Le Dr Grégory PAMART ferme son cabinet car il n'accepte pas l'obligation vaccinale imposée par le gouvernement.
« Je n’accepte pas de devoir renoncer à la liberté de disposer de mon corps pour continuer mon métier, je n’accepte pas l’idée totalitaire que la médecine pourrait demain s’affranchir du consentement libre et éclairé du patient »
La commune de Jenlain (Nord) a perdu le 1er janvier son seul médecin généraliste. Le professionnel, qui refuse de se faire vacciner contre le Covid-19, a préféré fermer son cabinet.
Jenlain, village de 1 100 habitants, n'a plus de médecin. Suspendu pour son refus de subir l'injection covid, le Dr Grégory Pamart présente dans une lettre postée sur son site les raisons de sa décision, expliquant que cette loi l’obligerait à violer sa liberté à disposer de son corps.
Le médecin dénonce une mauvaise gestion de la situation sanitaire, incitant notamment les patients à se détourner des traitements précoces alors qu’il a lui-même constaté que ces derniers peuvent empêcher une aggravation des cas et éviter « un recours à l’hospitalisation ».
« Je n’accepte pas de devoir renoncer à la liberté de disposer de mon corps pour continuer mon métier, je n’accepte pas l’idée totalitaire que la médecine pourrait demain s’affranchir du consentement libre et éclairé du patient »
La commune de Jenlain (Nord) a perdu le 1er janvier son seul médecin généraliste. Le professionnel, qui refuse de se faire vacciner contre le Covid-19, a préféré fermer son cabinet.
Jenlain, village de 1 100 habitants, n'a plus de médecin. Suspendu pour son refus de subir l'injection covid, le Dr Grégory Pamart présente dans une lettre postée sur son site les raisons de sa décision, expliquant que cette loi l’obligerait à violer sa liberté à disposer de son corps.
Le médecin dénonce une mauvaise gestion de la situation sanitaire, incitant notamment les patients à se détourner des traitements précoces alors qu’il a lui-même constaté que ces derniers peuvent empêcher une aggravation des cas et éviter « un recours à l’hospitalisation ».
Le médecin généraliste a fermé son cabinet et dévissé la plaque qui était à l'extérieur. Depuis le 1er janvier, la commune de 1 170 habitants près de Valenciennes n'a plus de médecin : Grégory Pamart a définitivement quitté les lieux. Ce médecin de 33 ans refuse de se faire vacciner contre la Covid-19. N'ayant plus le droit d'exercer son activité officiellement depuis le 15 septembre, il a donc décidé d'arrêter complètement son activité. Au total, 160 médecins ont, comme lui, refusé d'être vaccinés contre le Covid-19, selon des chiffres arrêtés par l'Assurance maladie à la fin novembre.
"Je suis venu avec mon épouse et une remorque. On a embarqué tout ce sur quoi j'avais travaillé pendant trois ans", raconte-t-il. Le docteur en médecine est ferme sur ses positions : il ne croit ni à la sûreté, ni à l’efficacité du vaccin. "L'obligation qui pèse sur moi est injuste. La grande question que je me pose c'est : est-ce que j'aurais pu continuer à soigner les gens si on ne respectait pas mes choix personnels vis-à-vis d'un traitement médical ?"
Concernant la sécurité, un médicament met en principe 10 ans avant la mise sur le marché. Nous ne connaissions pas même les conditions nécessaires à la conservation au moment de la sortie de ces produits. Parfois nous avons l’impression que l’on navigue à vue, changements incessants des indications et limites d’âges, espacement des doses, rapprochement des doses, suppression de telle spécialité…
Sur le court terme nous percevons des signaux inquiétants. Si je ne parle qu’à titre personnel, les probables conséquences de la vaccination ont occasionnés plus d’hospitalisation chez mes patients que la covid.
Sur le moyen et long terme nous n’avons que des craintes et aucun recul.
Concernant l’efficacité, j’aimerais qu’on me définisse l’objectif de la vaccination ?
Il y a un an, on nous expliquait que la vaccination ferait disparaitre ce virus.
Rapidement on nous objectait, qu’au moins, elle empêchait la transmission.
Aujourd’hui, peut-être qu’elle permettrait d’éviter les formes grave… A moins qu’il ne faille encore une dose ? Une nouvelle version du vaccin…
Bref… Cette vaccination devient pour beaucoup de nos concitoyens rien d’autre qu’un mal necessaire pour conserver la vie sociale qu’ils connaissent.
"Je suis venu avec mon épouse et une remorque. On a embarqué tout ce sur quoi j'avais travaillé pendant trois ans", raconte-t-il. Le docteur en médecine est ferme sur ses positions : il ne croit ni à la sûreté, ni à l’efficacité du vaccin. "L'obligation qui pèse sur moi est injuste. La grande question que je me pose c'est : est-ce que j'aurais pu continuer à soigner les gens si on ne respectait pas mes choix personnels vis-à-vis d'un traitement médical ?"
Concernant la sécurité, un médicament met en principe 10 ans avant la mise sur le marché. Nous ne connaissions pas même les conditions nécessaires à la conservation au moment de la sortie de ces produits. Parfois nous avons l’impression que l’on navigue à vue, changements incessants des indications et limites d’âges, espacement des doses, rapprochement des doses, suppression de telle spécialité…
Sur le court terme nous percevons des signaux inquiétants. Si je ne parle qu’à titre personnel, les probables conséquences de la vaccination ont occasionnés plus d’hospitalisation chez mes patients que la covid.
Sur le moyen et long terme nous n’avons que des craintes et aucun recul.
Concernant l’efficacité, j’aimerais qu’on me définisse l’objectif de la vaccination ?
Il y a un an, on nous expliquait que la vaccination ferait disparaitre ce virus.
Rapidement on nous objectait, qu’au moins, elle empêchait la transmission.
Aujourd’hui, peut-être qu’elle permettrait d’éviter les formes grave… A moins qu’il ne faille encore une dose ? Une nouvelle version du vaccin…
Bref… Cette vaccination devient pour beaucoup de nos concitoyens rien d’autre qu’un mal necessaire pour conserver la vie sociale qu’ils connaissent.
Une habitante précise sur l'article de FranceTvInfo.fr : "Je lui ai dit ses quatre vérités. Il était médecin, donc il avait fait le serment d'Hippocrate et je trouve qu'il n'avait pas le droit" de partir, déplore cette femme de 75 ans.
Le Dr Pamart as t'il floué le serment d'Hippocrate ? A mon sens il n'en ai rien car le fait du refus de subir une "vaccination" ne l'a vraisemblablement pas empêché d'exercer son métier; De plus il l'a expliqué lui-même : "peiné" de ne pas recevoir ses patients depuis plus de 3 semaines car il estime que même non vacciné il n'est pas plus dangereux pour ses patients qu'un médecin vacciné car jusqu'à présent il faisait 2 tests par semaine.
Quand est-il du serment d'Hippocrate :
Ce serment peut être considéré comme le principe de base de la Déontologie Médicale mais que dit-il exactement en voici une Traduction par Émile Littré (Émile Littré (Maximilien Paul), né à Paris le 1er février 1801 et mort dans la même ville le 2 juin 1881 est un médecin, lexicographe, philosophe et homme politique français, surtout connu pour son Dictionnaire de la langue française, communément appelé « le Littré » ) du serment d'origine :
« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a jamais besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire ! »
“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”
Le Dr Pamart as t'il floué le serment d'Hippocrate ? A mon sens il n'en ai rien car le fait du refus de subir une "vaccination" ne l'a vraisemblablement pas empêché d'exercer son métier; De plus il l'a expliqué lui-même : "peiné" de ne pas recevoir ses patients depuis plus de 3 semaines car il estime que même non vacciné il n'est pas plus dangereux pour ses patients qu'un médecin vacciné car jusqu'à présent il faisait 2 tests par semaine.
Quand est-il du serment d'Hippocrate :
Ce serment peut être considéré comme le principe de base de la Déontologie Médicale mais que dit-il exactement en voici une Traduction par Émile Littré (Émile Littré (Maximilien Paul), né à Paris le 1er février 1801 et mort dans la même ville le 2 juin 1881 est un médecin, lexicographe, philosophe et homme politique français, surtout connu pour son Dictionnaire de la langue française, communément appelé « le Littré » ) du serment d'origine :
« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a jamais besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire ! »
Le serment d’Hippocrate
Voici le texte revu par l’Ordre des médecins en 2012.“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”
Pour défendre sa position, Le Dr PAMART se réfère à la loi Kouchner de 2002 sur les droits des malades selon laquelle "aucun acte médical, aucun traitement, ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ».
Ce père de 4 enfants se dit prêt à ne plus exercer pour respecter ses convictions
Si je ne suis pas prêt à ça, ça veut dire que j'accepte que la médecine fasse violence aux gens. Quelle sera la médecine de demain ? Est-ce que la seule chose que j'ai à faire c'est de suivre des protocoles et des recommandations ? ou est-ce que la chose la plus importante que j'ai à faire c'est de m'intéresser à la personne en face, que je dois soigner non pas comme je voudrais qu'il soit soigné mais comme lui aimerait être soigné.
Père de quatre enfants, le docteur Pamart refuse les querelles de personne ou toute "guerre" qui obligerait à "choisir un camp", et explique comment vit un médecin suspendu : « je ne me plains pas matériellement, il y a des couples qui bossent à l’usine et qui ont moins de ressources matérielles. Un médecin a souvent davantage de quoi survivre, même si le problème est que je paie toujours des charges ; non seulement je ne travaille plus, mais je dois payer toujours payer des charges. Mais pour l’instant, je gère bien, je ne vis pas de grand-chose au niveau matériel. Et j’ai rencontré tellement de gens extraordinaires que je me dis qu’il y aura toujours des gens pour m’aider ».
Lettre du docteur Grégory Pamart à l’attention de ses patients :
Mes chers patients,
L’année et demie qui vient de s’écouler a vu de nombreux bouleversements dans nos sociétés, nos comportements et nos interactions.
Nous avons vu rapidement les autorités sanitaires cesser de s’intéresser à la santé, dans sa définition noble d’« état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. ».
Au contraire, l’ensemble de l’action dite de santé publique a cessé, en 2020, de s’intéresser à la santé des individus pour se concentrer uniquement sur une maladie particulière, faisant fi des états de dépression, mal-être, isolement, suicide, décompensation de diabète, aggravation d’obésité… La liste est malheureusement encore longue.
Pire encore, l’ensemble de l’action dite de santé publique a cessé en 2021 de s’intéresser à cette seule maladie, et aujourd’hui la vaccination, par ailleurs critiquable, semble être une fin en soi, « nécessité » à obtenir « quoi qu’il en coûte ».
Cette logique abandonne complètement les aspects majeurs de la lutte contre les infections.
A savoir l’ensemble des possibilités préventives et curatives, en particulier les soins précoces qui peuvent, je l’ai constaté en soignant mes patients, dans l’immense majorité des cas, éviter un recours à l’hospitalisation.
Plus grave encore, que l'erreur stratégique au plan médical, les nouvelles mesures annoncées par le Président de la République introduisent une rupture majeure dans la conception du consentement libre et éclairé à tout soin. Ces mesures entendent passer outre le libre arbitre, forcer les consciences et finalement violer les corps.
J’aime mon métier, vous qui me connaissez savez que j’ai toujours cherché à respecter le choix de mes patients. Je ne vous demande pas de comprendre ou accepter les miens. Sachez en tout cas que chacun de mes actes est pesé. Je ne suis pas à l’abri d’une erreur de jugement, mais soyez certain de ma sincérité, en particulier quand je vous dis que, malgré les recommandations sanitaires, je pense ne jamais vous avoir mis en danger.
Je n’ai jamais cessé de penser que le médecin généraliste a un rôle d’accompagnement, de soutien, d’information… Ce rôle nécessite suffisamment de retenue pour ne jamais chercher à imposer nos propres idées, ou convaincre nos patients.
A cause de cela je n’accepte pas de devoir renoncer à la liberté de disposer de mon corps pour continuer mon métier, je n’accepte pas l'idée totalitaire que la médecine pourrait demain s'affranchir du consentement libre et éclairé du patient.
Je n’accepte pas, non plus, que nos données de santé soient colligées dans de grands fichiers nationaux et servent aux autorités administratives pour sanctionner ceux que l’autorité politique a jugé indésirables.
Cela fait quelques semaines que j’ai pris la ferme et difficile décision de ne pas céder à l’obligation vaccinale. Cela implique de ne plus pouvoir exercer ma profession de médecin généraliste.
Si vous ne comprenez pas cette décision, j’espère que vous me ferez assez confiance pour accepter que je puisse me tromper, mais accepter aussi que je puisse avoir raison.
Certains d’entre vous m’ont fait part de leur désarroi « toutes ces études pour rien ? ».
Sachez que, même si je devais ne jamais plus pratiquer la médecine générale, je ne regrette absolument pas ma vocation. J’ai eu la chance extraordinaire de découvrir mes patients, des individus, dans l’intimité d’une relation vraie et sincère.
J’ai découvert pendant mes 9 ans d’études et 6 ans d’exercice, dont presque 3 auprès de vous à Jenlain, des trésors d’humanité, qu’une vie entière dans une autre profession ne m’aurait pas permis d’apercevoir.
Je crois qu’on ne peut pas pratiquer la médecine autrement qu’en aimant. Et plus j’ai pratiqué plus je vous ai aimé. Chacun d’entre vous. Comme les êtres uniques et merveilleux que vous êtes.
Je crains de voir la médecine devenir une suite d’algorithmes et de protocoles.
Chacun jugera sur ce qui vient de s’écouler la transgression à notre humanité qu’il n’accepte pas. Cacher notre sourire, cesser de nous embrasser, faire manger mamie dans la cuisine, signer un document pour sortir de chez nous, recevoir une injection pour travailler, flasher son code-barre pour aller au restaurant, faire piquer son enfant pour qu’il ait le droit d’aller à la piscine… J’aimerais ne pas avoir à rallonger la liste dans quelques mois.
Je crains de voir la naissance d’une société utopiste, « tous ensemble contre une maladie » qui nie la valeur propre et l’individualité de chacun. Qui impose une seule issue, une seule voie. Qui veut faire rentrer chaque citoyen dans une fiche de poste. Une société en marche contre les aléas de la vie, au prix de la différence, au prix de la liberté de conscience, au prix de la libre disposition de notre corps… Au prix de l’amour.
Aujourd’hui je laisse mon travail. Pourtant je n’ai pas peur. Je m’abandonne à la providence avec confiance, car je crois qu’on a tous la possibilité de changer le monde, à notre portée, selon nos talents, notre force, notre persévérance.
La société idéale ne se construit pas sur un ordre social parfait, la société idéale commence simplement, par un sourire, la volonté d’accueillir l’autre et de prendre soin les uns des autres.
C’est pour prendre soin de vous que je dois, à regrets, vous quitter.
À bientôt.
Votre toujours dévoué.
Dr Grégory Pamart
Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.
Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...
Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.
Pour le Docteur canadien Hodkinson, membre du Collège Américain des Pathologistes et du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada, il s'agit "d'une pandémie de peur. Peur qui a été délibérément provoquée par deux facteurs majeurs : le test PCR et la censure de tout ce qui va à l'encontre du narratif officiel."
N'hésitez pas à soutenir Le Dr Grégory PAMART en relayant cette page sur les réseaux sociaux que vous soyez POUR ou CONTRE la vaccination car c'est une question de bon sens.
Sources et crédits photos :
The Epoch Times
France bleue
France soir
Huffpost
Drpamart.fr
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Ce père de 4 enfants se dit prêt à ne plus exercer pour respecter ses convictions
Si je ne suis pas prêt à ça, ça veut dire que j'accepte que la médecine fasse violence aux gens. Quelle sera la médecine de demain ? Est-ce que la seule chose que j'ai à faire c'est de suivre des protocoles et des recommandations ? ou est-ce que la chose la plus importante que j'ai à faire c'est de m'intéresser à la personne en face, que je dois soigner non pas comme je voudrais qu'il soit soigné mais comme lui aimerait être soigné.
Joint par téléphone par France SOIR, il affirme qu’il souhaite reprendre son activité de médecin et comprend qu’en société différents points de vue s'expriment : « je revendique cette liberté, et il y a un autre choix, celui du législateur qui fait une loi et le choix de compliquer l’existence des non-vaccinés. Pour les patients, si demain je peux retourner travailler, j’y retourne. J’ai espoir que les législateurs reviennent sur cette loi et comprennent que l’on n’est pas un danger pour la société. Qui est plus dangereux, entre le médecin non-vacciné qui se fait tester tous les trois jours et le médecin vacciné, alors qu'on sait aujourd’hui les vaccins contre le Covid n’empêchent pas de contaminer les autres ? »
Père de quatre enfants, le docteur Pamart refuse les querelles de personne ou toute "guerre" qui obligerait à "choisir un camp", et explique comment vit un médecin suspendu : « je ne me plains pas matériellement, il y a des couples qui bossent à l’usine et qui ont moins de ressources matérielles. Un médecin a souvent davantage de quoi survivre, même si le problème est que je paie toujours des charges ; non seulement je ne travaille plus, mais je dois payer toujours payer des charges. Mais pour l’instant, je gère bien, je ne vis pas de grand-chose au niveau matériel. Et j’ai rencontré tellement de gens extraordinaires que je me dis qu’il y aura toujours des gens pour m’aider ».
Lettre du docteur Grégory Pamart à l’attention de ses patients :
Mes chers patients,
L’année et demie qui vient de s’écouler a vu de nombreux bouleversements dans nos sociétés, nos comportements et nos interactions.
Nous avons vu rapidement les autorités sanitaires cesser de s’intéresser à la santé, dans sa définition noble d’« état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. ».
Au contraire, l’ensemble de l’action dite de santé publique a cessé, en 2020, de s’intéresser à la santé des individus pour se concentrer uniquement sur une maladie particulière, faisant fi des états de dépression, mal-être, isolement, suicide, décompensation de diabète, aggravation d’obésité… La liste est malheureusement encore longue.
Pire encore, l’ensemble de l’action dite de santé publique a cessé en 2021 de s’intéresser à cette seule maladie, et aujourd’hui la vaccination, par ailleurs critiquable, semble être une fin en soi, « nécessité » à obtenir « quoi qu’il en coûte ».
Cette logique abandonne complètement les aspects majeurs de la lutte contre les infections.
A savoir l’ensemble des possibilités préventives et curatives, en particulier les soins précoces qui peuvent, je l’ai constaté en soignant mes patients, dans l’immense majorité des cas, éviter un recours à l’hospitalisation.
Plus grave encore, que l'erreur stratégique au plan médical, les nouvelles mesures annoncées par le Président de la République introduisent une rupture majeure dans la conception du consentement libre et éclairé à tout soin. Ces mesures entendent passer outre le libre arbitre, forcer les consciences et finalement violer les corps.
J’aime mon métier, vous qui me connaissez savez que j’ai toujours cherché à respecter le choix de mes patients. Je ne vous demande pas de comprendre ou accepter les miens. Sachez en tout cas que chacun de mes actes est pesé. Je ne suis pas à l’abri d’une erreur de jugement, mais soyez certain de ma sincérité, en particulier quand je vous dis que, malgré les recommandations sanitaires, je pense ne jamais vous avoir mis en danger.
Je n’ai jamais cessé de penser que le médecin généraliste a un rôle d’accompagnement, de soutien, d’information… Ce rôle nécessite suffisamment de retenue pour ne jamais chercher à imposer nos propres idées, ou convaincre nos patients.
A cause de cela je n’accepte pas de devoir renoncer à la liberté de disposer de mon corps pour continuer mon métier, je n’accepte pas l'idée totalitaire que la médecine pourrait demain s'affranchir du consentement libre et éclairé du patient.
Je n’accepte pas, non plus, que nos données de santé soient colligées dans de grands fichiers nationaux et servent aux autorités administratives pour sanctionner ceux que l’autorité politique a jugé indésirables.
Cela fait quelques semaines que j’ai pris la ferme et difficile décision de ne pas céder à l’obligation vaccinale. Cela implique de ne plus pouvoir exercer ma profession de médecin généraliste.
Si vous ne comprenez pas cette décision, j’espère que vous me ferez assez confiance pour accepter que je puisse me tromper, mais accepter aussi que je puisse avoir raison.
Certains d’entre vous m’ont fait part de leur désarroi « toutes ces études pour rien ? ».
Sachez que, même si je devais ne jamais plus pratiquer la médecine générale, je ne regrette absolument pas ma vocation. J’ai eu la chance extraordinaire de découvrir mes patients, des individus, dans l’intimité d’une relation vraie et sincère.
J’ai découvert pendant mes 9 ans d’études et 6 ans d’exercice, dont presque 3 auprès de vous à Jenlain, des trésors d’humanité, qu’une vie entière dans une autre profession ne m’aurait pas permis d’apercevoir.
Je crois qu’on ne peut pas pratiquer la médecine autrement qu’en aimant. Et plus j’ai pratiqué plus je vous ai aimé. Chacun d’entre vous. Comme les êtres uniques et merveilleux que vous êtes.
Je crains de voir la médecine devenir une suite d’algorithmes et de protocoles.
Chacun jugera sur ce qui vient de s’écouler la transgression à notre humanité qu’il n’accepte pas. Cacher notre sourire, cesser de nous embrasser, faire manger mamie dans la cuisine, signer un document pour sortir de chez nous, recevoir une injection pour travailler, flasher son code-barre pour aller au restaurant, faire piquer son enfant pour qu’il ait le droit d’aller à la piscine… J’aimerais ne pas avoir à rallonger la liste dans quelques mois.
Je crains de voir la naissance d’une société utopiste, « tous ensemble contre une maladie » qui nie la valeur propre et l’individualité de chacun. Qui impose une seule issue, une seule voie. Qui veut faire rentrer chaque citoyen dans une fiche de poste. Une société en marche contre les aléas de la vie, au prix de la différence, au prix de la liberté de conscience, au prix de la libre disposition de notre corps… Au prix de l’amour.
Aujourd’hui je laisse mon travail. Pourtant je n’ai pas peur. Je m’abandonne à la providence avec confiance, car je crois qu’on a tous la possibilité de changer le monde, à notre portée, selon nos talents, notre force, notre persévérance.
La société idéale ne se construit pas sur un ordre social parfait, la société idéale commence simplement, par un sourire, la volonté d’accueillir l’autre et de prendre soin les uns des autres.
C’est pour prendre soin de vous que je dois, à regrets, vous quitter.
À bientôt.
Votre toujours dévoué.
Dr Grégory Pamart
Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.
Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...
Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.
Pour le Docteur canadien Hodkinson, membre du Collège Américain des Pathologistes et du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada, il s'agit "d'une pandémie de peur. Peur qui a été délibérément provoquée par deux facteurs majeurs : le test PCR et la censure de tout ce qui va à l'encontre du narratif officiel."
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Sources et crédits photos :
The Epoch Times
France bleue
France soir
Huffpost
Drpamart.fr
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