Lors de la première séance du Conseil de Paris, à l'Hôtel de ville, le maire sortant socialiste a obtenu 98 voix sur 163.
L'UMP avait choisi de ne pas présenter de candidat et dit son intention de voter blanc. Au total, la "gauche plurielle" compte 99 conseillers de Paris dans la nouvelle assemblée contre 63 au sein du groupe UMP.
Pour cette reprise des travaux municipaux, les conseillers ont pris place dans l'hémicycle par ordre alphabétique. En jeans et veste noire, sa marque de fabrique, Marielle de Sarnez, unique élue du MoDem, s'est installée au dernier rang.
La séance devait se poursuivre avec le discours du maire et l'annonce de la composition de son nouvel exécutif.
L'élection s'est déroulée à bulletin secret, les conseillers déposant un à un une petite enveloppe rose pâle sous les yeux du président de la séance, le doyen d'âge, l'UMP Pierre-Christian Taittinger, réélu dans le XVIe arrondissement à 82 ans.
Plusieurs élus ont déclenché les crépitements des flashes : la ministre de la Justice, Rachida Dati, tête de liste UMP victorieuse dans le VIIe arrondissement, et celle de l'Economie, Christine Lagarde, battue dans le XIIe.
A gauche, crâne rasé et barbichette pour les besoins d'un nouveau rôle, le comédien Philippe Torreton, nouvel élu socialiste du IXe, a attiré l'il des photographes de même que la réalisatrice Yamina Benguigui (XXe) ou le leader étudiant Bruno Julliard (XIIIe).
Dans une brève déclaration, Françoise de Panafieu, candidate de l'UMP battue dans la course à la mairie de Paris par Bertrand Delanoë, a expliqué la décision du groupe UMP.
Compte tenu des résultats de dimanche, la droite n'a pas "estimé utile" de présenter un candidat, a-t-elle déclaré. "Par ce bulletin blanc, nous nous manifestons (...) mais nous ne sanctionnons pas a priori", a-t-elle ajouté.
Pour la mandature à venir, elle a réclamé une "nouvelle gouvernance municipale" dévoluant plus de pouvoirs aux maires d'arrondissement ainsi qu'un "vrai statut" pour l'opposition".
Elle a évoqué le "Grand Paris", institutionnalisant la concertation entre la capitale et les communes voisines sur les grands projets pour laquelle le président Nicolas Sarkozy vient de nommer un secrétaire d'Etat, Christian Blanc.
Il faut "une volonté réformatrice au service d'une autre dimension de la capitale celle du Grand Paris pour répondre aux grands enjeux qui nous sont posés, aux élus parisiens et dans toutes les communes riveraines", a-t-elle fait valoir.
Les listes rassemblant la gauche et les Verts ont obtenu 57,7% des suffrages au second tour des élections municipales, dimanche dernier, plus de huit points par rapport à 2001.
yahoo.com
L'UMP avait choisi de ne pas présenter de candidat et dit son intention de voter blanc. Au total, la "gauche plurielle" compte 99 conseillers de Paris dans la nouvelle assemblée contre 63 au sein du groupe UMP.
Pour cette reprise des travaux municipaux, les conseillers ont pris place dans l'hémicycle par ordre alphabétique. En jeans et veste noire, sa marque de fabrique, Marielle de Sarnez, unique élue du MoDem, s'est installée au dernier rang.
La séance devait se poursuivre avec le discours du maire et l'annonce de la composition de son nouvel exécutif.
L'élection s'est déroulée à bulletin secret, les conseillers déposant un à un une petite enveloppe rose pâle sous les yeux du président de la séance, le doyen d'âge, l'UMP Pierre-Christian Taittinger, réélu dans le XVIe arrondissement à 82 ans.
Plusieurs élus ont déclenché les crépitements des flashes : la ministre de la Justice, Rachida Dati, tête de liste UMP victorieuse dans le VIIe arrondissement, et celle de l'Economie, Christine Lagarde, battue dans le XIIe.
A gauche, crâne rasé et barbichette pour les besoins d'un nouveau rôle, le comédien Philippe Torreton, nouvel élu socialiste du IXe, a attiré l'il des photographes de même que la réalisatrice Yamina Benguigui (XXe) ou le leader étudiant Bruno Julliard (XIIIe).
Dans une brève déclaration, Françoise de Panafieu, candidate de l'UMP battue dans la course à la mairie de Paris par Bertrand Delanoë, a expliqué la décision du groupe UMP.
Compte tenu des résultats de dimanche, la droite n'a pas "estimé utile" de présenter un candidat, a-t-elle déclaré. "Par ce bulletin blanc, nous nous manifestons (...) mais nous ne sanctionnons pas a priori", a-t-elle ajouté.
Pour la mandature à venir, elle a réclamé une "nouvelle gouvernance municipale" dévoluant plus de pouvoirs aux maires d'arrondissement ainsi qu'un "vrai statut" pour l'opposition".
Elle a évoqué le "Grand Paris", institutionnalisant la concertation entre la capitale et les communes voisines sur les grands projets pour laquelle le président Nicolas Sarkozy vient de nommer un secrétaire d'Etat, Christian Blanc.
Il faut "une volonté réformatrice au service d'une autre dimension de la capitale celle du Grand Paris pour répondre aux grands enjeux qui nous sont posés, aux élus parisiens et dans toutes les communes riveraines", a-t-elle fait valoir.
Les listes rassemblant la gauche et les Verts ont obtenu 57,7% des suffrages au second tour des élections municipales, dimanche dernier, plus de huit points par rapport à 2001.
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