Cédric Hornec, qui a avoué avoir tenté de noyer le petit Antoine, 8 ans, dans le lac d'Apremont (Vendée), et le meurtre de sa mère, Anne, son ancienne concubine, a été mis en examen et écroué mardi soir.
De son côté, la femme qui l'avait hébergé et chez qui il a été arrêté dimanche par les gendarmes a été mise en examen pour "recel de malfaiteur" et laissée en liberté sous contrôle judiciaire.
"Les déclarations de Cédric Hornec confirment la mise en cause faite par Antoine à son réveil", a indiqué plus tôt dans la journée le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Pierre Sennes. Cédric avait alors été désigné "clairement" par le jeune garçon, selon lui. Les faits se sont produits à la suite d'une "violente dispute" entre Cédric Hornec et son ancienne compagne chez qui il passait la nuit, malgré leur séparation, précise le magistrat.
Cette dispute a "dégénéré" et Cédric Hornec a porté "de très violents coups au visage" d'Anne, selon le procureur. Elle est tombée inanimée, mais elle respirait encore. Il a alors "apposé un oreiller sur son visage afin de mettre fin à ses jours", selon Pierre Sennes. Ce n'est qu'après avoir pris le temps de se changer et après avoir empaqueté tous ses effets personnels qu'il est allé chercher Antoine qui était dans sa chambre, a poursuivi le procureur. Ils se sont rendus au lac d'Apremont.
Là, Cédric Hornec a alors fait descendre l'enfant de son véhicule pour l'amener sur le ponton de la base nautique. Il a alors, selon ses déclarations, "maintenu la tête de l'enfant sous l'eau jusqu'à ce qu'il ne bouge plus", a indiqué le magistrat. "Dans son esprit, l'enfant était mort", a-t-il ajouté. Cédric Hornec s'est ensuite rendu près d'une rivière à Notre-Dame-de-Riez (Vendée) pour y brûler les vêtements qu'il portait cette nuit-là.
Hornec indique avoir "paniqué" et ne pas avoir "maîtrisé ses faits et gestes". Passible de la réclusion criminelle à perpétuité, il est aujourd'hui très éprouvé, selon Pierre Sennes.
Dans la matinée, le grand-père d'Antoine, à qui la garde de l'enfant a été confiée, avait confirmé que son petit-fils avait mis en cause l'ex-concubin de sa mère, affirmant qu'il l'avait bien emmené jusqu'au lac d'Apremont avant de l'y jeter. "Il m'a dit qu'il a voulu se raccrocher au bord et que Cédric l'a repoussé à l'eau une deuxième fois", a affirmé Michel Deriez lors d'une conférence de presse.
M. Deriez a décrit Cédric Hornec, qui avait partagé deux ans de vie commune avec sa fille, comme quelqu'un de "franc, carré, courageux, travailleur" et qu'il l'avait aidé à ce titre à trouver un travail. Le grand-père a fait part "de sa totale incompréhension" après le drame. Pour lui, "ce genre de réaction n'était pas imaginable".
Selon M. Deriez, le couple s'était quitté dans de bons termes, même s'il admet que Cédric a parfois pu se montrer "impulsif et jaloux". Jusqu'à présent, le jeune homme n'avait jamais fait montre de violence, selon le grand-père, et n'a "jamais battu ou giflé Antoine". Au contraire, "il s'en occupait".
Source: news.yahoo.com
De son côté, la femme qui l'avait hébergé et chez qui il a été arrêté dimanche par les gendarmes a été mise en examen pour "recel de malfaiteur" et laissée en liberté sous contrôle judiciaire.
"Les déclarations de Cédric Hornec confirment la mise en cause faite par Antoine à son réveil", a indiqué plus tôt dans la journée le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Pierre Sennes. Cédric avait alors été désigné "clairement" par le jeune garçon, selon lui. Les faits se sont produits à la suite d'une "violente dispute" entre Cédric Hornec et son ancienne compagne chez qui il passait la nuit, malgré leur séparation, précise le magistrat.
Cette dispute a "dégénéré" et Cédric Hornec a porté "de très violents coups au visage" d'Anne, selon le procureur. Elle est tombée inanimée, mais elle respirait encore. Il a alors "apposé un oreiller sur son visage afin de mettre fin à ses jours", selon Pierre Sennes. Ce n'est qu'après avoir pris le temps de se changer et après avoir empaqueté tous ses effets personnels qu'il est allé chercher Antoine qui était dans sa chambre, a poursuivi le procureur. Ils se sont rendus au lac d'Apremont.
Là, Cédric Hornec a alors fait descendre l'enfant de son véhicule pour l'amener sur le ponton de la base nautique. Il a alors, selon ses déclarations, "maintenu la tête de l'enfant sous l'eau jusqu'à ce qu'il ne bouge plus", a indiqué le magistrat. "Dans son esprit, l'enfant était mort", a-t-il ajouté. Cédric Hornec s'est ensuite rendu près d'une rivière à Notre-Dame-de-Riez (Vendée) pour y brûler les vêtements qu'il portait cette nuit-là.
Hornec indique avoir "paniqué" et ne pas avoir "maîtrisé ses faits et gestes". Passible de la réclusion criminelle à perpétuité, il est aujourd'hui très éprouvé, selon Pierre Sennes.
Dans la matinée, le grand-père d'Antoine, à qui la garde de l'enfant a été confiée, avait confirmé que son petit-fils avait mis en cause l'ex-concubin de sa mère, affirmant qu'il l'avait bien emmené jusqu'au lac d'Apremont avant de l'y jeter. "Il m'a dit qu'il a voulu se raccrocher au bord et que Cédric l'a repoussé à l'eau une deuxième fois", a affirmé Michel Deriez lors d'une conférence de presse.
M. Deriez a décrit Cédric Hornec, qui avait partagé deux ans de vie commune avec sa fille, comme quelqu'un de "franc, carré, courageux, travailleur" et qu'il l'avait aidé à ce titre à trouver un travail. Le grand-père a fait part "de sa totale incompréhension" après le drame. Pour lui, "ce genre de réaction n'était pas imaginable".
Selon M. Deriez, le couple s'était quitté dans de bons termes, même s'il admet que Cédric a parfois pu se montrer "impulsif et jaloux". Jusqu'à présent, le jeune homme n'avait jamais fait montre de violence, selon le grand-père, et n'a "jamais battu ou giflé Antoine". Au contraire, "il s'en occupait".
Source: news.yahoo.com
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