Le chef de la diplomatie de Pyongyang Pak Ui Chun a paraphé le Traité de coopération et d'amitié, entré en vigueur en 1976 au sein de l'ASEAN, au cours d'une cérémonie au dernier jour de la rencontre annuelle de l'ASEAN, la seule conférence internationale à laquelle Pyongyang assiste régulièrement.
Ce traité exige de ses signataires de renoncer à recourir à la force ou à la menace de la force et de régler leurs différends par des moyens pacifiques. Outre les dix pays-membres (Brunei, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Birmanie, Philippines, Singapour, Thaïlande et Vietnam), il a été signé également par 11 autres nations.
"C'est une expression de notre intention de développer des relations amicales avec les nations de l'ASEAN (...) et de contribuer à la paix et à la stabilité dans la région", a déclaré le porte-parole nord-coréen Ri Tong Il à la presse.
Le chef de la diplomatie de Singapour, George Yeo, a qualifié cette signature de "développement plutôt inattendu" et porteur d'espoir.
Cette adhésion, hautement symbolique, intervient alors que Pyongyang a entamé en 2003 des négociations en vue du démantèlement de son programme nucléaire.
Les négociations à Six ont repris récemment, après la remise par Pyongyang, avec six mois de retard, d'une liste de ses programmes nucléaires. Ce qui a incité les Etats-Unis à alléger certaines de ses sanctions économiques.
Mercredi, les représentants des six pays impliqués dans les pourparlers sur le nucléaire nord-coréen se sont réunis pour la première fois en marge du Forum sur la sécurité régionale de l'ASEAN, auquel assistent les pays-membres et leurs 16 pays partenaires, dont les Etats-Unis et l'Union européenne.
A la suite de ces discussions, auxquelles participaient la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice et son homologue nord-coréen, les participants au Forum régional devraient adopter un document réclamant que l'AIEA, l'agence internationale de l'énergie atomique, joue un rôle centrale dans la vérification de la réalité du démantèlement des activités nucléaires nord-coréennes.
Pyongyang avait au début du mois reçu un projet détaillant la manière dont la communauté internationale compte vérifier ses dires. Mais, malgré quelques objections préliminaires, le régime nord-coréen n'a pas fourni de réponse complète à ce protocole de quatre pages.
Source: yahoo news
Ce traité exige de ses signataires de renoncer à recourir à la force ou à la menace de la force et de régler leurs différends par des moyens pacifiques. Outre les dix pays-membres (Brunei, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Birmanie, Philippines, Singapour, Thaïlande et Vietnam), il a été signé également par 11 autres nations.
"C'est une expression de notre intention de développer des relations amicales avec les nations de l'ASEAN (...) et de contribuer à la paix et à la stabilité dans la région", a déclaré le porte-parole nord-coréen Ri Tong Il à la presse.
Le chef de la diplomatie de Singapour, George Yeo, a qualifié cette signature de "développement plutôt inattendu" et porteur d'espoir.
Cette adhésion, hautement symbolique, intervient alors que Pyongyang a entamé en 2003 des négociations en vue du démantèlement de son programme nucléaire.
Les négociations à Six ont repris récemment, après la remise par Pyongyang, avec six mois de retard, d'une liste de ses programmes nucléaires. Ce qui a incité les Etats-Unis à alléger certaines de ses sanctions économiques.
Mercredi, les représentants des six pays impliqués dans les pourparlers sur le nucléaire nord-coréen se sont réunis pour la première fois en marge du Forum sur la sécurité régionale de l'ASEAN, auquel assistent les pays-membres et leurs 16 pays partenaires, dont les Etats-Unis et l'Union européenne.
A la suite de ces discussions, auxquelles participaient la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice et son homologue nord-coréen, les participants au Forum régional devraient adopter un document réclamant que l'AIEA, l'agence internationale de l'énergie atomique, joue un rôle centrale dans la vérification de la réalité du démantèlement des activités nucléaires nord-coréennes.
Pyongyang avait au début du mois reçu un projet détaillant la manière dont la communauté internationale compte vérifier ses dires. Mais, malgré quelques objections préliminaires, le régime nord-coréen n'a pas fourni de réponse complète à ce protocole de quatre pages.
Source: yahoo news
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