"Mme Rice est arrivée ce matin à Bagdad, elle rencontre en ce moment même M. Maliki", a indiqué Armand Cucciniello, un porte-parole de l'ambassade des Etats-Unis à Bagdad.
La secrétaire d'Etat doit également s'entretenir avec le ministre des Affaires étrangères Hoshyar Zebari et donner avec lui une conférence de presse à la mi-journée dans la "zone verte", le secteur ultra-protégé du centre de la capitale, selon un communiqué de l'ambassade.
Mme Rice accompagnait en Arabie Saoudite le président George W. Bush, actuellement en tournée au Proche-Orient.
A Ryad, un porte-parole de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, a expliqué que le président Bush et Mme Rice "avaient décidé que ceci était une bonne occasion pour que la secrétaire d'Etat se rende à Bagdad pour y rencontrer les responsables irakiens, poursuivre les progrès accomplis et encourager à davantage de réconciliation politique et d'action législative".
M. Johndroe a précisé que Mme Rice devrait être de retour mardi soir à Ryad.
Mme Rice s'était rendue pour la dernière fois en Irak à la mi-décembre, à Bagdad et Kirkouk (nord), au plus fort de la crise provoquée par les incursions en Turquie de rebelles kurdes du PKK basés en Irak.
Avec l'Iran et la question palestinienne, l'Irak a été l'un des principaux thèmes abordés par le président Bush lors de sa tournée au Proche Orient.
Samedi, lors de son étape au Koweït, George W. Bush avait affirmé que "l'espoir revenait" en Irak mais qu'il restait beaucoup à faire et que l'Iran devait cesser d'y soutenir les "extrémistes".
"Il reste beaucoup de travail à accomplir, mais le niveau de violence a été réduit de manière significative. L'espoir revient à Bagdad, et l'espoir revient dans les villes et les villages à travers le pays", avait-il assuré, après avoir reçu un rapport sur la situation du commandant des troupes américaines en Irak, le général David Petraeus, et de l'ambassadeur à Bagdad, Ryan Crocker.
L'amélioration de la sécurité doit permettre le retrait de soldats américains, selon M. Bush, qui a évoqué, conformément à de précédentes promesses, une baisse des effectifs de 160.000 hommes à quelque 130.000 d'ici à juillet 2008.
"Le succès à long terme réclame un engagement américain qui survivra à ma présidence", avait-il cependant prévenu. Auparavant, M. Bush avait affirmé que la présence militaire américaine en Irak "pourrait facilement" se prolonger pendant 10 ans ou plus.
Le 12 janvier, alors que le président Bush se trouvait à Bahreïn, le parlement irakien a adopté une loi sur la réhabilitation d'anciens membres du parti Baas de Saddam Hussein, réclamée depuis des mois par l'administration américaine.
Le président Bush a salué ce vote comme "un pas important vers la réconciliation". De nombreux projets de lois, jugés cruciaux pour faire avancer le processus politique, restent cependant en suspens, comme la nouvelle législation sur le partage des ressources pétrolières.
Edicom.ch
La secrétaire d'Etat doit également s'entretenir avec le ministre des Affaires étrangères Hoshyar Zebari et donner avec lui une conférence de presse à la mi-journée dans la "zone verte", le secteur ultra-protégé du centre de la capitale, selon un communiqué de l'ambassade.
Mme Rice accompagnait en Arabie Saoudite le président George W. Bush, actuellement en tournée au Proche-Orient.
A Ryad, un porte-parole de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, a expliqué que le président Bush et Mme Rice "avaient décidé que ceci était une bonne occasion pour que la secrétaire d'Etat se rende à Bagdad pour y rencontrer les responsables irakiens, poursuivre les progrès accomplis et encourager à davantage de réconciliation politique et d'action législative".
M. Johndroe a précisé que Mme Rice devrait être de retour mardi soir à Ryad.
Mme Rice s'était rendue pour la dernière fois en Irak à la mi-décembre, à Bagdad et Kirkouk (nord), au plus fort de la crise provoquée par les incursions en Turquie de rebelles kurdes du PKK basés en Irak.
Avec l'Iran et la question palestinienne, l'Irak a été l'un des principaux thèmes abordés par le président Bush lors de sa tournée au Proche Orient.
Samedi, lors de son étape au Koweït, George W. Bush avait affirmé que "l'espoir revenait" en Irak mais qu'il restait beaucoup à faire et que l'Iran devait cesser d'y soutenir les "extrémistes".
"Il reste beaucoup de travail à accomplir, mais le niveau de violence a été réduit de manière significative. L'espoir revient à Bagdad, et l'espoir revient dans les villes et les villages à travers le pays", avait-il assuré, après avoir reçu un rapport sur la situation du commandant des troupes américaines en Irak, le général David Petraeus, et de l'ambassadeur à Bagdad, Ryan Crocker.
L'amélioration de la sécurité doit permettre le retrait de soldats américains, selon M. Bush, qui a évoqué, conformément à de précédentes promesses, une baisse des effectifs de 160.000 hommes à quelque 130.000 d'ici à juillet 2008.
"Le succès à long terme réclame un engagement américain qui survivra à ma présidence", avait-il cependant prévenu. Auparavant, M. Bush avait affirmé que la présence militaire américaine en Irak "pourrait facilement" se prolonger pendant 10 ans ou plus.
Le 12 janvier, alors que le président Bush se trouvait à Bahreïn, le parlement irakien a adopté une loi sur la réhabilitation d'anciens membres du parti Baas de Saddam Hussein, réclamée depuis des mois par l'administration américaine.
Le président Bush a salué ce vote comme "un pas important vers la réconciliation". De nombreux projets de lois, jugés cruciaux pour faire avancer le processus politique, restent cependant en suspens, comme la nouvelle législation sur le partage des ressources pétrolières.
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