Ce service en ligne, protégé par un mot de passe, permet de stocker des données médicales comme les antécédents médicaux, les traitements suivis ou encore les résultats d'analyses. "Les informations contenues dans votre dossier médical vous appartiennent et ne seront pas partagées avec qui que ce soit sans votre permission", a insisté Eric Schmidt.
Google Health concrétise l'entrée du géant de l'internet dans le champ très sensible de la santé, une perspective qui faisait depuis longtemps l'objet de rumeurs.
Le numéro un mondial de la recherche en ligne, qui tire la majorité de ses revenus de la publicité sur internet, ne prévoit pas de vendre des espaces publicitaires sur Google Health et projette de financer indirectement ce service lorsque les internautes recherchent d'autres informations médicales.
Google avait annoncé la semaine dernière un partenariat avec des chercheurs de la Cleveland Clinic pour tester un système de partage sécurisé des données et le contrôle du stockage des informations est placé sous la responsabilité du patient. Le groupe avait préciser que quelques mois seraient sans doute nécessaires avant de pouvoir proposer plus largement ce service.
Des accords ont également été conclus avec des établissements hospitaliers et différentes entreprises, dont le laboratoire Quest Diagnostics, les sociétés d'assurance santé Aetna et Walgreens, ainsi que les pharmacies du distributeur Walmart.
CRAINTES SUR LA SECURITE DES DONNEES
Différentes entreprises comme IBM, Oracle, Siemens, Microsoft ou encore la start-up Revolution Health, fondée par Steve Case, ancien PDG d'AOL, ont déjà travaillé sur le développement d'un dossier médical numérique unique et centralisé destiné à remplacer les dossiers médicaux manuscrits des différents professionnels de santé. En France, le développement du dossier médical personnel (DMP) est assuré par un Groupement d'intérêt public, le GIP-DMP.
Selon Eric Schmidt, les freins au développement des dossiers médicaux numériques ont plus résidé dans le défaut de prise en compte des besoins des utilisateurs que dans les craintes concernant la confidentialité des données.
Le patron de Google estime que ces services doivent être conçus dans l'optique d'une utilisation par une personne lambda et non pas être développés pour les médecins.
Des organisations de défense de la vie privée se sont empressées de condamner cette initiative. Howard Simon, de l'Union des libertés civiles de Floride, a ainsi déclaré que le stockage des données médicales était risqué, soulignant "qu'une faille de sécurité serait catastrophique".
Au contraire, Andrew Rocklin, de la société Diamond Management & Technology Consultants, qui compte parmi ses clients d'importantes sociétés d'assurance santé américaines, estime que les patients pourraient tirer avantage d'un contrôle accru des données de leurs dossiers médicaux, par exemple dans le cadre d'un programme d'exercice physique ou d'un régime.
Yahoo.fr
Google Health concrétise l'entrée du géant de l'internet dans le champ très sensible de la santé, une perspective qui faisait depuis longtemps l'objet de rumeurs.
Le numéro un mondial de la recherche en ligne, qui tire la majorité de ses revenus de la publicité sur internet, ne prévoit pas de vendre des espaces publicitaires sur Google Health et projette de financer indirectement ce service lorsque les internautes recherchent d'autres informations médicales.
Google avait annoncé la semaine dernière un partenariat avec des chercheurs de la Cleveland Clinic pour tester un système de partage sécurisé des données et le contrôle du stockage des informations est placé sous la responsabilité du patient. Le groupe avait préciser que quelques mois seraient sans doute nécessaires avant de pouvoir proposer plus largement ce service.
Des accords ont également été conclus avec des établissements hospitaliers et différentes entreprises, dont le laboratoire Quest Diagnostics, les sociétés d'assurance santé Aetna et Walgreens, ainsi que les pharmacies du distributeur Walmart.
CRAINTES SUR LA SECURITE DES DONNEES
Différentes entreprises comme IBM, Oracle, Siemens, Microsoft ou encore la start-up Revolution Health, fondée par Steve Case, ancien PDG d'AOL, ont déjà travaillé sur le développement d'un dossier médical numérique unique et centralisé destiné à remplacer les dossiers médicaux manuscrits des différents professionnels de santé. En France, le développement du dossier médical personnel (DMP) est assuré par un Groupement d'intérêt public, le GIP-DMP.
Selon Eric Schmidt, les freins au développement des dossiers médicaux numériques ont plus résidé dans le défaut de prise en compte des besoins des utilisateurs que dans les craintes concernant la confidentialité des données.
Le patron de Google estime que ces services doivent être conçus dans l'optique d'une utilisation par une personne lambda et non pas être développés pour les médecins.
Des organisations de défense de la vie privée se sont empressées de condamner cette initiative. Howard Simon, de l'Union des libertés civiles de Floride, a ainsi déclaré que le stockage des données médicales était risqué, soulignant "qu'une faille de sécurité serait catastrophique".
Au contraire, Andrew Rocklin, de la société Diamond Management & Technology Consultants, qui compte parmi ses clients d'importantes sociétés d'assurance santé américaines, estime que les patients pourraient tirer avantage d'un contrôle accru des données de leurs dossiers médicaux, par exemple dans le cadre d'un programme d'exercice physique ou d'un régime.
Yahoo.fr
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