"J'annonce un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel entre les forces armées et les factions combattantes, pourvu qu'un système de contrôle efficace soit mis en place et respecté par toutes les parties concernées", a dit Bachir.
"Nous allons immédiatement mettre en oeuvre une campagne de désarmement des milices et restreindre l'usage des armes par les forces de l'ordre", a-t-il dit.
Les rebelles du Mouvement de la justice et de l'égalité (MJE), principale faction combattante au Darfour, ont réagi en affirmant que cette annonce n'était pas sérieuse.
Souleiman Sandal, commandant en chef adjoint de cette faction, a déclaré à Reuters que le MJE ne cessera pas les combats contre les troupes gouvernementales dans la région "tant que ne sera pas trouvé un accord général garantissant les droits du mouvement."
Le cessez-le-feu figurait au nombre des recommandations du Forum du peuple soudanais, qui regroupe des personnalités du gouvernement et de l'opposition.
Bachir, menacé d'inculpation par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre, ne s'est pas prononcé sur la libération des prisonniers politiques du Darfour, autre recommandation du Forum.
Les experts internationaux estiment que 200.000 personnes ont été tuées et que 2,5 millions d'autres ont été déplacées depuis le début du conflit en 2003.
Source: Yahoo News
"Nous allons immédiatement mettre en oeuvre une campagne de désarmement des milices et restreindre l'usage des armes par les forces de l'ordre", a-t-il dit.
Les rebelles du Mouvement de la justice et de l'égalité (MJE), principale faction combattante au Darfour, ont réagi en affirmant que cette annonce n'était pas sérieuse.
Souleiman Sandal, commandant en chef adjoint de cette faction, a déclaré à Reuters que le MJE ne cessera pas les combats contre les troupes gouvernementales dans la région "tant que ne sera pas trouvé un accord général garantissant les droits du mouvement."
Le cessez-le-feu figurait au nombre des recommandations du Forum du peuple soudanais, qui regroupe des personnalités du gouvernement et de l'opposition.
Bachir, menacé d'inculpation par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre, ne s'est pas prononcé sur la libération des prisonniers politiques du Darfour, autre recommandation du Forum.
Les experts internationaux estiment que 200.000 personnes ont été tuées et que 2,5 millions d'autres ont été déplacées depuis le début du conflit en 2003.
Source: Yahoo News
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