Vers 05h30 GMT, le brut pour livraison janvier gagnait 6,10% ou 2,49 dollars à 43,30 dollars le baril après avoir fini vendredi à 40,81 dollars dans le sillage des mauvais chiffres de l'emploi aux Etats-Unis.
La semaine dernière, le cours du pétrole US a perdu 25%, sa plus forte chute hebdomadaire depuis janvier 1991 dans le sillage de la première guerre du Golfe.
Le Brent de la mer du Nord s'appréciait de 6,4% oui 2,53 dollars à 42,37 dollars.
Le rebond de Wall Street vendredi en fin de séance a contribué au retournement de tendance sur l'or noir.
L'annonce du maintien par l'Arabie saoudite d'une fourniture réduite aux raffineurs asiatiques en janvier a contribué à alimenter cette reprise, entraînant des rachats de positions à découvert, explique Tetsu Emori, gérant matières premières chez le japonais Astmax.
La perspective d'un plan de soutien à l'automobile américaine alimente aussi la hausse. La Maison blanche et le Congrès travaillaient dimanche à la mise au point d'un accord sur un plan d'aide au secteur. Les discussions portent sur le versement d'au moins 15 milliards de dollars de prêts à court terme.
Le marché attend maintenant la décision de l'Opep sur sa production. Le cartel, qui a déjà réduit son débit de deux millions de barils par jour depuis septembre, se réunit le 17 décembre à Oran en Algérie.
Mais certains pays produisent ainsi plus que leur quota. C'est le cas de l'Iran qui produit plus de 4 millions de bpj, a indiqué samedi le patron de la compagnie pétrolière nationale, soit 250.000 barils par jour de plus que l'estimation fournie par le représentant du pays à l'Opep et nettement plus que son quota Opep.
Selon certains experts, il faudrait que l'Opep baisse sa production de deux millions de barils par jour, ce qui serait sa plus forte réduction en une fois depuis plus de dix ans, pour faire rebondir un marché centré sur la demande.
"La baisse du marché implique que le marché a déjà intégré une baisse de 1,5 million de bpj", explique Tetsu Emori.
Source: Yahoo News
La semaine dernière, le cours du pétrole US a perdu 25%, sa plus forte chute hebdomadaire depuis janvier 1991 dans le sillage de la première guerre du Golfe.
Le Brent de la mer du Nord s'appréciait de 6,4% oui 2,53 dollars à 42,37 dollars.
Le rebond de Wall Street vendredi en fin de séance a contribué au retournement de tendance sur l'or noir.
L'annonce du maintien par l'Arabie saoudite d'une fourniture réduite aux raffineurs asiatiques en janvier a contribué à alimenter cette reprise, entraînant des rachats de positions à découvert, explique Tetsu Emori, gérant matières premières chez le japonais Astmax.
La perspective d'un plan de soutien à l'automobile américaine alimente aussi la hausse. La Maison blanche et le Congrès travaillaient dimanche à la mise au point d'un accord sur un plan d'aide au secteur. Les discussions portent sur le versement d'au moins 15 milliards de dollars de prêts à court terme.
Le marché attend maintenant la décision de l'Opep sur sa production. Le cartel, qui a déjà réduit son débit de deux millions de barils par jour depuis septembre, se réunit le 17 décembre à Oran en Algérie.
Mais certains pays produisent ainsi plus que leur quota. C'est le cas de l'Iran qui produit plus de 4 millions de bpj, a indiqué samedi le patron de la compagnie pétrolière nationale, soit 250.000 barils par jour de plus que l'estimation fournie par le représentant du pays à l'Opep et nettement plus que son quota Opep.
Selon certains experts, il faudrait que l'Opep baisse sa production de deux millions de barils par jour, ce qui serait sa plus forte réduction en une fois depuis plus de dix ans, pour faire rebondir un marché centré sur la demande.
"La baisse du marché implique que le marché a déjà intégré une baisse de 1,5 million de bpj", explique Tetsu Emori.
Source: Yahoo News