Après une victoire marquante dans les États-clés, Donald Trump a été élu pour un second mandat en tant que 47e président des États-Unis, le 6 novembre 2024. Sa performance électorale a été particulièrement remarquable dans des États déterminants tels que la Caroline du Nord, la Géorgie, la Pennsylvanie, et le Wisconsin, où il a obtenu les votes nécessaires pour dépasser les 270 grands électeurs. C’est la première fois depuis son départ de la Maison-Blanche en 2021, suite à sa défaite contre Joe Biden, que Trump est de retour sur le devant de la scène politique américaine.
Dans un discours de victoire en Floride, l’ex-président a décrit son succès comme une « victoire sans précédent ». Avec 277 grands électeurs en sa faveur, il a assuré son retour au Bureau ovale, affirmant que les États-Unis sont prêts pour une « nouvelle ère de prospérité ». En plus de ces gains, Trump a remporté le Texas et l’Ohio, consolidant ainsi sa position de force parmi les États clés pour son parti.
Dans un discours de victoire en Floride, l’ex-président a décrit son succès comme une « victoire sans précédent ». Avec 277 grands électeurs en sa faveur, il a assuré son retour au Bureau ovale, affirmant que les États-Unis sont prêts pour une « nouvelle ère de prospérité ». En plus de ces gains, Trump a remporté le Texas et l’Ohio, consolidant ainsi sa position de force parmi les États clés pour son parti.
Félicitations et réactions internationales
Le président français Emmanuel Macron a adressé ses félicitations, déclarant être disposé à collaborer avec le président élu pour promouvoir des valeurs communes de paix et de prospérité. Le chancelier allemand Olaf Scholz et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont également réagi positivement, soulignant l’importance de la coopération entre les États-Unis et l’Europe. Le Premier ministre britannique Keir Starmer et la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni ont salué cette élection, réitérant leur engagement pour une alliance forte entre leurs nations et les États-Unis. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a quant à lui exprimé son espoir que ce nouveau mandat soutiendra les efforts de l’Ukraine pour une paix durable.
Le parcours de Trump vers cette élection n’a pas été sans obstacles. Ses précédentes inculpations, notamment pour des accusations de conspiration et de manipulation comptable dans l’affaire Stormy Daniels, n’ont pas freiné son ascension. Malgré ces épreuves judiciaires, ses partisans ont continué à le soutenir avec force, considérant ces affaires comme des manœuvres politiques de ses opposants.
Marquée par une rhétorique incendiaire et des slogans populistes, la campagne de Donald Trump a été particulièrement percutante. Parcourant les États décisifs, il n’a cessé de rappeler son opposition aux politiques d’immigration de son adversaire Kamala Harris et de critiquer la gestion économique des démocrates. Lors du seul débat présidentiel avec Harris, les échanges furent tendus et incisifs. L’ancien président a fait campagne sur un discours centré sur la sécurité des frontières et la relance de l’économie américaine, affirmant vouloir expulser les immigrants sans papiers et réinstaurer une politique fiscale favorable aux entreprises américaines.
Avec une majorité républicaine au Sénat, le président élu entend poursuivre son projet d’allégements fiscaux, de soutien à la production énergétique nationale et de contrôle strict de l’immigration. Sa politique protectionniste se manifeste par son intention de taxer davantage les produits étrangers, notamment ceux provenant de Chine. Ce mandat pourrait donc s’orienter vers un renforcement des mesures nationales sur les fronts économiques et sociaux, dessinant un futur axé sur une relance « Made in America ».
Le parcours de Trump vers cette élection n’a pas été sans obstacles. Ses précédentes inculpations, notamment pour des accusations de conspiration et de manipulation comptable dans l’affaire Stormy Daniels, n’ont pas freiné son ascension. Malgré ces épreuves judiciaires, ses partisans ont continué à le soutenir avec force, considérant ces affaires comme des manœuvres politiques de ses opposants.
Marquée par une rhétorique incendiaire et des slogans populistes, la campagne de Donald Trump a été particulièrement percutante. Parcourant les États décisifs, il n’a cessé de rappeler son opposition aux politiques d’immigration de son adversaire Kamala Harris et de critiquer la gestion économique des démocrates. Lors du seul débat présidentiel avec Harris, les échanges furent tendus et incisifs. L’ancien président a fait campagne sur un discours centré sur la sécurité des frontières et la relance de l’économie américaine, affirmant vouloir expulser les immigrants sans papiers et réinstaurer une politique fiscale favorable aux entreprises américaines.
Avec une majorité républicaine au Sénat, le président élu entend poursuivre son projet d’allégements fiscaux, de soutien à la production énergétique nationale et de contrôle strict de l’immigration. Sa politique protectionniste se manifeste par son intention de taxer davantage les produits étrangers, notamment ceux provenant de Chine. Ce mandat pourrait donc s’orienter vers un renforcement des mesures nationales sur les fronts économiques et sociaux, dessinant un futur axé sur une relance « Made in America ».
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