Subissant les effets du ralentissement de ses grands marchés dans l'assurance vie, Axa fait état d'une baisse attendue de son activité dans la vie-épargne retraite et dans la gestion d'actifs, partiellement compensée par la résistance de l'assurance dommage.
En France, les primes sont en recul de 8,7% à données comparables, tandis que la baisse atteint 11,4% aux États-Unis, 13,3% au Royaume Uni et 12% au Japon, des replis partiellement compensés par une progression d'activité (+6,6% en Europe du Nord, Europe centrale et Europe de l'Est.
La valeur des affaires est ressortie elle aussi légèrement au-dessous des attentes, à 423 millions d'euros (-4,7%) contre 432 millions attendus, mais la marge des affaires nouvelles s'est légèrement améliorée (+0,4 point).
La part des produits en unités de compte - plus rémunérateurs que ceux en euros - a quant à elle reculé de 49% à 45% du total des APE en raison, notamment, d'une baisse des contributions des États-Unis et du Royaume-Uni dans le total des ventes.
Dans l'assurance dommage, le chiffre d'affaires est ressorti à 8.885 millions d'euros, en progression de 2% à données comparables (8.920 millions attendus par les analystes).
L'activité a été tirée par une progression de 3,2% en France et, surtout, par un bond de 7,7% dans la région Méditerranée.
Axa a dit tabler sur une accélération de sa croissance dans l'assurance dommage au cours des trimestres à venir.
En gestion d'actifs, où la collecte nette a été positive de 3,5 milliards d'euros (une décollecte d'un milliard d'euros chez Alliance Bernstein ayant été compensée par une collecte nette de 4,5 milliards chez Axa IM), le chiffre d'affaires a progressé de 3,3% en données comparables à 1.071 millions d'euros.
En assurance internationale, le chiffre d'affaires, à 1.136 millions d'euros, signe une hausse, en comparable, de 5,0%.
Lors de l'assemblée générale du groupe, le président du directoire Henri de Castries avait reconnu qu'Axa serait touché par le ralentissement économique, tout en estimant que la conjoncture dégradée ne remettait pas en cause ses objectifs de long terme.
Il se dit cette fois-ci confiant dans la "robustesse" du modèle opérationnel du groupe. "Nous continuons, en ligne avec notre programme Ambition 2012, à investir dans le développement du groupe", ajoute-t-il.
Source: news.yahoo.com
En France, les primes sont en recul de 8,7% à données comparables, tandis que la baisse atteint 11,4% aux États-Unis, 13,3% au Royaume Uni et 12% au Japon, des replis partiellement compensés par une progression d'activité (+6,6% en Europe du Nord, Europe centrale et Europe de l'Est.
La valeur des affaires est ressortie elle aussi légèrement au-dessous des attentes, à 423 millions d'euros (-4,7%) contre 432 millions attendus, mais la marge des affaires nouvelles s'est légèrement améliorée (+0,4 point).
La part des produits en unités de compte - plus rémunérateurs que ceux en euros - a quant à elle reculé de 49% à 45% du total des APE en raison, notamment, d'une baisse des contributions des États-Unis et du Royaume-Uni dans le total des ventes.
Dans l'assurance dommage, le chiffre d'affaires est ressorti à 8.885 millions d'euros, en progression de 2% à données comparables (8.920 millions attendus par les analystes).
L'activité a été tirée par une progression de 3,2% en France et, surtout, par un bond de 7,7% dans la région Méditerranée.
Axa a dit tabler sur une accélération de sa croissance dans l'assurance dommage au cours des trimestres à venir.
En gestion d'actifs, où la collecte nette a été positive de 3,5 milliards d'euros (une décollecte d'un milliard d'euros chez Alliance Bernstein ayant été compensée par une collecte nette de 4,5 milliards chez Axa IM), le chiffre d'affaires a progressé de 3,3% en données comparables à 1.071 millions d'euros.
En assurance internationale, le chiffre d'affaires, à 1.136 millions d'euros, signe une hausse, en comparable, de 5,0%.
Lors de l'assemblée générale du groupe, le président du directoire Henri de Castries avait reconnu qu'Axa serait touché par le ralentissement économique, tout en estimant que la conjoncture dégradée ne remettait pas en cause ses objectifs de long terme.
Il se dit cette fois-ci confiant dans la "robustesse" du modèle opérationnel du groupe. "Nous continuons, en ligne avec notre programme Ambition 2012, à investir dans le développement du groupe", ajoute-t-il.
Source: news.yahoo.com