"Je ne veux pas dire qu'il ne sera jamais temps de discuter, mais je veux dire qu'aujourd'hui, ce n'est pas le moment de parler avec Raul Castro", a déclaré le chef de la Maison blanche, faisant référence au successeur de Fidel Castro à Cuba.
"Il ne représente rien de plus que la continuité de la politique de son frère qui a consisté à conduire une île à la pauvreté et à emprisonner des personnes à cause de leurs convictions", a-t-il ajouté.
Resté jusqu'ici très discret depuis le début de la campagne des primaires aux Etats-Unis, George Bush estime que rencontrer des dirigeants comme Raul Castro ou Mahmoud Ahmadinejad consiterait à "délivrer un mauvais message au monde".
"Cela équivaudrait à décourager ceux qui se demandent aujourd'hui si l'Amérique va poursuivre sa politique de libération des prisonniers" à travers le monde, a-t-il ajouté.
"Cela donnerait du crédit à tous les ennemis des droits de l'homme et de la dignité humaine", a-t-il dit, précisant que toute tentative de dialogue avec ces personnes serait "extrêmement contre-productive".
"Cela peut envoyer des signaux et des messages glaçants à nos alliés. Cela peut semer de la confusion sur notre politique étrangère", a prévenu le président américain.
Yahoo.fr
"Il ne représente rien de plus que la continuité de la politique de son frère qui a consisté à conduire une île à la pauvreté et à emprisonner des personnes à cause de leurs convictions", a-t-il ajouté.
Resté jusqu'ici très discret depuis le début de la campagne des primaires aux Etats-Unis, George Bush estime que rencontrer des dirigeants comme Raul Castro ou Mahmoud Ahmadinejad consiterait à "délivrer un mauvais message au monde".
"Cela équivaudrait à décourager ceux qui se demandent aujourd'hui si l'Amérique va poursuivre sa politique de libération des prisonniers" à travers le monde, a-t-il ajouté.
"Cela donnerait du crédit à tous les ennemis des droits de l'homme et de la dignité humaine", a-t-il dit, précisant que toute tentative de dialogue avec ces personnes serait "extrêmement contre-productive".
"Cela peut envoyer des signaux et des messages glaçants à nos alliés. Cela peut semer de la confusion sur notre politique étrangère", a prévenu le président américain.
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