Environ 5.100 policiers ont retenu les manifestants pendant trois heures dans l'après-midi, mais des groupes de manifestants sont finalement parvenus à rompre les barrages.
Avec la poursuite et l'amplification du mouvement, les manifestants, qui se réclament de l'Alliance du Peuple pour la Démocratie (PAD) ont crié victoire.
"C'est une victoire du PAD et de ses méthodes pacifiques, obtenue sans affrontements ni bain de sang" a déclaré le porte-parole du mouvement Suriyasai Katasila dans un discours.
"Le gouvernement Samak doit démissionner car il a totalement échoué à résoudre les problèmes économiques, il s'est ingéré dans les affaires judiciaires, il a favorisé le retour en Thaïlande de (l'ancien Premier ministre) Thaksin et a essayé de modifier la Constitution", a-t-il poursuivi.
Alors que les manifestants étaient massés devant les bureaux du Premier ministre, un porte-parole du gouvernement indiquait que "la police ne (ferait) usage des gaz lacrymogènes ou des canons à eau qu'en dernier recours".
Le porte-parole Nuthawut Saikua a affirmé que le Premier ministre ne démissionnerait pas: "C'est un gouvernement du peuple", a-t-il indiqué à des journalistes.
Les manifestants accusent le Premier ministre de n'être que l'instrument de l'ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, chassé du pouvoir par un coup d'Etat des royalistes en 2006.
Le mouvement, mené par une coalition hétéroclite de patrons de médias ou un général à la retraite aujourd'hui à la tête d'une secte de moines bouddhistes extrémistes, a également revendiqué son attachement au roi Bhumibol Adulyadej, âgé de 80 ans, chantant des chansons à sa gloire et brandissant des insignes de la royauté.
"Nous combattons pour le roi et pour notre Thaïlande" ou "Pars de Thaïlande, Thaksin" figuraient sur les banderoles.
L'Alliance regroupe des élites légitimistes de Bangkok n'ayant qu'un point commun: leur haine de M. Thaksin, homme d'affaires de 58 ans, qui reste populaire malgré son éviction du pouvoir, en particulier parmi les paysans du nord du pays.
Depuis le début des manifestations, il y a quatre semaines, la situation économique s'est dégradée, avec une inflation galopante, tandis que la bourse thaïlandaise a chuté de 15%.
Source: yahoo news
Avec la poursuite et l'amplification du mouvement, les manifestants, qui se réclament de l'Alliance du Peuple pour la Démocratie (PAD) ont crié victoire.
"C'est une victoire du PAD et de ses méthodes pacifiques, obtenue sans affrontements ni bain de sang" a déclaré le porte-parole du mouvement Suriyasai Katasila dans un discours.
"Le gouvernement Samak doit démissionner car il a totalement échoué à résoudre les problèmes économiques, il s'est ingéré dans les affaires judiciaires, il a favorisé le retour en Thaïlande de (l'ancien Premier ministre) Thaksin et a essayé de modifier la Constitution", a-t-il poursuivi.
Alors que les manifestants étaient massés devant les bureaux du Premier ministre, un porte-parole du gouvernement indiquait que "la police ne (ferait) usage des gaz lacrymogènes ou des canons à eau qu'en dernier recours".
Le porte-parole Nuthawut Saikua a affirmé que le Premier ministre ne démissionnerait pas: "C'est un gouvernement du peuple", a-t-il indiqué à des journalistes.
Les manifestants accusent le Premier ministre de n'être que l'instrument de l'ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, chassé du pouvoir par un coup d'Etat des royalistes en 2006.
Le mouvement, mené par une coalition hétéroclite de patrons de médias ou un général à la retraite aujourd'hui à la tête d'une secte de moines bouddhistes extrémistes, a également revendiqué son attachement au roi Bhumibol Adulyadej, âgé de 80 ans, chantant des chansons à sa gloire et brandissant des insignes de la royauté.
"Nous combattons pour le roi et pour notre Thaïlande" ou "Pars de Thaïlande, Thaksin" figuraient sur les banderoles.
L'Alliance regroupe des élites légitimistes de Bangkok n'ayant qu'un point commun: leur haine de M. Thaksin, homme d'affaires de 58 ans, qui reste populaire malgré son éviction du pouvoir, en particulier parmi les paysans du nord du pays.
Depuis le début des manifestations, il y a quatre semaines, la situation économique s'est dégradée, avec une inflation galopante, tandis que la bourse thaïlandaise a chuté de 15%.
Source: yahoo news
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