Selon l'accord de cessez-le-feu entre Tbilissi et Moscou conclu en août sous l'égide de la présidence française de l'Union européenne, les forces russes devaient avoir achevé leur retrait du territoire géorgien incontesté aujourd'hui.
Prié par les journalistes l'accompagnant dans la ville géorgienne de Gori de dire s'il pensait que la Russie honorait les termes de l'accord, le chef de la diplomatie française a répondu : "Je pense que oui, mais partiellement".
"Ils devaient quitter la zone tampon avant le 10 octobre et ils l'ont fait" a expliqué le chef de la diplomatie française, qui devait rencontrer dans la journée le président Mikhaïl Saakachvili.
Mais il a dit avoir connaissance de poches de territoire contestées et ajouté que cette question serait discutée à une conférence internationale sur la Géorgie qui se tiendra à Genève le 15 octobre.
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se réunissent quant à eux la semaine prochaine pour décider s'il y a lieu de reprendre les pourparlers sur un partenariat stratégique avec Moscou gelés après l'offensive russe en Géorgie, en août.
Dans les milieux diplomatiques de Bruxelles, on note des divergences entre les Vingt-Sept sur le type de signal à adresser à la Russie pour que ces pourparlers puissent se poursuivre.
Bernard Kouchner s'est rendu dans le village d'Ergneti, proche de la ligne de démarcation avec l'Ossétie du Sud, occupé encore cette semaine par les forces russes, qui disent avoir maintenant achevé leur retrait conformément à l'accord de cessez-le-feu.
L'armée russe a en revanche fait savoir qu'elle resterait en Ossétie du Sud et en Abkhazie, deux provinces sécessionnistes géorgiennes dont Moscou à reconnu l'indépendance autoproclamée.
La Géorgie, pour sa part, estime que la Russie n'a pas respecté son engagement de retrait car ses troupes occupent quelques petites zones dans les deux régions que les forces géorgiennes contrôlaient avant le conflit du mois d'août.
Vêtu d'un costume cravate, Bernard Kouchner a effectué sa visite en jeep en compagne d'un groupe d'observateurs déployés en Géorgie en vertu de l'accord de cessez-le-feu pour vérifier le retrait russe.
Source: Yahoo News
Prié par les journalistes l'accompagnant dans la ville géorgienne de Gori de dire s'il pensait que la Russie honorait les termes de l'accord, le chef de la diplomatie française a répondu : "Je pense que oui, mais partiellement".
"Ils devaient quitter la zone tampon avant le 10 octobre et ils l'ont fait" a expliqué le chef de la diplomatie française, qui devait rencontrer dans la journée le président Mikhaïl Saakachvili.
Mais il a dit avoir connaissance de poches de territoire contestées et ajouté que cette question serait discutée à une conférence internationale sur la Géorgie qui se tiendra à Genève le 15 octobre.
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se réunissent quant à eux la semaine prochaine pour décider s'il y a lieu de reprendre les pourparlers sur un partenariat stratégique avec Moscou gelés après l'offensive russe en Géorgie, en août.
Dans les milieux diplomatiques de Bruxelles, on note des divergences entre les Vingt-Sept sur le type de signal à adresser à la Russie pour que ces pourparlers puissent se poursuivre.
Bernard Kouchner s'est rendu dans le village d'Ergneti, proche de la ligne de démarcation avec l'Ossétie du Sud, occupé encore cette semaine par les forces russes, qui disent avoir maintenant achevé leur retrait conformément à l'accord de cessez-le-feu.
L'armée russe a en revanche fait savoir qu'elle resterait en Ossétie du Sud et en Abkhazie, deux provinces sécessionnistes géorgiennes dont Moscou à reconnu l'indépendance autoproclamée.
La Géorgie, pour sa part, estime que la Russie n'a pas respecté son engagement de retrait car ses troupes occupent quelques petites zones dans les deux régions que les forces géorgiennes contrôlaient avant le conflit du mois d'août.
Vêtu d'un costume cravate, Bernard Kouchner a effectué sa visite en jeep en compagne d'un groupe d'observateurs déployés en Géorgie en vertu de l'accord de cessez-le-feu pour vérifier le retrait russe.
Source: Yahoo News
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