De nombreux responsables d'organes de presse ont confirmé leur adhésion à cet appel et s'organisent pour rendre effective cette journée du lundi sans presse.
Elle devrait se traduire par la fermeture durant 24 heures des stations audiovisuelles et la non parution de plusieurs titres de journaux ainsi que la non mise à jour de différents sites web sénégalais.
Selon un correspondant local de presse, l'observation de la grève signifie un boycott de la Cour d'Assises dont l'ouverture est prévue lundi simultanément dans certaines villes de l'intérieur du Sénégal.
«Cette journée de 24 heures sans information est un grand coup », se réjouit un reporter interviewé dans le journal de midi d'une radio privée dakarois de la bande FM, qui invoque du respect et des égards aux journalistes dans l'exercice de leur profession.
Ces derniers entretiennent avec les pouvoirs publics sénégalais des rapports souvent heurtés alimentés par un faisceau de malentendus qu'ils ne parviennent pas encore à dissiper.
La journée « sans presse » de lundi, qui démarre dimanche à 0 heure, traduit l'exacerbation de cette relation conflictuelle et apparaît « inédite » au Sénégal, selon des observateurs.
A plusieurs occasions, les journalistes sénégalais ont manifesté leur indignation lorsque deux des leurs avaient été violemment réprimés à Dakar par des éléments de la brigade d'intervention polyvalente à l'issue d'un victorieux match international de football du Sénégal contre l'équipe nationale du Liberia.
Source: rewmi.com
Elle devrait se traduire par la fermeture durant 24 heures des stations audiovisuelles et la non parution de plusieurs titres de journaux ainsi que la non mise à jour de différents sites web sénégalais.
Selon un correspondant local de presse, l'observation de la grève signifie un boycott de la Cour d'Assises dont l'ouverture est prévue lundi simultanément dans certaines villes de l'intérieur du Sénégal.
«Cette journée de 24 heures sans information est un grand coup », se réjouit un reporter interviewé dans le journal de midi d'une radio privée dakarois de la bande FM, qui invoque du respect et des égards aux journalistes dans l'exercice de leur profession.
Ces derniers entretiennent avec les pouvoirs publics sénégalais des rapports souvent heurtés alimentés par un faisceau de malentendus qu'ils ne parviennent pas encore à dissiper.
La journée « sans presse » de lundi, qui démarre dimanche à 0 heure, traduit l'exacerbation de cette relation conflictuelle et apparaît « inédite » au Sénégal, selon des observateurs.
A plusieurs occasions, les journalistes sénégalais ont manifesté leur indignation lorsque deux des leurs avaient été violemment réprimés à Dakar par des éléments de la brigade d'intervention polyvalente à l'issue d'un victorieux match international de football du Sénégal contre l'équipe nationale du Liberia.
Source: rewmi.com