Tous les milieux sociaux sont concernés en France. Depuis 1992 toutefois, la prévalence de l'obésité augmente beaucoup plus vite chez les agriculteurs et les ouvriers que chez les cadres et membres des catégories socioprofessionnelles supérieures. Notamment parmi les femmes.
Les conclusions sont du même ordre en ce qui concerne le niveau d'études. En 2003, 15% des personnes dépourvues de diplôme étaient obèses, contre seulement 5% des diplômés de l'enseignement supérieur. Logiquement, le même clivage est observé en matière de niveau de vie. « La prévalence de l'obésité chez les ménages les plus modestes est de 10% pour les hommes et 13% pour les femmes, alors qu'elle est respectivement de 9% et 6% chez les plus aisés. » La différence se fait donc essentiellement pour la population féminine : « plus le niveau de vie d'une femme est faible, plus elle est corpulente », précisent en effet les rédacteurs.
Source: news.yahoo.com
Les conclusions sont du même ordre en ce qui concerne le niveau d'études. En 2003, 15% des personnes dépourvues de diplôme étaient obèses, contre seulement 5% des diplômés de l'enseignement supérieur. Logiquement, le même clivage est observé en matière de niveau de vie. « La prévalence de l'obésité chez les ménages les plus modestes est de 10% pour les hommes et 13% pour les femmes, alors qu'elle est respectivement de 9% et 6% chez les plus aisés. » La différence se fait donc essentiellement pour la population féminine : « plus le niveau de vie d'une femme est faible, plus elle est corpulente », précisent en effet les rédacteurs.
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