Les associations de copropriétaires, l'ARC (Association des responsables de copropriété) et l'association CLCV (consommation, logement, cadre de vie) en tête, regrettent que l'arrêté ne soit pas allé plus loin . Il ne précise pas en effet ce que recouvrent les notions de tâche de gestion courante, ou de tâches particulières. Ainsi, les syndics pourront continuer à facturer des prestations parfois fantaisistes comme, par exemple, la gestion des urgences en journée, la remise des dossiers à l'huissier et à l'avocat, ou l'envoi de courriers électroniques. Autre problème : l'arrêté permet également aux syndics de facturer les assemblées générales tenues en dehors des heures ouvrables et facturer en sus une partie des archives, seules les archives «utiles» (règlement de copropriété, procès verbal d'assemblée générale, contrat de travail etc ) étant comprises dans la gestion courante.
Source: lefigaro via Yahoo
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