"Au premier trimestre, nous avons eu dans l'ensemble de bonnes surprises, avec un très bon premier trimestre en France comme dans la zone euro", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.
"Il faut se féliciter de ces bons résultats tout en restant prudents", a-t-il ajouté, en notant que les chiffres allemands en particulier étaient susceptibles d'être révisés.
Jean-Philippe Cotis a relevé que la croissance avait été tirée au premier trimestre par l'investissement et les exportations des entreprises, en ligne avec ce que suggéraient les enquêtes de conjoncture, alors que le contexte a été moins favorable pour la consommation.
Depuis le printemps, les enquêtes auprès des entreprises "suggèrent une certaine dégradation du climat, ce qui laisse augurer un ralentissement de l'activité" au deuxième trimestre, a-t-il poursuivi.
La situation toujours précaire aux Etats-Unis, les marchés financiers fragiles et l'évolution des prix des matières premières, en particulier du pétrole, vont continuer de peser sur l'économie mondiale, a-t-il ajouté.
L'Insee a annoncé le 15 mai une croissance de 0,6%, meilleure que prévu, du produit intérieur brut en France au premier trimestre, après +0,3% (révisé de +0,4%) au dernier trimestre 2007. Pour l'ensemble de 2007, la croissance a été révisée de 1,9% initialement annoncé à +2,2%, comme en 2006 (+2,1% contre +2,4% en données corrigées des jours ouvrables).
La croissance a été de 1,5% en Allemagne au premier trimestre et de 0,7% dans l'ensemble de la zone euro.
Source: news.yahoo.com
"Il faut se féliciter de ces bons résultats tout en restant prudents", a-t-il ajouté, en notant que les chiffres allemands en particulier étaient susceptibles d'être révisés.
Jean-Philippe Cotis a relevé que la croissance avait été tirée au premier trimestre par l'investissement et les exportations des entreprises, en ligne avec ce que suggéraient les enquêtes de conjoncture, alors que le contexte a été moins favorable pour la consommation.
Depuis le printemps, les enquêtes auprès des entreprises "suggèrent une certaine dégradation du climat, ce qui laisse augurer un ralentissement de l'activité" au deuxième trimestre, a-t-il poursuivi.
La situation toujours précaire aux Etats-Unis, les marchés financiers fragiles et l'évolution des prix des matières premières, en particulier du pétrole, vont continuer de peser sur l'économie mondiale, a-t-il ajouté.
L'Insee a annoncé le 15 mai une croissance de 0,6%, meilleure que prévu, du produit intérieur brut en France au premier trimestre, après +0,3% (révisé de +0,4%) au dernier trimestre 2007. Pour l'ensemble de 2007, la croissance a été révisée de 1,9% initialement annoncé à +2,2%, comme en 2006 (+2,1% contre +2,4% en données corrigées des jours ouvrables).
La croissance a été de 1,5% en Allemagne au premier trimestre et de 0,7% dans l'ensemble de la zone euro.
Source: news.yahoo.com