"Le fait que l'Etat ait décidé d'aller à l'arbitrage sur une affaire de ce type, après une décision de la Cour de cassation qui lui était favorable, oui cela devient une affaire politique", a expliqué sur Canal+ Jean Peyrelevade, qui sera entendu mercredi par la Commission des Finances de l'Assemblée nationale.
"J'(en) attends que la lumière soit faite sur les conditions dans lesquelles cet arbitrage a été décidé et dans lesquelles il a été rendu, conditions qui pour moi sont incompréhensibles", a-t-il noté. "Je ne comprends pas pourquoi l'Etat a choisi la voie de l'arbitrage" alors que la loi interdit à l'Etat d'aller à l'arbitrage". Et de rappeler qu'"en 1986, j'ai négocié pour le compte de l'Etat l'arrivée de Disney à Marne-la-Vallée", qui a entraîné "le vote d'une loi spécifique pour faire accepter le principe de l'arbitrage".
Interrogé sur une précédente déclaration dans laquelle il a expliqué que "Bernard Tapie a essayé avec tous les ministres de l'Economie et qu'il a réussi avec Nicolas Sarkozy, il a assuré que "c'est factuel" et qu'il "ne porte pas de jugement politique".
"Je constate, c'est une réaction de citoyen: la commission des Finances s'en est saisie, ce n'est pas moi qui ai demandé à Didier Migaud de (la) réunir et de faire des auditions et que Christine Lagarde soit entendue", a conclu Jean Peyrelevade.
Source: Yahoo News
"J'(en) attends que la lumière soit faite sur les conditions dans lesquelles cet arbitrage a été décidé et dans lesquelles il a été rendu, conditions qui pour moi sont incompréhensibles", a-t-il noté. "Je ne comprends pas pourquoi l'Etat a choisi la voie de l'arbitrage" alors que la loi interdit à l'Etat d'aller à l'arbitrage". Et de rappeler qu'"en 1986, j'ai négocié pour le compte de l'Etat l'arrivée de Disney à Marne-la-Vallée", qui a entraîné "le vote d'une loi spécifique pour faire accepter le principe de l'arbitrage".
Interrogé sur une précédente déclaration dans laquelle il a expliqué que "Bernard Tapie a essayé avec tous les ministres de l'Economie et qu'il a réussi avec Nicolas Sarkozy, il a assuré que "c'est factuel" et qu'il "ne porte pas de jugement politique".
"Je constate, c'est une réaction de citoyen: la commission des Finances s'en est saisie, ce n'est pas moi qui ai demandé à Didier Migaud de (la) réunir et de faire des auditions et que Christine Lagarde soit entendue", a conclu Jean Peyrelevade.
Source: Yahoo News
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