement en raison des problèmes internes. Les soldats israéliens ont arrêté trois journalistes et étendu la peine d’un quatrième. Des colons ont attaqué cinq journalistes en Cisjordanie.
Le Centre pour le développement et la liberté des médias a publié un rapport mensuel, dans lequel il a exprimé ses «préoccupations face à la politique de détention de journalistes, qui constitue une grave menace à la liberté d'expression et qui conduit à un déclin ultérieur du professionnalisme des médias palestiniens.»
Les Services de renseignements de l’Autorité Palestinienne à Bethléem ont forcé le caméraman Azid Amarn, à signer un engagement de ne plus travailler avec sa TV. La sécurité liée au Fateh a également essayé de faire pression sur d'autres employés de la Télévision Al-Aqsa, y compris Tariq Shahab de la radio Al-Aqsa et Mohammad Ashtiowi.
Dans la ville de Gaza, les services de sécurité du gouvernement du Hamas ont interdit la couverture médiatique de certains événements qui se sont déroulés au cours des manifestations à l'Université Al-Azhar au début du mois. D'autres rapports indiquent que les journalistes ont été payés pour ne pas couvrir des événements.
Les attaques perpétrées par les forces Israéliennes sur les journalistes ont continué comme d'habitude au cours du mois: plusieurs attaques ont été menées par des colons à Hébron, où un caméraman et un journaliste de l’Agence France ont du être hospitalisés, et à Qalqilya, où des colons ont attaqué une équipe de la Télévision Al-Watan.
Le Centre pour le développement et la liberté des médias est une ONG opérant hors de Ramallah, a été créé en mai 2006, pour répondre aux besoins en Palestine de développer les médias et de rehausser le niveau professionnel des journalistes locaux.
Source: Dabio
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