"Mon souhait c'est qu'il y ait une négociation avec le MoDem parce qu'effectivement, dans un certain nombre de villes, la position du MoDem est très importante et peut décider du résultat", a déclaré Patrick Devedjian lundi sur RTL.
"Pau est dans cette problématique générale", a-t-il souligné à propos de la capitale du Béarn, où le président du MoDem, François Bayrou, est arrivé en deuxième position dimanche au premier tour, derrière la candidate socialiste Martine Lignières-Cassou et devant le maire sortant Yves Urieta, qui était soutenu par l'UMP.
Patrick Devedjian a placé la balle dans le camp du député centriste. "Ça dépendra de lui. A lui de négocier. C'est lui qui est en situation de demandeur à Pau, eh bien nous l'écoutons", a-t-il dit.
Jean-Pierre Raffarin, vice-président l'UMP, s'est lui aussi dit partisan de négociations avec le MoDem dans le cadre de la "stratégie d'ouverture" du gouvernement.
"L'allié naturel du centre, c'est l'UMP et sa stratégie d'ouverture", a-t-il déclaré sur France 2.
"C'est notre stratégie d'ouverture qui nous permet de dire aux électeurs du centre qu'avec nous ils peuvent participer au pluralisme territorial", a souligné l'ancien Premier ministre, qui a appelé "les électeurs du centre, de droite, les indépendants" à "se rassembler pour ne pas donner toutes les collectivités territoriales au même parti, le Parti socialiste".
Interrogé sur LCI, le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, s'est montré en revanche plus réservé à l'idée d'un rapprochement avec le président du MoDem.
"Je n'ai pas souvenir une seule fois que François Bayrou ait dit du bien du gouvernement actuel", a-t-il fait remarquer.
François Bayrou a fait savoir dimanche soir qu'il ne donnerait aucune consigne nationale de vote pour le second tour.
Le maire sortant UMP de Marseille Jean-Claude Gaudin - qui a rassemblé 41% des voix contre 39% à son adversaire socialiste Jean-Noël Guérini - a dit souhaiter négocier avec le MoDem, qui a obtenu un peu plus de 5% des suffrages.
"J'avais déjà des élus du MoDem sur ma liste, alors si ceux qui se sont présentés et qui ont totalisé un peu plus de 5% veulent venir sur ma liste, ils seront les bienvenus", a-t-il dit sur France Info. "Ils seront sans doute mieux traités que chez mon adversaire, qui pilote tout de manière très brutale".
"Je serais bien sûr désireux, s'il me le demandait, de donner un coup de main à M. François Bayrou", a-t-il ajouté.
yahoo.com
"Pau est dans cette problématique générale", a-t-il souligné à propos de la capitale du Béarn, où le président du MoDem, François Bayrou, est arrivé en deuxième position dimanche au premier tour, derrière la candidate socialiste Martine Lignières-Cassou et devant le maire sortant Yves Urieta, qui était soutenu par l'UMP.
Patrick Devedjian a placé la balle dans le camp du député centriste. "Ça dépendra de lui. A lui de négocier. C'est lui qui est en situation de demandeur à Pau, eh bien nous l'écoutons", a-t-il dit.
Jean-Pierre Raffarin, vice-président l'UMP, s'est lui aussi dit partisan de négociations avec le MoDem dans le cadre de la "stratégie d'ouverture" du gouvernement.
"L'allié naturel du centre, c'est l'UMP et sa stratégie d'ouverture", a-t-il déclaré sur France 2.
"C'est notre stratégie d'ouverture qui nous permet de dire aux électeurs du centre qu'avec nous ils peuvent participer au pluralisme territorial", a souligné l'ancien Premier ministre, qui a appelé "les électeurs du centre, de droite, les indépendants" à "se rassembler pour ne pas donner toutes les collectivités territoriales au même parti, le Parti socialiste".
Interrogé sur LCI, le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, s'est montré en revanche plus réservé à l'idée d'un rapprochement avec le président du MoDem.
"Je n'ai pas souvenir une seule fois que François Bayrou ait dit du bien du gouvernement actuel", a-t-il fait remarquer.
François Bayrou a fait savoir dimanche soir qu'il ne donnerait aucune consigne nationale de vote pour le second tour.
Le maire sortant UMP de Marseille Jean-Claude Gaudin - qui a rassemblé 41% des voix contre 39% à son adversaire socialiste Jean-Noël Guérini - a dit souhaiter négocier avec le MoDem, qui a obtenu un peu plus de 5% des suffrages.
"J'avais déjà des élus du MoDem sur ma liste, alors si ceux qui se sont présentés et qui ont totalisé un peu plus de 5% veulent venir sur ma liste, ils seront les bienvenus", a-t-il dit sur France Info. "Ils seront sans doute mieux traités que chez mon adversaire, qui pilote tout de manière très brutale".
"Je serais bien sûr désireux, s'il me le demandait, de donner un coup de main à M. François Bayrou", a-t-il ajouté.
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