Soutenus par des députés et des Haïtiens aisés, les manifestants ont défilé dans le calme jusqu'au ministère de la Justice et la Cour suprême. Des milliers de personnes étaient également dans la rue pour regarder le cortège.
Selon l'ONU, plus de 157 personnes ont été enlevées cette année à Haïti, soit une hausse de 10% par rapport à 2007.
Les enlèvements en vue de réclamer des rançons importantes sont devenus un fléau depuis 2005, provoquant un arrêt des investissements étrangers et une déstabilisation du gouvernement. Toutes les couches de la population sont concernées, des étrangers en passant par les enfants.
Un manifestant défilait avec la photo de Karim Xavier Gaspard, 16 ans, fils de banquier, qui a été retrouvé mort sur un marché alors que ses parents avaient payé une rançon. "Haïti souffre d'une grave maladie", a déploré Stephen William Phelps, un ami du père de la victime. "Nous avons tous la responsabilité de dire 'non'".
De nombreux manifestants ont accusé le système judiciaire de ne pas agir contre les ravisseurs en ne les condamnant pas à la prison à perpétuité. "Nous en avons assez", ont-ils crié devant le palais de justice, brandissant des banderoles "l'enlèvement est le retour à l'esclavage".
Source: yahoo news
Selon l'ONU, plus de 157 personnes ont été enlevées cette année à Haïti, soit une hausse de 10% par rapport à 2007.
Les enlèvements en vue de réclamer des rançons importantes sont devenus un fléau depuis 2005, provoquant un arrêt des investissements étrangers et une déstabilisation du gouvernement. Toutes les couches de la population sont concernées, des étrangers en passant par les enfants.
Un manifestant défilait avec la photo de Karim Xavier Gaspard, 16 ans, fils de banquier, qui a été retrouvé mort sur un marché alors que ses parents avaient payé une rançon. "Haïti souffre d'une grave maladie", a déploré Stephen William Phelps, un ami du père de la victime. "Nous avons tous la responsabilité de dire 'non'".
De nombreux manifestants ont accusé le système judiciaire de ne pas agir contre les ravisseurs en ne les condamnant pas à la prison à perpétuité. "Nous en avons assez", ont-ils crié devant le palais de justice, brandissant des banderoles "l'enlèvement est le retour à l'esclavage".
Source: yahoo news
À lire également :
-
Meurtre de Brian Thompson : Qui est Luigi Mangione, l'homme arrêté ?
-
Augmentation des recherches pour quitter les États-Unis après la réélection de Trump
-
Donald Trump élu 47e Président des États-Unis : Retour historique à la Maison-Blanche
-
2024 : Un Combat pour l'Âme de l'Amérique - Trump contre Harris
-
Cuba plongée dans l’obscurité après l’arrêt de sa principale centrale thermique