L'accord donnera de facto aux inspecteurs de l'AIEA l'accès à 14 des 22 réacteurs indiens existants ou censés entrer en activité d'ici 2014. Aucune installation précise n'est toutefois mentionnée nommément dans cet accord dit de sauvegarde avec l'Inde.
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA, qui réunit 35 pays, a approuvé l'accord malgré les critiques de ceux qui dénonçaient une formulation ambigue risquant de limiter à terme la surveillance internationale des réacteurs indien, porter atteinte à la non-prolifération et peut-être contribuer à fournir des matériaux fissibles à son programme d'armement.
Cet accord de sauvegarde est crucial pour que l'Inde puisse mettre en oeuvre l'accord de coopération avec les Etats-Unis. En effet, l'Inde, puissance nucléaire non-signataire du Traité de non-prolifération, doit pour cela d'abord passer des accords séparés avec l'AIEA et avec le Groupe des fournisseurs nucléaires (NSG), qui réunit 45 pays exportateurs de matériels et technologies dont les Etats-Unis. Sans un accord de sauvegarde avec l'AIEA, New Delhi ne peut importer de technologie nucléaire de ces pays.
Source: yahoo news
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA, qui réunit 35 pays, a approuvé l'accord malgré les critiques de ceux qui dénonçaient une formulation ambigue risquant de limiter à terme la surveillance internationale des réacteurs indien, porter atteinte à la non-prolifération et peut-être contribuer à fournir des matériaux fissibles à son programme d'armement.
Cet accord de sauvegarde est crucial pour que l'Inde puisse mettre en oeuvre l'accord de coopération avec les Etats-Unis. En effet, l'Inde, puissance nucléaire non-signataire du Traité de non-prolifération, doit pour cela d'abord passer des accords séparés avec l'AIEA et avec le Groupe des fournisseurs nucléaires (NSG), qui réunit 45 pays exportateurs de matériels et technologies dont les Etats-Unis. Sans un accord de sauvegarde avec l'AIEA, New Delhi ne peut importer de technologie nucléaire de ces pays.
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