L'appel des ex-rebelles, lancé ce week-end depuis leur fief de Bouaké, dans le centre du pays, vient ajouter de nouveaux doutes quant à la possibilité d'organiser ce scrutin crucial dans les temps.
Le président Laurent Gbagbo a déjà proposé de reporter le vote voilà deux semaines. Plusieurs analystes, ainsi que des membres du parti au pouvoir et de l'opposition ont eux estimé qu'il ne serait pas possible de tenir cette élection cette année.
Ce scrutin doit être la dernière étape du processus de normalisation et de réunification du pays divisé entre le nord sous contrôle rebelle et le sud loyaliste depuis les combats de 2002.
Dans un document rendu public samedi après la fin de leur réunion, les ex-rebelles demandent à la commission électorale indépendante de "proposer une nouvelle date pour le scrutin".
Le mandat de cinq ans de M. Gbagbo devait expirer fin octobre 2005 mais le président est resté au pouvoir en invoquant une clause constitutionnelle qui autorise le chef de l'Etat à se maintenir en cas de guerre ou de crise nationale. L'élection a depuis été reportée à de multiples reprises.
Un accord de paix conclu en 2007 au Burkina Faso avait fait du chef des rebelles le nouveau Premier ministre et ouvert la voie à une élection présidentielle. Mais le nord reste pour l'essentiel aux mains des ex-rebelles, qui considèrent que l'inscription des électeurs est encore loin d'être terminée, 20 des 70 centres prévus à cet effet ne fonctionnant pas.
Source: Yahoo News
Le président Laurent Gbagbo a déjà proposé de reporter le vote voilà deux semaines. Plusieurs analystes, ainsi que des membres du parti au pouvoir et de l'opposition ont eux estimé qu'il ne serait pas possible de tenir cette élection cette année.
Ce scrutin doit être la dernière étape du processus de normalisation et de réunification du pays divisé entre le nord sous contrôle rebelle et le sud loyaliste depuis les combats de 2002.
Dans un document rendu public samedi après la fin de leur réunion, les ex-rebelles demandent à la commission électorale indépendante de "proposer une nouvelle date pour le scrutin".
Le mandat de cinq ans de M. Gbagbo devait expirer fin octobre 2005 mais le président est resté au pouvoir en invoquant une clause constitutionnelle qui autorise le chef de l'Etat à se maintenir en cas de guerre ou de crise nationale. L'élection a depuis été reportée à de multiples reprises.
Un accord de paix conclu en 2007 au Burkina Faso avait fait du chef des rebelles le nouveau Premier ministre et ouvert la voie à une élection présidentielle. Mais le nord reste pour l'essentiel aux mains des ex-rebelles, qui considèrent que l'inscription des électeurs est encore loin d'être terminée, 20 des 70 centres prévus à cet effet ne fonctionnant pas.
Source: Yahoo News
A lire également:
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises