Cette détérioration de la situation des finances publiques le déficit est attendu à 389 milliards de dollars (247 milliards d'euros) pour l'année fiscale en cours qui se termine le 30 septembre compliquera la tâche du successeur de George Bush, que ce soit le républicain John McCain ou le démocrate Barack Obama.
"Il a été décidé que remettre l'économie sur pied était prioritaire par rapport à la réduction immédiate du déficit", a déclaré le responsable chargé du budget à la Maison blanche Jim Nussle.
En février, la Maison blanche avait estimé que le déficit budgétaire atteindrait 410 milliards de dollars dette année et 407 milliards en 2009.
La Maison blanche anticipe une réduction du déficit à 178 milliards en 2010 et un excédent possible à partir de 2012.
Ces projections de déficit ne comprennent pas le coût total des dépenses pour les guerres d'Irak et d'Afghanistan.
Selon le sénateur Kent Conrad, président de la commission du budget au Sénat, le chiffre annoncé de 482 milliards sera augmenté de 80 milliards supplémentaires en tenant compte du coût total de la guerre en Irak.
Pour 2008, la Maison blanche a également abaissé sa prévision de croissance économique à 1,2%, au lieu d'une précédente estimation de 2,7%. Elle s'aligne ainsi sur les prévisions des économistes privés.
La croissance devrait rebondir à 2,9% l'an prochain et à 3,5% en 2010. Il s'agit là de prévisions plus optimistes que celles d'un certain nombre d'économistes.
La Maison blanche prévoit également une baisse de l'inflation à 2,3% en 2009 après 3,8% cette année "pour peu que les prix alimentaires et de l'énergie se stabilisent".
"Nous ne pensons pas que ce soit un scénario tout rose. Mais c'est un scénario réaliste", a déclaré Edward Lazear, le président des conseillers économiques de la Maison blanche.
Jim Nussle a exclu un second plan de relance fiscale après celui de 168 milliards de dollars sur deux ans approuvé en février.
Les démocrates ont beaucoup critiqué George Bush, qui avait hérité d'excédents budgétaires records, d'avoir creusé le déficit budgétaire pour le porter à un record et d'avoir pratiquement doublé la dette nationale.
D'un montant de 5.600 milliards de dollars quand le président a pris ses fonctions en 2001, elle atteint 9.500 milliards de dollars.
Source: yahoo news
"Il a été décidé que remettre l'économie sur pied était prioritaire par rapport à la réduction immédiate du déficit", a déclaré le responsable chargé du budget à la Maison blanche Jim Nussle.
En février, la Maison blanche avait estimé que le déficit budgétaire atteindrait 410 milliards de dollars dette année et 407 milliards en 2009.
La Maison blanche anticipe une réduction du déficit à 178 milliards en 2010 et un excédent possible à partir de 2012.
Ces projections de déficit ne comprennent pas le coût total des dépenses pour les guerres d'Irak et d'Afghanistan.
Selon le sénateur Kent Conrad, président de la commission du budget au Sénat, le chiffre annoncé de 482 milliards sera augmenté de 80 milliards supplémentaires en tenant compte du coût total de la guerre en Irak.
Pour 2008, la Maison blanche a également abaissé sa prévision de croissance économique à 1,2%, au lieu d'une précédente estimation de 2,7%. Elle s'aligne ainsi sur les prévisions des économistes privés.
La croissance devrait rebondir à 2,9% l'an prochain et à 3,5% en 2010. Il s'agit là de prévisions plus optimistes que celles d'un certain nombre d'économistes.
La Maison blanche prévoit également une baisse de l'inflation à 2,3% en 2009 après 3,8% cette année "pour peu que les prix alimentaires et de l'énergie se stabilisent".
"Nous ne pensons pas que ce soit un scénario tout rose. Mais c'est un scénario réaliste", a déclaré Edward Lazear, le président des conseillers économiques de la Maison blanche.
Jim Nussle a exclu un second plan de relance fiscale après celui de 168 milliards de dollars sur deux ans approuvé en février.
Les démocrates ont beaucoup critiqué George Bush, qui avait hérité d'excédents budgétaires records, d'avoir creusé le déficit budgétaire pour le porter à un record et d'avoir pratiquement doublé la dette nationale.
D'un montant de 5.600 milliards de dollars quand le président a pris ses fonctions en 2001, elle atteint 9.500 milliards de dollars.
Source: yahoo news