Selon Amath Sall, compte tenu de la centralité de l’agriculture dans l’économie et la société sénégalaise en général, il s’agit de démontrer par une exposition des produits, « notre aspiration à l’indépendance économique ».
Revenant sur la genèse de ce qui peut être qualifié de fête des agriculteurs, le ministre explique qu’à toutes les étapes de ses nombreux déplacements dans le monde rural, il était interpellé par des producteurs, des groupements ou des chefs de villages désireux de rencontrer le président Wade, initiateur de la Goana.
Il avait alors suggéré une rencontre unique où tous auraient l’occasion de lui exprimer leur gratitude et de lui faire part des difficultés auxquelles ils sont confrontés. Et comme la mobilisation exceptionnelle a permis une réussite aussi spectaculaire, M. Sall estime qu’après avoir rendu grâce à Dieu, il convient de remercier celui qui n’a ménagé aucun effort.
D’autant qu’il s’agit d’une production au bénéfice de l’ensemble des Sénégalais. A noter que la production de riz attendue à 378 000 tonnes représente 34 % de la couverture des besoins de consommation, devant atteindre 42%, avec les 200 000 tonnes escomptées en contre-saison. Il reste à faire avancer l’idée du « consommer sénégalais », un processus pour lequel le ministre suggère la plus large vulgarisation possible des résultats de l’Institut de technologie alimentaire (ITA).
Source: Le Soleil
Revenant sur la genèse de ce qui peut être qualifié de fête des agriculteurs, le ministre explique qu’à toutes les étapes de ses nombreux déplacements dans le monde rural, il était interpellé par des producteurs, des groupements ou des chefs de villages désireux de rencontrer le président Wade, initiateur de la Goana.
Il avait alors suggéré une rencontre unique où tous auraient l’occasion de lui exprimer leur gratitude et de lui faire part des difficultés auxquelles ils sont confrontés. Et comme la mobilisation exceptionnelle a permis une réussite aussi spectaculaire, M. Sall estime qu’après avoir rendu grâce à Dieu, il convient de remercier celui qui n’a ménagé aucun effort.
D’autant qu’il s’agit d’une production au bénéfice de l’ensemble des Sénégalais. A noter que la production de riz attendue à 378 000 tonnes représente 34 % de la couverture des besoins de consommation, devant atteindre 42%, avec les 200 000 tonnes escomptées en contre-saison. Il reste à faire avancer l’idée du « consommer sénégalais », un processus pour lequel le ministre suggère la plus large vulgarisation possible des résultats de l’Institut de technologie alimentaire (ITA).
Source: Le Soleil