Les taliban ont revendiqué cette attaque, en marge de laquelle une fusillade a éclaté entre les activistes et des gardes. Les islamistes ont précisé que l'attentat visait des conseillers étrangers présents au ministère.
Deux combattants taliban auraient pris la fuite après l'attaque, a-t-on appris de source policière.
Le président afghan Hamid Karzaï, qui a adressé des signes d'ouverture aux taliban modérés au cours des derniers mois, a déclaré que l'attentat était l'œuvre des "ennemis" des Afghans, ont fait savoir les services de la présidence.
Selon Karzaï, qui était en route pour une visite en Turquie, l'attaque témoigne d'une volonté de nuire au processus de paix.
Un médecin de l'hôpital voisin du ministère a fait état de 18 blessés.
L'Afghanistan connaît depuis le début de l'année un regain de violences et traverse actuellement sa période la plus sanglante depuis le renversement, en 2001, du régime des taliban.
L'attentat de jeudi, perpétré au cœur même d'un ministère situé à quelques centaines de mètre du palais présidentiel, présente néanmoins un caractère exceptionnel et constitue un revers majeur pour les services de sécurité.
L'explosion a endommagé le premier étage du bâtiment et conduit les autorités à faire évacuer les responsables ministériels.
Les insurgés taliban ont lancé de nombreuses attaques dans la capitale depuis le début de l'année, dont la plus meurtrière a fait 60 victimes en juillet devant l'ambassade d'Inde.
Source: Yahoo News
Deux combattants taliban auraient pris la fuite après l'attaque, a-t-on appris de source policière.
Le président afghan Hamid Karzaï, qui a adressé des signes d'ouverture aux taliban modérés au cours des derniers mois, a déclaré que l'attentat était l'œuvre des "ennemis" des Afghans, ont fait savoir les services de la présidence.
Selon Karzaï, qui était en route pour une visite en Turquie, l'attaque témoigne d'une volonté de nuire au processus de paix.
Un médecin de l'hôpital voisin du ministère a fait état de 18 blessés.
L'Afghanistan connaît depuis le début de l'année un regain de violences et traverse actuellement sa période la plus sanglante depuis le renversement, en 2001, du régime des taliban.
L'attentat de jeudi, perpétré au cœur même d'un ministère situé à quelques centaines de mètre du palais présidentiel, présente néanmoins un caractère exceptionnel et constitue un revers majeur pour les services de sécurité.
L'explosion a endommagé le premier étage du bâtiment et conduit les autorités à faire évacuer les responsables ministériels.
Les insurgés taliban ont lancé de nombreuses attaques dans la capitale depuis le début de l'année, dont la plus meurtrière a fait 60 victimes en juillet devant l'ambassade d'Inde.
Source: Yahoo News
À lire également :
-
La BCE optimiste sur un retour de l'inflation à 2% en 2025
-
Crise en Géorgie : Les manifestations pro-UE s'intensifient, Bruxelles hausse le ton
-
Géorgie : Les manifestations pro-européennes réprimées, plus de 220 arrestations
-
Élection présidentielle en Roumanie : Marcel Ciolacu reconnaît sa défaite face à des résultats inattendus
-
Inondations en Espagne : 219 morts et 93 disparus