Vers 11h00 GMT, le contrat avril sur le brut léger américain gagne 1,67 dollar, soit 1,58%, à 107,35 dollars le baril et le Brent prend 1,87 dollar (+1,84%) à 103,62 dollars.
Les investisseurs attendent à 18h15 GMT la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, qui pourrait ramener son principal taux d'intérêt à 2% pour soutenir la croissance et tenter d'apaiser les craintes suscitées par la crise du crédit.
"La réunion de la Fed sera le point central des investisseurs dans de nombreuses classes d'actifs aujourd'hui", explique Mike Wittner, analyste à la Société générale. "Si la décision de la Fed se traduit par une nouvelle baisse du dollar, ce sera très favorable au pétrole à court terme."
L'évolution de la devise américaine a de fait acquis une influence croissante sur le marché pétrolier ces dernières semaines, reléguant à l'arrière plan les fondamentaux en termes d'offre et de demande.
Mais certains analystes jugent que certains facteurs peuvent alimenter une poursuite de la baisse du pétrole.
"Avec la chasse aux liquidités en cours et la surévaluation de certaines matières premières, il faut s'attendre à ce que les prises de profit continuent", estime ainsi Olivier Jakob, analyste spécialisé de Petromatrix.
Autre facteur défavorable au brut, le net recul des prix des produits raffinés au cours des dernières séances, qui ampute les marges des raffineurs.
Les stocks d'essence aux Etats-Unis se situent à leur plus haut niveau depuis 15 ans et le marché n'anticipe qu'une baisse de 300.000 barils de ces réserves sur la semaine écoulée. Les statistiques hebdomadaires seront publiées mercredi à 14h30 GMT.
yahoo.com
Les investisseurs attendent à 18h15 GMT la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, qui pourrait ramener son principal taux d'intérêt à 2% pour soutenir la croissance et tenter d'apaiser les craintes suscitées par la crise du crédit.
"La réunion de la Fed sera le point central des investisseurs dans de nombreuses classes d'actifs aujourd'hui", explique Mike Wittner, analyste à la Société générale. "Si la décision de la Fed se traduit par une nouvelle baisse du dollar, ce sera très favorable au pétrole à court terme."
L'évolution de la devise américaine a de fait acquis une influence croissante sur le marché pétrolier ces dernières semaines, reléguant à l'arrière plan les fondamentaux en termes d'offre et de demande.
Mais certains analystes jugent que certains facteurs peuvent alimenter une poursuite de la baisse du pétrole.
"Avec la chasse aux liquidités en cours et la surévaluation de certaines matières premières, il faut s'attendre à ce que les prises de profit continuent", estime ainsi Olivier Jakob, analyste spécialisé de Petromatrix.
Autre facteur défavorable au brut, le net recul des prix des produits raffinés au cours des dernières séances, qui ampute les marges des raffineurs.
Les stocks d'essence aux Etats-Unis se situent à leur plus haut niveau depuis 15 ans et le marché n'anticipe qu'une baisse de 300.000 barils de ces réserves sur la semaine écoulée. Les statistiques hebdomadaires seront publiées mercredi à 14h30 GMT.
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