Lundi, les frères Dardenne, deux fois Palme d'Or à Cannes en 1999 (Rosetta) et 2005 (L'Enfant), reviennent dans la compétition avec "Le Silence de Lorna" tandis que l'Américain James Gray présente son dernier opus "Two Lovers" avec Gwyneth Paltrow et Joaquin Phoenix.
Dimanche, les applaudissements mesurés ont salué la fin des deux heures de la projection de presse d'"Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" dans l'après-midi. Il a aisément évité les huées qui auraient scellé son échec mais n'a pas non plus reçu l'ovation qui aurait marqué son triomphe.
La vraie euphorie a eu lieu avant la projection. Certains spectateurs chantaient le célèbre générique dans l'obscurité avant le début du film et des applaudissements nourris ont salué la première apparition du chapeau de feutre de l'archéologue-aventurier, qu'incarne Harrison Ford à 65 ans, 19 ans après l'épisode précédent.
En revanche, l'accueil de la Croisette a été fervent en soirée pour la montée des marches, qui a sans surprise été la plus impressionnante depuis le début du festival. Quelque 3.000 personnes étaient massées près du tapis rouge avant la projection de gala.
"Je n'ai pas peur, je m'attends à être fouetté de toutes façons. Il n'est pas inhabituel qu'un film populaire soit méprisé par certaines personnes, ça ne me préoccupe guère", avait entre-temps déclaré Harrison Ford en conférence de presse, aux côtés du réalisateur Steven Spielberg et du producteur George Lucas.
Cette suite "a pris beaucoup de temps car c'est moi qui ai tout freiné. Je n'étais pas convaincu et cela a pris du temps de trouver la bonne histoire", a ajouté Spielberg.
L'action se déroule non plus dans les années 30 mais en 1957, en pleine Guerre Froide. Les Soviétiques ont remplacé les Nazis dans le rôle des méchants, avec à leur tête Irina Spalko (Cate Blanchett).
Eux et un "Indy" vieilli se disputent le Crâne de Cristal d'Akator, une relique précolombienne...
Lire la suite dans l'édition du 19 mai 2008 rubrique Culture
Source: news.fr.msn.com
Dimanche, les applaudissements mesurés ont salué la fin des deux heures de la projection de presse d'"Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" dans l'après-midi. Il a aisément évité les huées qui auraient scellé son échec mais n'a pas non plus reçu l'ovation qui aurait marqué son triomphe.
La vraie euphorie a eu lieu avant la projection. Certains spectateurs chantaient le célèbre générique dans l'obscurité avant le début du film et des applaudissements nourris ont salué la première apparition du chapeau de feutre de l'archéologue-aventurier, qu'incarne Harrison Ford à 65 ans, 19 ans après l'épisode précédent.
En revanche, l'accueil de la Croisette a été fervent en soirée pour la montée des marches, qui a sans surprise été la plus impressionnante depuis le début du festival. Quelque 3.000 personnes étaient massées près du tapis rouge avant la projection de gala.
"Je n'ai pas peur, je m'attends à être fouetté de toutes façons. Il n'est pas inhabituel qu'un film populaire soit méprisé par certaines personnes, ça ne me préoccupe guère", avait entre-temps déclaré Harrison Ford en conférence de presse, aux côtés du réalisateur Steven Spielberg et du producteur George Lucas.
Cette suite "a pris beaucoup de temps car c'est moi qui ai tout freiné. Je n'étais pas convaincu et cela a pris du temps de trouver la bonne histoire", a ajouté Spielberg.
L'action se déroule non plus dans les années 30 mais en 1957, en pleine Guerre Froide. Les Soviétiques ont remplacé les Nazis dans le rôle des méchants, avec à leur tête Irina Spalko (Cate Blanchett).
Eux et un "Indy" vieilli se disputent le Crâne de Cristal d'Akator, une relique précolombienne...
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