Paris et les autres Bourses européennes ont fortement rebondi lundi après l'annonce d'actions coordonnées et déterminées des pays de la zone euro visant à sauver un système bancaire ébranlé par 14 mois de crise financière.
L'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, a clôturé en hausse de 11,18% à 3.531,50 points, la plus forte hausse de son histoire, dans un volume substantiel pour un lundi (9,4 milliards d'euros dont 8,0 milliards sur les valeurs du CAC). La semaine dernière, l'indice avait enregistré une perte hebdomadaire historique de 22,2%.
Londres a fait un bond de 7,14%, Francfort de 11,4% et l'indice paneuropéen, FTSE Eurofirst 300 a grimpé de 9,17%.
Ce rebond des Bourses s'est accompagné d'une détente généralisée des taux sur les marchés interbancaires européens dont le retour à la normale est la priorité numéro un des gouvernements européens et américain.
La Bourse de New York amplifiait son rebond lundi à la mi-séance, portée par les interventions massives des gouvernements européens et américain ce week-end face à la crise financière: le Dow Jones gagnait 5,95% et le Nasdaq 6,34%.
Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) prenait 502,98 points, à 8.954,17 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 104,62 points, à 1.754,13 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 progressait de 5,99% (53,90 points), à 953,12 points.
Le marché obligataire était fermé, comme de nombreuses banques, lundi étant partiellement chômé aux Etats-Unis en l'honneur de Christophe Colomb.
Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, s'inquiétant de la possibilité d'une récession mondiale, a plaidé lundi pour que les Etats en mesure de le faire adoptent des plans de relance budgétaire après les mesures de sauvetage du secteur financier.
"L'utilisation la plus évidente de la politique budgétaire est d'alléger les pressions là où elles sont les plus fortes: dans les secteurs financier et immobilier. Mais les gouvernements qui peuvent se le permettre devraient être également prêts à entreprendre un plan de relance budgétaire plus large", a expliqué M. Strauss-Kahn lors d'un discours devant le conseil des gouverneurs du FMI à Washington.
L'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, a clôturé en hausse de 11,18% à 3.531,50 points, la plus forte hausse de son histoire, dans un volume substantiel pour un lundi (9,4 milliards d'euros dont 8,0 milliards sur les valeurs du CAC). La semaine dernière, l'indice avait enregistré une perte hebdomadaire historique de 22,2%.
Londres a fait un bond de 7,14%, Francfort de 11,4% et l'indice paneuropéen, FTSE Eurofirst 300 a grimpé de 9,17%.
Ce rebond des Bourses s'est accompagné d'une détente généralisée des taux sur les marchés interbancaires européens dont le retour à la normale est la priorité numéro un des gouvernements européens et américain.
La Bourse de New York amplifiait son rebond lundi à la mi-séance, portée par les interventions massives des gouvernements européens et américain ce week-end face à la crise financière: le Dow Jones gagnait 5,95% et le Nasdaq 6,34%.
Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) prenait 502,98 points, à 8.954,17 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 104,62 points, à 1.754,13 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 progressait de 5,99% (53,90 points), à 953,12 points.
Le marché obligataire était fermé, comme de nombreuses banques, lundi étant partiellement chômé aux Etats-Unis en l'honneur de Christophe Colomb.
Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, s'inquiétant de la possibilité d'une récession mondiale, a plaidé lundi pour que les Etats en mesure de le faire adoptent des plans de relance budgétaire après les mesures de sauvetage du secteur financier.
"L'utilisation la plus évidente de la politique budgétaire est d'alléger les pressions là où elles sont les plus fortes: dans les secteurs financier et immobilier. Mais les gouvernements qui peuvent se le permettre devraient être également prêts à entreprendre un plan de relance budgétaire plus large", a expliqué M. Strauss-Kahn lors d'un discours devant le conseil des gouverneurs du FMI à Washington.
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