Le policier israélien s'est tué d'une balle dans la tête, selon les forces de l'ordre, faisant craindre une tentative d'assassinat. Le coup de feu a semé la panique lors de la cérémonie à l'aéroport Ben-Gourion, qui marquait la fin d'une visite de trois jours de M. Sarkozy.
Les gardes du corps ont brusquement escorté le président français et son épouse Carla à l'intérieur de l'avion officiel, Mme Bruni-Sarkozy gravissant les escaliers en courant. D'autres, armes à la main, ont emmené Ehoud Olmert et le président israélien Shimon Pérès vers leur voiture. Le tir a retenti alors qu'un orchestre jouait, et le couple présidentiel et ses hôtes ne semblaient pas l'avoir entendu.
L'alerte a été levée après quelques minutes et Ehoud Olmert est ensuite monté à bord de l'avion présidentiel français pour informer Nicolas Sarkozy de ce qui était arrivé. Le corps du policier, recouvert d'un drap, reposait sur le tarmac. Selon des témoins, il est tombé d'un toit après le tir. Il se trouvait à une centaine de mètres de l'avion.
Le porte-parole de la police, Shlomi Sagi, a confirmé qu'un agent de police s'était suicidé alors que le chef de l'Etat s'apprêtait à monter dans son avion. Un autre porte-parole, Micky Rosenfeld, a souligné que le président n'avait pas été visé par une tentative d'assassinat, contrairement à ce qu'affirmaient certains médias.
Le commandant de police du secteur, Nissim Mor, a fait savoir qu'une enquête avait été ouverte. "Nous enquêtons sur les circonstances (de cet incident) pour voir s'il s'agit d'un suicide ou s'il a accidentellement tiré", a-t-il expliqué. "Il avait pour mission de sécuriser la zone pour éviter que des gens n'atteignent la cérémonie".
Il s'agissait de la première visite d'Etat d'un président français en Israël depuis celle de Jacques Chirac en 1996. Avant cette cérémonie perturbée, Nicolas Sarkozy s'était rendu à Bethléem pour y rencontrer le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
A cette occasion, il a noté que le mur de sécurité érigé par Israël le long des territoires palestiniens ne garantirait pas sa sécurité, appelant une nouvelle fois Israéliens et Palestiniens à faire la paix et partager la ville de Jérusalem. "On ne se protège pas par un mur, on se protège par un choix politique", a-t-il souligné.
Lundi, le chef de l'Etat avait déjà plaidé devant la Knesset pour la création d'un Etat palestinien "indépendant et viable" aux côtés d'Israël, avec Jérusalem "comme capitale de deux peuples".
Source: yahoo news
Les gardes du corps ont brusquement escorté le président français et son épouse Carla à l'intérieur de l'avion officiel, Mme Bruni-Sarkozy gravissant les escaliers en courant. D'autres, armes à la main, ont emmené Ehoud Olmert et le président israélien Shimon Pérès vers leur voiture. Le tir a retenti alors qu'un orchestre jouait, et le couple présidentiel et ses hôtes ne semblaient pas l'avoir entendu.
L'alerte a été levée après quelques minutes et Ehoud Olmert est ensuite monté à bord de l'avion présidentiel français pour informer Nicolas Sarkozy de ce qui était arrivé. Le corps du policier, recouvert d'un drap, reposait sur le tarmac. Selon des témoins, il est tombé d'un toit après le tir. Il se trouvait à une centaine de mètres de l'avion.
Le porte-parole de la police, Shlomi Sagi, a confirmé qu'un agent de police s'était suicidé alors que le chef de l'Etat s'apprêtait à monter dans son avion. Un autre porte-parole, Micky Rosenfeld, a souligné que le président n'avait pas été visé par une tentative d'assassinat, contrairement à ce qu'affirmaient certains médias.
Le commandant de police du secteur, Nissim Mor, a fait savoir qu'une enquête avait été ouverte. "Nous enquêtons sur les circonstances (de cet incident) pour voir s'il s'agit d'un suicide ou s'il a accidentellement tiré", a-t-il expliqué. "Il avait pour mission de sécuriser la zone pour éviter que des gens n'atteignent la cérémonie".
Il s'agissait de la première visite d'Etat d'un président français en Israël depuis celle de Jacques Chirac en 1996. Avant cette cérémonie perturbée, Nicolas Sarkozy s'était rendu à Bethléem pour y rencontrer le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
A cette occasion, il a noté que le mur de sécurité érigé par Israël le long des territoires palestiniens ne garantirait pas sa sécurité, appelant une nouvelle fois Israéliens et Palestiniens à faire la paix et partager la ville de Jérusalem. "On ne se protège pas par un mur, on se protège par un choix politique", a-t-il souligné.
Lundi, le chef de l'Etat avait déjà plaidé devant la Knesset pour la création d'un Etat palestinien "indépendant et viable" aux côtés d'Israël, avec Jérusalem "comme capitale de deux peuples".
Source: yahoo news
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