Elle a fait cette déclaration au quatrième jour du procès, alors qu'un policier belge ayant enquêté sur l'affaire, Stéphane Brasseur, venait d'estimer au contraire qu'elle conservait des secrets.
"J'ai tout dit, je n'ai rien d'autre à dire. Je ne vois pas pourquoi je cacherais d'autres choses", a dit l'accusée, jugée pour co-action dans un crime et complicité dans quatre autres, sur les sept dont répond Michel Fourniret.
"Donnez-moi une bonne raison de vous croire, quand on connait vos aveux sélectifs (sur les autres affaires)", lui a lancé un avocat des victimes.
"Je maintiens que j'ai tout dit", a dit l'accusée.
Le policier belge a estimé que Monique Olivier gardait notamment le secret sur l'identité d'une baby-sitter que, dit-elle dans une de ses dépositions, son mari a tué dans les années 1990 alors que le couple résidait en Belgique.
Dans une autre version, elle assure avoir ramené la jeune fille chez elle. L'existence de cette jeune fille est certaine, les policiers belges ayant retrouvé de nombreux témoins qui l'attestent. Ils n'ont cependant pas pu l'identifier à ce jour.
Y compris ce crime, Monique Olivier a accusé à ce jour son mari d'avoir commis onze meurtres. Il est jugé pour sept crimes qu'il a avoués, commis entre 1987 et 2001, et a été mis en examen pour deux autres juste avant le procès.
La dernière affaire concerne Farida Hamiche, compagne d'un co-détenu de Fourniret qu'il aurait tuée en 1988 pour s'approprier le butin du "gang des Postiches". Cette affaire serait prescrite mais a fait l'objet d'une enquête en France, et Fourniret a aussi avoué ce crime.
yahoo.com
"J'ai tout dit, je n'ai rien d'autre à dire. Je ne vois pas pourquoi je cacherais d'autres choses", a dit l'accusée, jugée pour co-action dans un crime et complicité dans quatre autres, sur les sept dont répond Michel Fourniret.
"Donnez-moi une bonne raison de vous croire, quand on connait vos aveux sélectifs (sur les autres affaires)", lui a lancé un avocat des victimes.
"Je maintiens que j'ai tout dit", a dit l'accusée.
Le policier belge a estimé que Monique Olivier gardait notamment le secret sur l'identité d'une baby-sitter que, dit-elle dans une de ses dépositions, son mari a tué dans les années 1990 alors que le couple résidait en Belgique.
Dans une autre version, elle assure avoir ramené la jeune fille chez elle. L'existence de cette jeune fille est certaine, les policiers belges ayant retrouvé de nombreux témoins qui l'attestent. Ils n'ont cependant pas pu l'identifier à ce jour.
Y compris ce crime, Monique Olivier a accusé à ce jour son mari d'avoir commis onze meurtres. Il est jugé pour sept crimes qu'il a avoués, commis entre 1987 et 2001, et a été mis en examen pour deux autres juste avant le procès.
La dernière affaire concerne Farida Hamiche, compagne d'un co-détenu de Fourniret qu'il aurait tuée en 1988 pour s'approprier le butin du "gang des Postiches". Cette affaire serait prescrite mais a fait l'objet d'une enquête en France, et Fourniret a aussi avoué ce crime.
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