La Banque de France a révisé à la baisse sa prévision de croissance pour la France au deuxième trimestre à 0,2%, contre 0,3% prévu initialement, a-t-elle annoncé vendredi.
Sur l'ensemble de l'année, le gouvernement, qui avait initialement annoncé une progression comprise entre 2 et 2,5%, table désormais sur une croissance entre 1,7% et 2% en raison des répercussions sur l'économie de la crise financière internationale.
Selon les dernières estimations de l'Insee, la croissance de la France avait progressé de 0,6% au premier trimestre. La plupart des économistes estiment toutefois que cette performance, bien meilleure que celle prévue, ne pourra se rééditer dans les prochains mois.
Un pronostic que semble confirmer l'enquête de la Banque de France, selon laquelle "l'activité industrielle a enregistré un recul en mai" d'après les chefs d'entreprises interrogés.
L'indicateur du climat des affaires dans l'industrie publié par la Banque de France s'est en effet établi en mai à 97 points, contre 100 en avril (révisé à la baisse d'un point).
Le taux d'utilisation des capacités de production a fléchi et s'établit à un niveau légèrement inférieur à sa moyenne de longue période tandis que le courant de commandes nouvelles a légèrement diminué, "du fait de la baisse de la demande tant intérieure qu'étrangère", souligne la BdF.
"L'activité pour les prochains mois devrait légèrement progresser", indique toutefois l'enquête de conjoncture.
Dans les services marchands, l'activité a continué de progresser à un rythme ralenti. L'augmentation des effectifs et des prix s'est poursuivie.
"Les prévisions apparaissent mieux orientées (que dans l'industrie): elles font état d'une accélération de l'activité pour les mois à venir", souligne la BdF.
Dans le commerce de détail, "l'activité a légèrement progressé en mai et se situe en nette progression sur un an", ajoute l'enquête.
L'activité y a augmenté plus sensiblement dans le petit commerce (+1,8%) que dans la grande distribution généraliste (+1,1%).
Source: news.yahoo.com
Sur l'ensemble de l'année, le gouvernement, qui avait initialement annoncé une progression comprise entre 2 et 2,5%, table désormais sur une croissance entre 1,7% et 2% en raison des répercussions sur l'économie de la crise financière internationale.
Selon les dernières estimations de l'Insee, la croissance de la France avait progressé de 0,6% au premier trimestre. La plupart des économistes estiment toutefois que cette performance, bien meilleure que celle prévue, ne pourra se rééditer dans les prochains mois.
Un pronostic que semble confirmer l'enquête de la Banque de France, selon laquelle "l'activité industrielle a enregistré un recul en mai" d'après les chefs d'entreprises interrogés.
L'indicateur du climat des affaires dans l'industrie publié par la Banque de France s'est en effet établi en mai à 97 points, contre 100 en avril (révisé à la baisse d'un point).
Le taux d'utilisation des capacités de production a fléchi et s'établit à un niveau légèrement inférieur à sa moyenne de longue période tandis que le courant de commandes nouvelles a légèrement diminué, "du fait de la baisse de la demande tant intérieure qu'étrangère", souligne la BdF.
"L'activité pour les prochains mois devrait légèrement progresser", indique toutefois l'enquête de conjoncture.
Dans les services marchands, l'activité a continué de progresser à un rythme ralenti. L'augmentation des effectifs et des prix s'est poursuivie.
"Les prévisions apparaissent mieux orientées (que dans l'industrie): elles font état d'une accélération de l'activité pour les mois à venir", souligne la BdF.
Dans le commerce de détail, "l'activité a légèrement progressé en mai et se situe en nette progression sur un an", ajoute l'enquête.
L'activité y a augmenté plus sensiblement dans le petit commerce (+1,8%) que dans la grande distribution généraliste (+1,1%).
Source: news.yahoo.com