Le président de la République a notamment annoncé la mise en place d'un système de "pénalités planchers" à compter de 2009 pour lutter contre les abus et les fraudes.
Il a également évoqué la possibilité d'instaurer un système d'intéressement dans les hôpitaux dont les comptes seront équilibrés.
"Assurer le financement des dépenses de santé est un défi pour demain qui se joue aujourd'hui", a-t-il dit. "C'est pourquoi je souhaite que l'assurance-maladie revienne à l'équilibre en 2011. Pour y parvenir, nous aurons besoin de l'engagement résolu de tous."
En juillet dernier, le gouvernement prévoyait un déficit de 4,1 milliards d'euros de l'assurance-maladie en 2008 et de plus de six milliards en 2009 en l'absence de nouvelles mesures.
Nicolas Sarkozy a souhaité que les assurances complémentaires contribuent à la maîtrise des dépenses.
"Les négociations entre l'assurance-maladie et les professionnels de santé associeront dorénavant les organismes complémentaires", a dit le chef de l'Etat, qui veut que "tous les professionnels de santé, en ville et à l'hôpital" s'impliquent davantage dans la maîtrise médicalisée des prescriptions.
Il a estimé que l'assurance-maladie proposait des "référentiels de bonne pratique" dans les secteurs où des profondes divergences sont constatées dans le recours aux soins, par exemple en kinésithérapie.
Nicolas Sarkozy a invité l'assurance-maladie à "intensifier la lutte contre les gaspillages, les abus, les fraudes", expliquant qu'un mécanisme de pénalités planchers sera institué à compter de l'an prochain, "sur le modèle en vigueur pour lutter contre le travail illégal".
Il a par ailleurs dit vouloir que les comptes des hôpitaux fassent l'objet d'une certification. "Je veux que les situations de déficit ne soient plus tolérées", a-t-il expliqué.
A contrario, "pourquoi ne pas permettre aux hôpitaux qui sont à l'équilibre, grâce aux efforts de tous leurs personnels, de redistribuer une partie des excédents aux salariés ?" a ajouté le chef de l'Etat. "Je ne vois pas pourquoi la politique d'intéressement à laquelle je crois tant pour le secteur privé ne s'appliquerait pas au secteur hospitalier."
Source: Yahoo News
Il a également évoqué la possibilité d'instaurer un système d'intéressement dans les hôpitaux dont les comptes seront équilibrés.
"Assurer le financement des dépenses de santé est un défi pour demain qui se joue aujourd'hui", a-t-il dit. "C'est pourquoi je souhaite que l'assurance-maladie revienne à l'équilibre en 2011. Pour y parvenir, nous aurons besoin de l'engagement résolu de tous."
En juillet dernier, le gouvernement prévoyait un déficit de 4,1 milliards d'euros de l'assurance-maladie en 2008 et de plus de six milliards en 2009 en l'absence de nouvelles mesures.
Nicolas Sarkozy a souhaité que les assurances complémentaires contribuent à la maîtrise des dépenses.
"Les négociations entre l'assurance-maladie et les professionnels de santé associeront dorénavant les organismes complémentaires", a dit le chef de l'Etat, qui veut que "tous les professionnels de santé, en ville et à l'hôpital" s'impliquent davantage dans la maîtrise médicalisée des prescriptions.
Il a estimé que l'assurance-maladie proposait des "référentiels de bonne pratique" dans les secteurs où des profondes divergences sont constatées dans le recours aux soins, par exemple en kinésithérapie.
Nicolas Sarkozy a invité l'assurance-maladie à "intensifier la lutte contre les gaspillages, les abus, les fraudes", expliquant qu'un mécanisme de pénalités planchers sera institué à compter de l'an prochain, "sur le modèle en vigueur pour lutter contre le travail illégal".
Il a par ailleurs dit vouloir que les comptes des hôpitaux fassent l'objet d'une certification. "Je veux que les situations de déficit ne soient plus tolérées", a-t-il expliqué.
A contrario, "pourquoi ne pas permettre aux hôpitaux qui sont à l'équilibre, grâce aux efforts de tous leurs personnels, de redistribuer une partie des excédents aux salariés ?" a ajouté le chef de l'Etat. "Je ne vois pas pourquoi la politique d'intéressement à laquelle je crois tant pour le secteur privé ne s'appliquerait pas au secteur hospitalier."
Source: Yahoo News
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