Dans le document, transmis par e-mail, les FARC ne précisent pas la date de cette libération, indiquant simplement qu'elle interviendra "bientôt".
La guérilla prévoit de relâcher d'abord trois policiers et un soldat, puis un ancien gouverneur et un ex-député. Ce geste de bonne volonté est destiné à relancer les négociations avec Bogota en vue d'un échange de prisonniers.
Six ont depuis été libérés unilatéralement dans le cadre de la médiation menée par Piedad Cordoba.
Quinze l'ont été le 2 juillet lors de l'opération militaire Jaque, au cours de laquelle la franco-colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains avaient recouvré la liberté. Un dernier otage, Oscar Tulio Lizcano, a réussi à prendre la fuite avec un déserteur, le 26 octobre.
Le 6 décembre, le président Uribe a assuré détenir des informations indiquant que les Farc "faisaient des plans" pour libérer d'autres otages, mais qu'il ne permettrait pas que la guérilla tende "un nouveau piège" aux autorités.
"Actuellement les Farc, avec l'appui d'une dirigeante politique, sont en train de nous tendre un nouveau piège: le gouvernement est informé du fait qu'ils font des plans en vue d'une nouvelle libération humanitaire", avait-il affirmé: "Par avance, nous disons, nous ne l'acceptons pas, c'est une véritable farce".
L'annonce des Farc semble intervenir en réponse à un dialogue proposé par un groupe de personnalités de gauche, dont Piedad Cordoba, le 19 septembre.
La guérilla fondée en 1964 compterait encore entre 7.000 et 10.000 combattants selon les estimations. Elle avait accepté d'entamer l'"échange épistolaire" proposé par quelque 150 intellectuels qui le lui avaient demandé, début décembre, si elle était prête à renoncer aux enlèvements.
C'est aussi la première initiative concrète du mouvement marxiste depuis l'opération Jaque et depuis qu'Alfonso Cano a succédé à son fondateur historique, Manuel Marulanda, dont la mort a été annoncée en mai.
Source: Yahoo News
La guérilla prévoit de relâcher d'abord trois policiers et un soldat, puis un ancien gouverneur et un ex-député. Ce geste de bonne volonté est destiné à relancer les négociations avec Bogota en vue d'un échange de prisonniers.
Six ont depuis été libérés unilatéralement dans le cadre de la médiation menée par Piedad Cordoba.
Quinze l'ont été le 2 juillet lors de l'opération militaire Jaque, au cours de laquelle la franco-colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains avaient recouvré la liberté. Un dernier otage, Oscar Tulio Lizcano, a réussi à prendre la fuite avec un déserteur, le 26 octobre.
Le 6 décembre, le président Uribe a assuré détenir des informations indiquant que les Farc "faisaient des plans" pour libérer d'autres otages, mais qu'il ne permettrait pas que la guérilla tende "un nouveau piège" aux autorités.
"Actuellement les Farc, avec l'appui d'une dirigeante politique, sont en train de nous tendre un nouveau piège: le gouvernement est informé du fait qu'ils font des plans en vue d'une nouvelle libération humanitaire", avait-il affirmé: "Par avance, nous disons, nous ne l'acceptons pas, c'est une véritable farce".
L'annonce des Farc semble intervenir en réponse à un dialogue proposé par un groupe de personnalités de gauche, dont Piedad Cordoba, le 19 septembre.
La guérilla fondée en 1964 compterait encore entre 7.000 et 10.000 combattants selon les estimations. Elle avait accepté d'entamer l'"échange épistolaire" proposé par quelque 150 intellectuels qui le lui avaient demandé, début décembre, si elle était prête à renoncer aux enlèvements.
C'est aussi la première initiative concrète du mouvement marxiste depuis l'opération Jaque et depuis qu'Alfonso Cano a succédé à son fondateur historique, Manuel Marulanda, dont la mort a été annoncée en mai.
Source: Yahoo News
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