Les Virus du Nil Occidental et Usutu en Nouvelle-Aquitaine : L'Émergence d'une Menace Locale
Au 11 septembre, selon le Journal Sud-Ouest, Santé Publique France (SPF) a confirmé ou probables neuf cas humains autochtones dans la région, dont huit en Gironde (à Bordeaux) et un en Charente-Maritime. Des enquêtes sont en cours concernant dix autres personnes. Parallèlement, trois cas équins (deux en Gironde et un en Charente-Maritime) et six cas aviaires (Charente-Maritime) ont été signalés, indiquant une circulation active du virus West Nile en Gironde et en Charente-Maritime, mettant la région en alerte.
Un autre virus, également transmis par les moustiques de type « culex », proche du West Nile, le virus Usutu, est également en circulation en Gironde et en Charente-Maritime. Au début du mois d'août, deux cas humains avaient été identifiés, et jusqu'au 11 septembre, quatre cas humains autochtones en Gironde et un cas aviaire en Charente-Maritime ont été confirmés. Cette situation souligne l'ampleur de la menace posée par ces virus dans la région.
Un autre virus, également transmis par les moustiques de type « culex », proche du West Nile, le virus Usutu, est également en circulation en Gironde et en Charente-Maritime. Au début du mois d'août, deux cas humains avaient été identifiés, et jusqu'au 11 septembre, quatre cas humains autochtones en Gironde et un cas aviaire en Charente-Maritime ont été confirmés. Cette situation souligne l'ampleur de la menace posée par ces virus dans la région.
La Coexistence des Virus du Nil Occidental, Usutu, Chikungunya et Dengue en Nouvelle-Aquitaine
En parallèle, la Nouvelle-Aquitaine continue de faire face à des cas de chikungunya et de dengue, également transmis par des moustiques, notamment du genre « Aedes », tels que le moustique tigre, qui s'est installé dans toute la région à l'exception de la Creuse.
Entre le 1er mai et le 8 septembre, 74 cas importés de dengue et 4 cas importés de chikungunya ont été signalés dans la région, marquant une augmentation significative par rapport à l'année précédente. Toutefois, grâce à 130 enquêtes sur les moustiques et à 83 traitements de lutte anti-vectorielle effectués dans la région, la propagation de ces virus a pu être contenue jusqu'à présent.
Le virus Usutu, moins connu du grand public, a fait son apparition en France métropolitaine en 2016. Il a été détecté pour la première fois en août 2023 par le Centre national de référence des arboviroses, suscitant des inquiétudes dans le Sud-Ouest de la France. Ce virus, tout comme le West Nile, est transmis par le moustique de type Culex, qui est largement présent en France.
Ces deux virus, le West Nile et Usutu, ont été introduits en France par des oiseaux migrateurs lors de leurs déplacements. Les moustiques, qui se nourrissent aussi bien de sang humain que d'oiseaux, ont joué un rôle crucial dans la transmission de ces infections.
Les symptômes du West Nile et de l'Usutu sont similaires, allant d'une infection asymptomatique à des symptômes grippaux légers. Cependant, des complications neurologiques graves, telles que des encéphalites et des méningo-encéphalites, peuvent survenir. La similitude des symptômes a initialement conduit à la confusion entre ces deux virus en Gironde, où les cas d'Usutu avaient été initialement attribués au West Nile.
Pour diagnostiquer ces infections, une analyse du liquide céphalo-rachidien est le moyen le plus fiable, bien que plus complexe. Une sérologie, réalisée à partir d'une simple prise de sang, est également possible, mais moins précise. Selon le Dr Guillaume Durant, responsable adjoint du Centre national de référence arbovirus, la vigilance est de mise dans cette région pour surveiller la propagation de ces virus et prendre des mesures appropriées pour les contenir.
Entre le 1er mai et le 8 septembre, 74 cas importés de dengue et 4 cas importés de chikungunya ont été signalés dans la région, marquant une augmentation significative par rapport à l'année précédente. Toutefois, grâce à 130 enquêtes sur les moustiques et à 83 traitements de lutte anti-vectorielle effectués dans la région, la propagation de ces virus a pu être contenue jusqu'à présent.
Le virus Usutu, moins connu du grand public, a fait son apparition en France métropolitaine en 2016. Il a été détecté pour la première fois en août 2023 par le Centre national de référence des arboviroses, suscitant des inquiétudes dans le Sud-Ouest de la France. Ce virus, tout comme le West Nile, est transmis par le moustique de type Culex, qui est largement présent en France.
Ces deux virus, le West Nile et Usutu, ont été introduits en France par des oiseaux migrateurs lors de leurs déplacements. Les moustiques, qui se nourrissent aussi bien de sang humain que d'oiseaux, ont joué un rôle crucial dans la transmission de ces infections.
Les symptômes du West Nile et de l'Usutu sont similaires, allant d'une infection asymptomatique à des symptômes grippaux légers. Cependant, des complications neurologiques graves, telles que des encéphalites et des méningo-encéphalites, peuvent survenir. La similitude des symptômes a initialement conduit à la confusion entre ces deux virus en Gironde, où les cas d'Usutu avaient été initialement attribués au West Nile.
Pour diagnostiquer ces infections, une analyse du liquide céphalo-rachidien est le moyen le plus fiable, bien que plus complexe. Une sérologie, réalisée à partir d'une simple prise de sang, est également possible, mais moins précise. Selon le Dr Guillaume Durant, responsable adjoint du Centre national de référence arbovirus, la vigilance est de mise dans cette région pour surveiller la propagation de ces virus et prendre des mesures appropriées pour les contenir.
Selon l'inserm, daté juillet 2023, << en France métropolitaine, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024.>>
En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. 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En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.En métropole, entre mai et décembre 2022, l’agence Santé publique France a enregistré « seulement » 272 cas de dengue, 22 de chikungunya et 3 de Zika. Cependant, ces chiffres pourraient exploser à l’avenir. En cause, notamment le changement climatique : « En raison de la hausse des températures et/ou des variations d’humidité, l’aire de répartition du moustique tigre ne cesse de s’étendre vers le nord », explique Xavier de Lamballerie. Mais le Covars alerte également sur « les grands évènements internationaux prévus prochainement en métropole » comme la Coupe du monde de rugby en septembre 2023 et les jeux Olympiques en 2024. En effet, en engendrant d’importants mouvements de populations, ils augmentent le risque d’épidémie.
Santé Publique France, sur son site Internet, alerte::
<<Il n’existe actuellement pas de vaccin commercialisé pour l’Homme, ni de traitement préventif contre l’infection du virus du Nil occidental. Pour le cheval, un vaccin équin est commercialisé. La prévention de l’infection à virus West Nile repose sur les mesures de protection contre les moustiques, à la fois :
<<Il n’existe actuellement pas de vaccin commercialisé pour l’Homme, ni de traitement préventif contre l’infection du virus du Nil occidental. Pour le cheval, un vaccin équin est commercialisé. La prévention de l’infection à virus West Nile repose sur les mesures de protection contre les moustiques, à la fois :
- Individuelles : vêtements couvrants, répulsifs, serpentins, diffuseurs électriques, moustiquaires
- Et collectives : lutte contre les gîtes larvaires et selon la situation entomologique, éventuelles mesures contre les moustiques adultes.>>
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