"Les deux délégations représentant le gouvernement malien et l'Alliance démocratique pour le changement se sont mises d'accord sur l'arrêt des hostilités", a dit l'ambassadeur algérien au Mali et médiateur dans ce conflit, Abdelkrim Ghrieb.
"Nous sommes parvenus à une série de décisions parmi lesquelles la nécessité d'arrêter les hostilités entre les deux parties en conflit et l'application sur le terrain et le suivi de cette mesure (de cessez-le-feu)", a-t-il précisé.
Un comité de suivi de 200 représentants issus des deux camps a été formé pour superviser la mise en oeuvre de l'accord.
L'accord a été trouvé à l'issue de quatre jours de discussions sous l'égide de l'Algérie, qui partage sa frontière saharienne avec le Mali.
Les deux parties se sont engagées à respecter les engagements pris lors de la signature d'un précédent accord de paix et de développement, en 2006, à Alger.
Selon Ghrib, gouvernement et touaregs devraient également aborder prochainement la question des prisonniers et des réfugiés.
Les touaregs ont repris les armes l'année dernière pour obtenir davantage de droits. Des conflits similaires avaient déjà éclaté dans les années 1960 et 1990.
Le Mali accusait la rébellion de vouloir prendre le contrôle de la région du Kidal, dont les routes sont utilisées par les trafiquants d'armes et de drogue.
Source: Yahoo News
"Nous sommes parvenus à une série de décisions parmi lesquelles la nécessité d'arrêter les hostilités entre les deux parties en conflit et l'application sur le terrain et le suivi de cette mesure (de cessez-le-feu)", a-t-il précisé.
Un comité de suivi de 200 représentants issus des deux camps a été formé pour superviser la mise en oeuvre de l'accord.
L'accord a été trouvé à l'issue de quatre jours de discussions sous l'égide de l'Algérie, qui partage sa frontière saharienne avec le Mali.
Les deux parties se sont engagées à respecter les engagements pris lors de la signature d'un précédent accord de paix et de développement, en 2006, à Alger.
Selon Ghrib, gouvernement et touaregs devraient également aborder prochainement la question des prisonniers et des réfugiés.
Les touaregs ont repris les armes l'année dernière pour obtenir davantage de droits. Des conflits similaires avaient déjà éclaté dans les années 1960 et 1990.
Le Mali accusait la rébellion de vouloir prendre le contrôle de la région du Kidal, dont les routes sont utilisées par les trafiquants d'armes et de drogue.
Source: Yahoo News
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