Le Dow Jones Industrial Average a cédé 148,38 points, à 7.776,18 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 41,80 points, à 1.545,20 points, selon des chiffre définitifs de clôture.
L'indice Standard & Poor's 500, a quant à lui reculé de 2,03% (16,92 points), à 815,94 points.
Le marché a subi, de façon assez "naturelle" et "saine", des prises de bénéfices, a indiqué Owen Fitzpatrick, de Deutsche Bank.
Le groupe de services informatiques Accenture a donné le ton à la séance: son action a lâché 13,45% à 27,66 dollars, après qu'il eut révisé en baisse ses prévisions après des mois de janvier et février très faibles, alors qu'il s'était dit jusqu'alors immunisé envers la dégradation de la conjoncture.
"Les gens considéraient le secteur (des technologies) comme un refuge", a rappelé M. Fitzpatrick.
Le poids lourd de l'indice Dow Jones, l'informaticien IBM, qui propose des services similaires à Accenture, a pesé sur la tendance, abandonnant 4,69%, à 94,15 dollars.
D'une manière plus générale, le marché s'est replié après "l'un des mouvements les plus importants jamais vu sur le marché actions", a souligné l'analyste de Deutsche Bank.
Depuis sa clôture du 9 mars, le Dow Jones a repris 21%. Le Nasdaq avait même effacé jeudi ses pertes accumulées depuis le début de l'année.
Sur la semaine, les deux indices ont respectivement engrangé 6,84% et 6,03% et enregistrent leur troisième hausse hebdomadaire consécutive.
"A court terme, le marché boursier a fait l'objet d'achats exagérés et a besoin de digérer ses gains récents. Nous espérons que cela prendra la forme d'une consolidation dans une fourchette limitée, et non de ventes massives et soudaines", a observé de son côté John Wilson, de Morgan Keegan.
Les indicateurs du jour ont été mitigés. Le taux d'épargne des ménages américains reste très important (4,2% en février), témoignant de la prudence des particulier au moment d'acheter. Toutefois, leurs dépenses de consommation ont augmenté pour le deuxième mois de suite, gagnant 0,2% sur janvier.
Et l'indice de confiance des consommateurs américains mesuré par l'Université du Michigan, a confirmé sa remontée en mars, à 57,3 points.
Les valeurs financières ont rendu un peu des gains spectaculaires qu'elles avaient enregistrés. Bank of America a reculé de 3,17% à 7,34 dollars, Citigroup de 6,76% à 2,62 dollars et JPMorgan Chase de 5,84% à 27,40 dollars.
Le PDG de cette dernière, Jamie Dimon, a ravivé les inquiétudes des investisseurs en indiquant que le mois de mars avait été "un peu plus dur" que les deux précédents, à la sortie d'une réunion à la Maison Blanche.
Lors de cette réunion, les dirigeants de plusieurs grands groupes bancaires se sont engagés à travailler avec le président Barack Obama, qui cherche à relancer l'économie et le système financier en crise.
Le constructeur automobile General Motors s'est distingué, affichant une hausse de 6,16% à 3,62 dollars. Barack Obama annoncera lundi son plan d'aide au secteur en difficulté.
Le producteur canadien d'engrais Agrium (-3,91% à 38,34 dollars) a annoncé vendredi qu'il relevait de 10% son offre d'achat sur son concurrent américain CF Industries (-0,95% à 73,30 dollars), à 35 dollars américains plus une de ses propres actions.
Le marché obligataire a fini sans direction, alors que la Réseve fédérale a encore acheté pour 7,5 milliards de dollars d'obligations d'Etat. Le rendement du bon à 10 ans a avancé à 2,761% contre 2,733% jeudi soir et celui à 30 ans a reculé à 3,618%, contre 3,651% la veille.
Source: Yahoo News
Source: Yahoo News
L'indice Standard & Poor's 500, a quant à lui reculé de 2,03% (16,92 points), à 815,94 points.
Le marché a subi, de façon assez "naturelle" et "saine", des prises de bénéfices, a indiqué Owen Fitzpatrick, de Deutsche Bank.
Le groupe de services informatiques Accenture a donné le ton à la séance: son action a lâché 13,45% à 27,66 dollars, après qu'il eut révisé en baisse ses prévisions après des mois de janvier et février très faibles, alors qu'il s'était dit jusqu'alors immunisé envers la dégradation de la conjoncture.
"Les gens considéraient le secteur (des technologies) comme un refuge", a rappelé M. Fitzpatrick.
Le poids lourd de l'indice Dow Jones, l'informaticien IBM, qui propose des services similaires à Accenture, a pesé sur la tendance, abandonnant 4,69%, à 94,15 dollars.
D'une manière plus générale, le marché s'est replié après "l'un des mouvements les plus importants jamais vu sur le marché actions", a souligné l'analyste de Deutsche Bank.
Depuis sa clôture du 9 mars, le Dow Jones a repris 21%. Le Nasdaq avait même effacé jeudi ses pertes accumulées depuis le début de l'année.
Sur la semaine, les deux indices ont respectivement engrangé 6,84% et 6,03% et enregistrent leur troisième hausse hebdomadaire consécutive.
"A court terme, le marché boursier a fait l'objet d'achats exagérés et a besoin de digérer ses gains récents. Nous espérons que cela prendra la forme d'une consolidation dans une fourchette limitée, et non de ventes massives et soudaines", a observé de son côté John Wilson, de Morgan Keegan.
Les indicateurs du jour ont été mitigés. Le taux d'épargne des ménages américains reste très important (4,2% en février), témoignant de la prudence des particulier au moment d'acheter. Toutefois, leurs dépenses de consommation ont augmenté pour le deuxième mois de suite, gagnant 0,2% sur janvier.
Et l'indice de confiance des consommateurs américains mesuré par l'Université du Michigan, a confirmé sa remontée en mars, à 57,3 points.
Les valeurs financières ont rendu un peu des gains spectaculaires qu'elles avaient enregistrés. Bank of America a reculé de 3,17% à 7,34 dollars, Citigroup de 6,76% à 2,62 dollars et JPMorgan Chase de 5,84% à 27,40 dollars.
Le PDG de cette dernière, Jamie Dimon, a ravivé les inquiétudes des investisseurs en indiquant que le mois de mars avait été "un peu plus dur" que les deux précédents, à la sortie d'une réunion à la Maison Blanche.
Lors de cette réunion, les dirigeants de plusieurs grands groupes bancaires se sont engagés à travailler avec le président Barack Obama, qui cherche à relancer l'économie et le système financier en crise.
Le constructeur automobile General Motors s'est distingué, affichant une hausse de 6,16% à 3,62 dollars. Barack Obama annoncera lundi son plan d'aide au secteur en difficulté.
Le producteur canadien d'engrais Agrium (-3,91% à 38,34 dollars) a annoncé vendredi qu'il relevait de 10% son offre d'achat sur son concurrent américain CF Industries (-0,95% à 73,30 dollars), à 35 dollars américains plus une de ses propres actions.
Le marché obligataire a fini sans direction, alors que la Réseve fédérale a encore acheté pour 7,5 milliards de dollars d'obligations d'Etat. Le rendement du bon à 10 ans a avancé à 2,761% contre 2,733% jeudi soir et celui à 30 ans a reculé à 3,618%, contre 3,651% la veille.
Source: Yahoo News
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