"Selon des sources algériennes, le groupe de kidnappeurs a franchi la frontière algérienne entre les départements de Tebessa et Oued Souf (est). Les recherches se poursuivent pour le localiser et l'encercler, afin d'ouvrir avec lui les canaux du dialogue et de la négociation", écrit le journal.
L'information n'a pas pu être confirmée de source officielle.
L'ensemble des journaux algériens annoncent pour leur part l'enlèvement des deux touristes autrichiens sans mentionner leur possible présence en Algérie.
Dans un communiqué revendiquant l'enlèvement diffusé sur internet par le Site intelligence group, Al-Qaïda a averti lundi que "toute tentative d'intervention militaire de l'Algérie mettrait en danger la vie des deux Autrichiens", laissant entendre que les deux otages se trouvent dans ce pays.
Dans un enregistrement diffusé lundi par la chaîne de télévision satellitaire du Qatar Al-Jazira, un porte-parole d'Al-Qaïda au Maghreb, Salah Abou Mohammad, a indiqué que son groupe avait "kidnappé le 22 février en Tunisie un couple autrichien", qu'il a identifiés comme Wolfgang Ebner et Andrea Kloiber.
"Ils sont en bonne santé et sont bien traités", a-t-il assuré.
Le couple avait donné signe de vie pour la dernière fois à la mi-février depuis le village de Matmata (sud tunisien), selon le ministère autrichien des Affaires étrangères.
Les deux touristes, circulant dans un 4x4 immatriculé en Autriche, avaient téléphoné de Matmata à un spécialiste allemand du Sahara, Werner Nöther, avait indiqué le ministère autrichien.
En mai 2003, l'armée algérienne était déjà intervenue pour libérer des otages occidentaux enlevés par le Groupe salafistes pour la prédication et le combat (GSPC), rallié en septembre 2006 à Al-Qaïda. 17 de ces 32 touristes suisses, allemands et néerlandais avaient été libérés au nord de Tamanrasset (extrême-sud algérien) par l'armée algérienne.
14 autres otages avaient été libérés le 18 août suivant au Mali dans la région de Kidal, après des tractations et le versement par Berlin d'une rançon de près de 5 millions d'euros, selon des informations jamais confirmées officiellement. Une otage allemande avait trouvé la mort dans le désert fin juin des suites d'une insolation.
Le principal instigateur de cette prise d'otages spectaculaire était l'islamiste algérien Amari Saïfi, dit Abderrazak "El Para", arrêté au Tchad en 2004 et remis à l'Algérie, où il est depuis en détention dans l'attente d'un procès annoncé et remis à plusieurs reprises.
yahoo.com
L'information n'a pas pu être confirmée de source officielle.
L'ensemble des journaux algériens annoncent pour leur part l'enlèvement des deux touristes autrichiens sans mentionner leur possible présence en Algérie.
Dans un communiqué revendiquant l'enlèvement diffusé sur internet par le Site intelligence group, Al-Qaïda a averti lundi que "toute tentative d'intervention militaire de l'Algérie mettrait en danger la vie des deux Autrichiens", laissant entendre que les deux otages se trouvent dans ce pays.
Dans un enregistrement diffusé lundi par la chaîne de télévision satellitaire du Qatar Al-Jazira, un porte-parole d'Al-Qaïda au Maghreb, Salah Abou Mohammad, a indiqué que son groupe avait "kidnappé le 22 février en Tunisie un couple autrichien", qu'il a identifiés comme Wolfgang Ebner et Andrea Kloiber.
"Ils sont en bonne santé et sont bien traités", a-t-il assuré.
Le couple avait donné signe de vie pour la dernière fois à la mi-février depuis le village de Matmata (sud tunisien), selon le ministère autrichien des Affaires étrangères.
Les deux touristes, circulant dans un 4x4 immatriculé en Autriche, avaient téléphoné de Matmata à un spécialiste allemand du Sahara, Werner Nöther, avait indiqué le ministère autrichien.
En mai 2003, l'armée algérienne était déjà intervenue pour libérer des otages occidentaux enlevés par le Groupe salafistes pour la prédication et le combat (GSPC), rallié en septembre 2006 à Al-Qaïda. 17 de ces 32 touristes suisses, allemands et néerlandais avaient été libérés au nord de Tamanrasset (extrême-sud algérien) par l'armée algérienne.
14 autres otages avaient été libérés le 18 août suivant au Mali dans la région de Kidal, après des tractations et le versement par Berlin d'une rançon de près de 5 millions d'euros, selon des informations jamais confirmées officiellement. Une otage allemande avait trouvé la mort dans le désert fin juin des suites d'une insolation.
Le principal instigateur de cette prise d'otages spectaculaire était l'islamiste algérien Amari Saïfi, dit Abderrazak "El Para", arrêté au Tchad en 2004 et remis à l'Algérie, où il est depuis en détention dans l'attente d'un procès annoncé et remis à plusieurs reprises.
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