-=Dans son réquisitoire le parquet a indiqué que l’accusé domicilié aux Parcelles assainies se fait appeler ’’Aidara’’, nom accolé aux ‘’Chérifs’’ (saints), pour gagner la confiance de ses victimes avant de les avoir.
C’est ainsi, a-t-il souligné, que les deux des femmes mariées qui ont porté plainte contre lui se sont d’abord fait avoir avant de prendre leur courage à deux mains pour le dénoncer afin qu’il soit traduit devant la justice.
Le procédé du ’’Chérif’’ consistait à faire des séances de prédication pour ses clientes, puis il leur proposait de bains mystiques que l’homme dirigeait lui-même avec force incantations. Envoutées, elles s’endormaient et l’homme en profitait pour les violer avant de les photographier dans le plus simple appareil.
Une fois en possession des photos, il s’en servait comme objets de chantage pour exiger d’autres relations sexuelles, souligne le procureur. Ainsi, l’homme avait dans son portable 84 photos pornographiques, 820 SMS et 7 films pornos qu’il a lui-même pris à l’occasion des rapports sexuels avec ses victimes.
Le procureur l’a qualifié de ‘’maniaque sexuel’’ qui déploie une intelligence cynique et morbide pour briser la vie conjugale des femmes. Pour lui, plusieurs femmes photographiées toutes nues dans son téléphone portable de l’accusé sont en train de vivre leur mal en silence.
Rien que pour cela, la justice doit sévir à l’encontre de tels individus, a martelé le procureur.
Le prévenu interrogé à la barre maintient qu’il appartient à une famille Aidara qui se trouve à Nimzat. Il a précisé que très souvent des personnes le sollicitent pour des prières.
L’homme a toutefois avoué qu’il fume du yamba et s’adonne à des pratiques indignes de quelqu’un qui appartient à une famille maraboutique.
Les deux victimes accompagnées de leurs maris à la barre ont souligné avoir été violées par l’accusé dans sa chambre. Ce que ce dernier a nié pour soutenir que toutes les deux étaient ses amantes et qu’il a couché avec elles avec leur consentement.
Le tribunal des flagrants délits a mis son verdict en délibéré jusqu’à lundi.
Source: Rewmi
C’est ainsi, a-t-il souligné, que les deux des femmes mariées qui ont porté plainte contre lui se sont d’abord fait avoir avant de prendre leur courage à deux mains pour le dénoncer afin qu’il soit traduit devant la justice.
Le procédé du ’’Chérif’’ consistait à faire des séances de prédication pour ses clientes, puis il leur proposait de bains mystiques que l’homme dirigeait lui-même avec force incantations. Envoutées, elles s’endormaient et l’homme en profitait pour les violer avant de les photographier dans le plus simple appareil.
Une fois en possession des photos, il s’en servait comme objets de chantage pour exiger d’autres relations sexuelles, souligne le procureur. Ainsi, l’homme avait dans son portable 84 photos pornographiques, 820 SMS et 7 films pornos qu’il a lui-même pris à l’occasion des rapports sexuels avec ses victimes.
Le procureur l’a qualifié de ‘’maniaque sexuel’’ qui déploie une intelligence cynique et morbide pour briser la vie conjugale des femmes. Pour lui, plusieurs femmes photographiées toutes nues dans son téléphone portable de l’accusé sont en train de vivre leur mal en silence.
Rien que pour cela, la justice doit sévir à l’encontre de tels individus, a martelé le procureur.
Le prévenu interrogé à la barre maintient qu’il appartient à une famille Aidara qui se trouve à Nimzat. Il a précisé que très souvent des personnes le sollicitent pour des prières.
L’homme a toutefois avoué qu’il fume du yamba et s’adonne à des pratiques indignes de quelqu’un qui appartient à une famille maraboutique.
Les deux victimes accompagnées de leurs maris à la barre ont souligné avoir été violées par l’accusé dans sa chambre. Ce que ce dernier a nié pour soutenir que toutes les deux étaient ses amantes et qu’il a couché avec elles avec leur consentement.
Le tribunal des flagrants délits a mis son verdict en délibéré jusqu’à lundi.
Source: Rewmi