Mardi, Me Gilles Simeoni, avocat de l’accusé, a expliqué à l’audience s’être aperçu lundi soir en consultant le dossier qu’une empreinte digitale non identifiée avait été retrouvée sur l’un des rubans adhésifs ayant servi à bâillonner un gendarme, lors de l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella, dans la nuit du 5 au 6 septembre 1997. C’est dans cette attaque qu’avait été volée l’arme qui servit à tuer le préfet Erignac le 6 février 1998. Yvan Colonna est aussi jugé pour avoir participé à l’opération de Pietrosella.
«C’est une démarche esthétique. Soit, elle est de nature à confondre Yvan Colonna, soit elle ne sert à rien» puisque cela prouvera seulement qu’elle appartient à quelqu’un d’autre, a immédiatement répliqué le président Dominique Coujard. Le président a refusé cette requête en son nom puis prononcé en fin de matinée une suspension d’audience pour laisser le temps à la défense de faire une demande formelle par écrit afin que la cour dans son ensemble se prononce.
Source: http://www.lefigaro.fr/
«C’est une démarche esthétique. Soit, elle est de nature à confondre Yvan Colonna, soit elle ne sert à rien» puisque cela prouvera seulement qu’elle appartient à quelqu’un d’autre, a immédiatement répliqué le président Dominique Coujard. Le président a refusé cette requête en son nom puis prononcé en fin de matinée une suspension d’audience pour laisser le temps à la défense de faire une demande formelle par écrit afin que la cour dans son ensemble se prononce.
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