"Le président de la République se rendra mardi sur le plateau des Glières (Haute-Savoie) pour se recueillir dans ce qui fut un haut-lieu de la Résistance française pendant la seconde guerre mondiale", afin d'y "commémorer le combat des maquisards", avait annoncé jeudi le porte-parole de l'Elysée David Martinon lors de son point de presse hebdomadaire.
Il a rappelé que c'est sur le plateau des Glières que le candidat Sarkozy avait effectué son dernier déplacement de campagne, en mai 2007. M. Sarkozy "avait alors promis de se rendre tous les ans dans ce lieu symbolique pour commémorer le combat des maquisards, des résistants d'âge, d'origine et de convictions politiques parfaitement diverses et qui se rassemblèrent pour combattre la tyrannie nazie", a-t-il également rappelé.
En mars 1944, plus de cent jeunes résistants furent tués sur le plateau des Glières en combattant les allemands. Le chef de l'Etat participera à une cérémonie militaire à Thônes, à la nécropole de Morette, où reposent aujourd'hui la plupart des résistants des Glières. Il ira également déposer une gerbe à la mémoire des maquisards sur le plateau. Il devrait ensuite se rendre au Petit-Bornand, qui fut un village martyr de la seconde guerre mondiale, a également indiqué M. Martinon.
La France a rendu lundi un hommage solennel et souvent émouvant à Lazare Ponticelli, ultime poilu décédé à l'âge de 110 ans, puis à ses 8,5 millions de camarades de la Grande guerre, dont 1,4 million furent tués lors de ce conflit meurtrier de 51 mois. Ce double hommage s'est déroulé à l'Hôtel national des Invalides, haut lieu de l'histoire et de la mémoire des armées françaises.
Après avoir refusé toute cérémonie officielle, Lazare Ponticelli avait donné son accord, quelques semaines avant son décès, à des "obsèques nationales sans tapage, ni grand défilé" et accepté "une messe aux Invalides en hommage à (ses) camarades morts dans cette horreur de la guerre et auxquels (il a) promis de ne jamais les oublier". Sous les ors de "l'Eglise des soldats", 500 personnes ont suivi les obsèques religieuses, dont le président Nicolas Sarkozy et son prédécesseur Jacques Chirac, le Premier ministre François Fillon et la plupart des ministres et 200 membres de la famille du défunt, proches ou éloignés ainsi que des employés du groupe Ponticelli de métallurgie de précision.
yahoo.com
Il a rappelé que c'est sur le plateau des Glières que le candidat Sarkozy avait effectué son dernier déplacement de campagne, en mai 2007. M. Sarkozy "avait alors promis de se rendre tous les ans dans ce lieu symbolique pour commémorer le combat des maquisards, des résistants d'âge, d'origine et de convictions politiques parfaitement diverses et qui se rassemblèrent pour combattre la tyrannie nazie", a-t-il également rappelé.
En mars 1944, plus de cent jeunes résistants furent tués sur le plateau des Glières en combattant les allemands. Le chef de l'Etat participera à une cérémonie militaire à Thônes, à la nécropole de Morette, où reposent aujourd'hui la plupart des résistants des Glières. Il ira également déposer une gerbe à la mémoire des maquisards sur le plateau. Il devrait ensuite se rendre au Petit-Bornand, qui fut un village martyr de la seconde guerre mondiale, a également indiqué M. Martinon.
La France a rendu lundi un hommage solennel et souvent émouvant à Lazare Ponticelli, ultime poilu décédé à l'âge de 110 ans, puis à ses 8,5 millions de camarades de la Grande guerre, dont 1,4 million furent tués lors de ce conflit meurtrier de 51 mois. Ce double hommage s'est déroulé à l'Hôtel national des Invalides, haut lieu de l'histoire et de la mémoire des armées françaises.
Après avoir refusé toute cérémonie officielle, Lazare Ponticelli avait donné son accord, quelques semaines avant son décès, à des "obsèques nationales sans tapage, ni grand défilé" et accepté "une messe aux Invalides en hommage à (ses) camarades morts dans cette horreur de la guerre et auxquels (il a) promis de ne jamais les oublier". Sous les ors de "l'Eglise des soldats", 500 personnes ont suivi les obsèques religieuses, dont le président Nicolas Sarkozy et son prédécesseur Jacques Chirac, le Premier ministre François Fillon et la plupart des ministres et 200 membres de la famille du défunt, proches ou éloignés ainsi que des employés du groupe Ponticelli de métallurgie de précision.
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