Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a salué cette livraison, affirmant que ces avions « renforceront les capacités de défense aérienne » de son pays. Les Mirage 2000-5, initialement conçus pour des missions de combat aérien, ont été modifiés pour permettre des missions air-sol, selon les précisions de l’armée de l’air française. Ces appareils pourront également être utilisés pour intercepter des drones de grande taille, une menace récurrente dans le conflit actuel.
La formation des pilotes et mécaniciens ukrainiens a été réalisée « un peu partout en France », notamment sur les bases aériennes de Nancy et de Cazaux. Les avions livrés ont également subi des adaptations techniques pour répondre aux besoins spécifiques de l’Ukraine. Bien que le nombre exact d’appareils transférés n’ait pas été confirmé officiellement pour des raisons de sécurité, des sources indiquent que six Mirage 2000-5 sur les 26 en service dans l’armée française seraient concernés.
Cette livraison fait suite à l’annonce faite par le président français Emmanuel Macron en juin 2024. Elle intervient dans un contexte où l’Ukraine cherche à diversifier ses capacités militaires, notamment face aux attaques aériennes russes.
La formation des pilotes et mécaniciens ukrainiens a été réalisée « un peu partout en France », notamment sur les bases aériennes de Nancy et de Cazaux. Les avions livrés ont également subi des adaptations techniques pour répondre aux besoins spécifiques de l’Ukraine. Bien que le nombre exact d’appareils transférés n’ait pas été confirmé officiellement pour des raisons de sécurité, des sources indiquent que six Mirage 2000-5 sur les 26 en service dans l’armée française seraient concernés.
Cette livraison fait suite à l’annonce faite par le président français Emmanuel Macron en juin 2024. Elle intervient dans un contexte où l’Ukraine cherche à diversifier ses capacités militaires, notamment face aux attaques aériennes russes.
Condamnation pour « haute trahison » en Russie
Parallèlement, un tribunal russe a condamné à dix-sept ans de prison un habitant de la région de Briansk, frontalier de l’Ukraine, pour « haute trahison ». Cet homme de 52 ans, résident de la ville de Klintsy, a été accusé d’avoir transmis des informations sur les mouvements des troupes russes aux forces ukrainiennes entre mars 2022 et août 2023. Il purgera sa peine dans un camp pénitentiaire à régime sévère.
Cette condamnation s’ajoute à une précédente peine pour trafic d’armes, prononcée en septembre 2024. Les autorités russes n’ont pas fourni de détails supplémentaires sur les charges retenues contre lui.
Cette condamnation s’ajoute à une précédente peine pour trafic d’armes, prononcée en septembre 2024. Les autorités russes n’ont pas fourni de détails supplémentaires sur les charges retenues contre lui.
Prisonniers de guerre et opérations militaires
L’Ukraine a également annoncé avoir capturé 909 soldats russes depuis le début de son offensive dans la région de Koursk, lancée le 6 août 2024. Cette opération, l’une des plus importantes sur le territoire russe, visait notamment à capturer des militaires ennemis pour faciliter des échanges de prisonniers. Selon l’état-major ukrainien, ces captures ont permis de « ramener chez eux des centaines de défenseurs ukrainiens détenus en Russie ».
Attaque de drone meurtrière en Russie
Enfin, une attaque de drone ukrainienne a coûté la vie à trois personnes dans la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine. Un engin explosif largué par un drone a touché une voiture, tuant sur le coup un homme et deux adolescentes âgées de 14 et 18 ans. Le gouverneur régional, Viatcheslav Gladkov, a précisé que le village où l’attaque s’est produite était interdit d’accès en raison des combats.