La ville n'avait pas connu d'attentat suicide depuis quatre ans. L'attaque, qui a tué au moins huit personnes, a été revendiquée par un groupe inconnu.
L'assaillant, qui était équipé d'une arme automatique, a tiré dans toutes les directions de la salle, où étaient réunis près de 80 élèves, tuant au moins huit étudiants et en blessant neuf autres dont trois grièvement, avant d'être lui-même abattu. Le pire aura peut-être été évité : la police a indiqué qu'il portait une ceinture d'explosifs non actionnée.
D'après les premières informations, le terroriste aurait été tué par un habitant du quartier, qui avait pris position sur le toit d'un bâtiment voisin après avoir entendu les premiers tirs. Les forces de l'ordre fouillent l'établissement pour s'assurer que le tireur a bien agi seul et que d'éventuels complices n'ont pas pris la fuite.
Une attaque revendiquée par un groupe inconnu
L'attentat a été revendiqué dans les heures qui ont suivi par un groupe jusque là inconnu : les Kataëb Ahrar el-Jalil (Brigades des hommes libres de la Galilée)-Groupe du Martyr Imad Moughnieh (Ndlr : du nom du principal dirigeant militaire du Hezbollah assassiné le 12 février) et les martyrs de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères israélien a dénoncé cet acte visant à «tuer les chances de paix. Les terroristes ont attaqué une école et des innocents». Peu après, le département d'Etat américain a «condamné» l'attentat . Cela faisait presque quatre ans que Jérusalem n'avait pas connu d'attentats suicide. Cependant, la police et l'armée n'ont cessé d'affirmer avoir déjoué de nombreuses actions terroristes.
A l'annonce de l'attaque, des manifestations de joie ont éclaté dans la bande de Gaza. Un rassemblement s'est spontanément formé dans le camp de Jabaliya, récent théâtre des raids israéliens. Des haut-parleurs ont scandé des slogans louant les auteurs de l'attentat. Un porte-parole du Hamas a salué une «attaque héroïque» en réponse «aux crimes» d'Israël. Peu après l'attentat, quatre combattants palestiniens ont été tués dans un raid aérien israélien dans le sud de la bande de Gaza. L'incursion de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, pour mettre fin aux tirs de roquette visant Israël, avait entraîné la mort le week-end passé de 80 Gazaouïtes.
lefigaro.fr
L'assaillant, qui était équipé d'une arme automatique, a tiré dans toutes les directions de la salle, où étaient réunis près de 80 élèves, tuant au moins huit étudiants et en blessant neuf autres dont trois grièvement, avant d'être lui-même abattu. Le pire aura peut-être été évité : la police a indiqué qu'il portait une ceinture d'explosifs non actionnée.
D'après les premières informations, le terroriste aurait été tué par un habitant du quartier, qui avait pris position sur le toit d'un bâtiment voisin après avoir entendu les premiers tirs. Les forces de l'ordre fouillent l'établissement pour s'assurer que le tireur a bien agi seul et que d'éventuels complices n'ont pas pris la fuite.
Une attaque revendiquée par un groupe inconnu
L'attentat a été revendiqué dans les heures qui ont suivi par un groupe jusque là inconnu : les Kataëb Ahrar el-Jalil (Brigades des hommes libres de la Galilée)-Groupe du Martyr Imad Moughnieh (Ndlr : du nom du principal dirigeant militaire du Hezbollah assassiné le 12 février) et les martyrs de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères israélien a dénoncé cet acte visant à «tuer les chances de paix. Les terroristes ont attaqué une école et des innocents». Peu après, le département d'Etat américain a «condamné» l'attentat . Cela faisait presque quatre ans que Jérusalem n'avait pas connu d'attentats suicide. Cependant, la police et l'armée n'ont cessé d'affirmer avoir déjoué de nombreuses actions terroristes.
A l'annonce de l'attaque, des manifestations de joie ont éclaté dans la bande de Gaza. Un rassemblement s'est spontanément formé dans le camp de Jabaliya, récent théâtre des raids israéliens. Des haut-parleurs ont scandé des slogans louant les auteurs de l'attentat. Un porte-parole du Hamas a salué une «attaque héroïque» en réponse «aux crimes» d'Israël. Peu après l'attentat, quatre combattants palestiniens ont été tués dans un raid aérien israélien dans le sud de la bande de Gaza. L'incursion de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, pour mettre fin aux tirs de roquette visant Israël, avait entraîné la mort le week-end passé de 80 Gazaouïtes.
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