"Il n'y a pas de place pour une trêve", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Meir Sheetrit alors que l'offensive militaire aérienne contre le territoire palestinien entrait dans sa quatrième journée.
Au moins 345 personnes ont été tuées depuis le début des frappes aériennes.
"Le gouvernement est déterminé à faire cesser la menace de tirs (de roquettes) contre le sud", a-t-il dit. "De fait, l'armée israélienne ne doit pas interrompre cette opération avant d'avoir brisé la volonté des Palestiniens du Hamas de continuer à prendre Israël pour cible."
"C'est notre objectif et il doit être atteint", a-t-il ajouté.
De son côté, le ministre adjoint de la Défense a déclaré qu'Israël est prêt à "de longues semaines d'action".
"L'armée est prête pour une longue opération, nous nous sommes préparés pour de longues semaines d'action", a déclaré Matan Vilnai à l'antenne de Radio Israël.
Un cessez-le-feu ne doit pas être écarté, mais il est conditionné par l'arrêt des tirs de roquettes, a fait valoir l'ambassadeur d'Israël en France, Daniel Shek.
"J'ai dit que l'objectif (était) le rétablissement d'une vie normale pour la population civile israélienne. Un des moyens sans doute possibles théoriques (...) c'est un arrêt des hostilités", a-t-il déclaré sur France Inter.
"Si le Hamas arrête de tirer et peut tenir un engagement à long terme de le faire, je ne vois pas de raison qu'Israël ne soit pas disposé à revenir à cette option", a-t-il ajouté.
Interrogé sur le bilan humain "disproportionné" de l'opération militaire israélienne, il a estimé que cela se justifiait par "l'ampleur de la menace" du Hamas.
"La proportionnalité dans le droit international n'est pas une équation mécanique (...) cela se mesure par l'ampleur de la menace venant du Hamas contre 500.000 Israéliens", a dit Daniel Shek.
Source: Yahooo News
Au moins 345 personnes ont été tuées depuis le début des frappes aériennes.
"Le gouvernement est déterminé à faire cesser la menace de tirs (de roquettes) contre le sud", a-t-il dit. "De fait, l'armée israélienne ne doit pas interrompre cette opération avant d'avoir brisé la volonté des Palestiniens du Hamas de continuer à prendre Israël pour cible."
"C'est notre objectif et il doit être atteint", a-t-il ajouté.
De son côté, le ministre adjoint de la Défense a déclaré qu'Israël est prêt à "de longues semaines d'action".
"L'armée est prête pour une longue opération, nous nous sommes préparés pour de longues semaines d'action", a déclaré Matan Vilnai à l'antenne de Radio Israël.
Un cessez-le-feu ne doit pas être écarté, mais il est conditionné par l'arrêt des tirs de roquettes, a fait valoir l'ambassadeur d'Israël en France, Daniel Shek.
"J'ai dit que l'objectif (était) le rétablissement d'une vie normale pour la population civile israélienne. Un des moyens sans doute possibles théoriques (...) c'est un arrêt des hostilités", a-t-il déclaré sur France Inter.
"Si le Hamas arrête de tirer et peut tenir un engagement à long terme de le faire, je ne vois pas de raison qu'Israël ne soit pas disposé à revenir à cette option", a-t-il ajouté.
Interrogé sur le bilan humain "disproportionné" de l'opération militaire israélienne, il a estimé que cela se justifiait par "l'ampleur de la menace" du Hamas.
"La proportionnalité dans le droit international n'est pas une équation mécanique (...) cela se mesure par l'ampleur de la menace venant du Hamas contre 500.000 Israéliens", a dit Daniel Shek.
Source: Yahooo News
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