Ce match continental n'était pas seulement le deuxième rendez-vous de poule en UEFA pour les Stéphanois, après une victoire 3-1 face à Copenhague, il y a quinze jours au Danemark. Il s'inscrivait aussi dans la "trilogie" censée sauver ou condamner le staff technique mené par Laurent Roussey.
Face au mauvais parcours en Ligue 1 avec quatre défaites consécutives, série en cours, la direction du club a envoyé sur son site internet un ultimatum à Roussey et ses troupes pour se reprendre lors des rencontres face à Marseille, Rosenborg et Rennes.
L'ambiance pesante ne fait pas vraiment sourire Geoffrey Dernis, malgré le succès flatteur face aux Norvégiens qui propulse quasiment les Verts en 16e de finale de la compétition.
"On sait comment cela marche. Aujourd'hui, on gagne, tout le monde dit 'c'est génial' mais si on perd contre Rennes, vous allez nous tuer. Nous sommes modérés", tempère le milieu de terrain de l'ASSE.
Car le vrai juge de paix de l'avenir d'un staff qui ne tient qu'à un fil, c'est désormais clairement le match de dimanche face à Rennes.
"Je serai pleinement heureux contre Rennes si on gagne, car on ne va pas se mentir, ce qui est primordial, c'est le championnat", ajoute Dernis.
"Nous avons fait ce qu'il fallait, nous sommes contents, je vous rassure mais on ne peut pas trop exprimer de joie si contre Rennes dimanche, il n'y a pas de points."
Dans la Coupe de l'UEFA, Saint-Etienne a presque assuré sa qualification. Il lui reste deux matches à Bruges et face à Valence à domicile dans une poule où les trois premiers sur cinq passent le cap. Cela rassure et le match contre Rosenborg peut désormais servir de référence.
"Il faudra se servir de ce match-là pour montrer que dans les efforts, dans les envies, même quand cela ne se passe pas très bien, on arrive à faire le dos rond", dit encore Dernis.
"On s'est battu pour avoir cette coupe d'Europe l'an passé donc c'est bien d'en être là, premier de notre groupe et en ballottage favorable."
Un match sous haute tension avec un coach menacé et sauvé par notamment l'un de ses moins fidèles soutiens dans le groupe - le Brésilien Ilan -, c'est ce qu'il faudra retenir de cette rencontre au final surréaliste puisque les trois buts ont été inscrits dans la dernière demi-heure.
Les deux co-présidents, Roland Romeyer et Bernard Caiazzo, sont venus enlacer chaleureusement, avec bises à la clef, Laurent Roussey, à qui ils ont en début de semaine envoyé le fameux communiqué en forme d'ultimatum.
"Mais nous ne nous étions pas vu, nous nous sommes simplement dit bonjour", commente Laurent Roussey, avant de dédramatiser.
"Je n'ai pas d'épée de Damoclès sur la tête. Je suis entraîneur. C'est mon métier. Ma mission, c'est d'avoir une certaine sagesse, d'être intelligent et surtout de faire corps avec le groupe. Cela a été démontré dans cette rencontre. A nous de passer au match suivant."
Source: Yahoo News
Face au mauvais parcours en Ligue 1 avec quatre défaites consécutives, série en cours, la direction du club a envoyé sur son site internet un ultimatum à Roussey et ses troupes pour se reprendre lors des rencontres face à Marseille, Rosenborg et Rennes.
L'ambiance pesante ne fait pas vraiment sourire Geoffrey Dernis, malgré le succès flatteur face aux Norvégiens qui propulse quasiment les Verts en 16e de finale de la compétition.
"On sait comment cela marche. Aujourd'hui, on gagne, tout le monde dit 'c'est génial' mais si on perd contre Rennes, vous allez nous tuer. Nous sommes modérés", tempère le milieu de terrain de l'ASSE.
Car le vrai juge de paix de l'avenir d'un staff qui ne tient qu'à un fil, c'est désormais clairement le match de dimanche face à Rennes.
"Je serai pleinement heureux contre Rennes si on gagne, car on ne va pas se mentir, ce qui est primordial, c'est le championnat", ajoute Dernis.
"Nous avons fait ce qu'il fallait, nous sommes contents, je vous rassure mais on ne peut pas trop exprimer de joie si contre Rennes dimanche, il n'y a pas de points."
Dans la Coupe de l'UEFA, Saint-Etienne a presque assuré sa qualification. Il lui reste deux matches à Bruges et face à Valence à domicile dans une poule où les trois premiers sur cinq passent le cap. Cela rassure et le match contre Rosenborg peut désormais servir de référence.
"Il faudra se servir de ce match-là pour montrer que dans les efforts, dans les envies, même quand cela ne se passe pas très bien, on arrive à faire le dos rond", dit encore Dernis.
"On s'est battu pour avoir cette coupe d'Europe l'an passé donc c'est bien d'en être là, premier de notre groupe et en ballottage favorable."
Un match sous haute tension avec un coach menacé et sauvé par notamment l'un de ses moins fidèles soutiens dans le groupe - le Brésilien Ilan -, c'est ce qu'il faudra retenir de cette rencontre au final surréaliste puisque les trois buts ont été inscrits dans la dernière demi-heure.
Les deux co-présidents, Roland Romeyer et Bernard Caiazzo, sont venus enlacer chaleureusement, avec bises à la clef, Laurent Roussey, à qui ils ont en début de semaine envoyé le fameux communiqué en forme d'ultimatum.
"Mais nous ne nous étions pas vu, nous nous sommes simplement dit bonjour", commente Laurent Roussey, avant de dédramatiser.
"Je n'ai pas d'épée de Damoclès sur la tête. Je suis entraîneur. C'est mon métier. Ma mission, c'est d'avoir une certaine sagesse, d'être intelligent et surtout de faire corps avec le groupe. Cela a été démontré dans cette rencontre. A nous de passer au match suivant."
Source: Yahoo News
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