Condamné à une peine de 34 ans d'emprisonnement et incarcéré dans la ville de Combita, dans le nord du pays, Nolberto Uni Vega a confié mardi ses regrets à plusieurs journalistes venus le rencontrer avant d'annoncer qu'il avait rédigé une lettre à l'intention du chef de l'Etat français.
Prisonnier derrière une cage métallique, l'ancien FARC aujourd'hui âgé de 36 ans a transmis sa missive à une journaliste chargée de la remettre en main propre à la mère de l'otage, Yolanda Pulecio, qui servira d'intermédiaire avec Nicolas Sarkozy. "J'ai beaucoup d'admiration pour elle", a-t-il dit.
"La famille, sa mère, ses enfants, son mari, beaucoup de personnes souffrent", a déclaré Nolberto Uni Vega.
L'ex-guérillero des Forces armées révolutionnaires de Colombie a affirmé que l'enlèvement d'Ingrid Betancourt n'avait jamais été planifié par l'état-major de la rébellion et qu'il se trouvait à un point de contrôle sur une route colombienne le jour de la capture de la candidate à l'élection présidentielle, le 23 février 2002. "Les ordres étaient d'arrêter toute personnalité politique d'envergure nationale", a-t-il expliqué.
Ingrid Betancourt pensait qu'elle se trouvait à un barrage militaire lors de son arrestation et celle-ci a pris peur lorsqu'elle s'est rendue compte qu'il s'agissait en fait d'un point de contrôle des FARC, a expliqué Nolberto Uni Vega.
"Son visage a changé de couleur", s'est-il souvenu, ajoutant que la Franco-Colombienne ne lui avait pas adressé la parole sur le moment. Nolberto Uni Vega a précisé qu'il n'était resté qu'une journée en compagnie de la sénatrice avant qu'elle ne soit livrée à d'autres membres des FARC.
Contactée mardi par l'Associated Press, la soeur de l'otage franco-colombienne, Astrid Betancourt, a refusé de réagir aux regrets exprimés par cet ancien rebelle.
Source: yahoo news
Prisonnier derrière une cage métallique, l'ancien FARC aujourd'hui âgé de 36 ans a transmis sa missive à une journaliste chargée de la remettre en main propre à la mère de l'otage, Yolanda Pulecio, qui servira d'intermédiaire avec Nicolas Sarkozy. "J'ai beaucoup d'admiration pour elle", a-t-il dit.
"La famille, sa mère, ses enfants, son mari, beaucoup de personnes souffrent", a déclaré Nolberto Uni Vega.
L'ex-guérillero des Forces armées révolutionnaires de Colombie a affirmé que l'enlèvement d'Ingrid Betancourt n'avait jamais été planifié par l'état-major de la rébellion et qu'il se trouvait à un point de contrôle sur une route colombienne le jour de la capture de la candidate à l'élection présidentielle, le 23 février 2002. "Les ordres étaient d'arrêter toute personnalité politique d'envergure nationale", a-t-il expliqué.
Ingrid Betancourt pensait qu'elle se trouvait à un barrage militaire lors de son arrestation et celle-ci a pris peur lorsqu'elle s'est rendue compte qu'il s'agissait en fait d'un point de contrôle des FARC, a expliqué Nolberto Uni Vega.
"Son visage a changé de couleur", s'est-il souvenu, ajoutant que la Franco-Colombienne ne lui avait pas adressé la parole sur le moment. Nolberto Uni Vega a précisé qu'il n'était resté qu'une journée en compagnie de la sénatrice avant qu'elle ne soit livrée à d'autres membres des FARC.
Contactée mardi par l'Associated Press, la soeur de l'otage franco-colombienne, Astrid Betancourt, a refusé de réagir aux regrets exprimés par cet ancien rebelle.
Source: yahoo news
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